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C'est ici que l'on se quitte
Carine Chichereau (traduit par)
Date de parution : 03/03/2011
Éditeurs :
10/18

C'est ici que l'on se quitte

Carine Chichereau (traduit par)
Date de parution : 03/03/2011
Qu'est-ce qui est pire que d'aller enterrer son père ? Réponse : passer les sept jours de deuil qui suivent enfermé avec sa propre famille de dingues…

Qu'est-ce qui est pire que d'aller enterrer son père ? Réponse : passer les sept jours de deuil qui suivent enfermé avec sa propre famille de dingues… Pour Judd, qui...

Qu'est-ce qui est pire que d'aller enterrer son père ? Réponse : passer les sept jours de deuil qui suivent enfermé avec sa propre famille de dingues… Pour Judd, qui nage en pleine déprime, cette semaine de Shiva’h pourrait être la pire de sa vie. Famille, je vous hais !...

Qu'est-ce qui est pire que d'aller enterrer son père ? Réponse : passer les sept jours de deuil qui suivent enfermé avec sa propre famille de dingues… Pour Judd, qui nage en pleine déprime, cette semaine de Shiva’h pourrait être la pire de sa vie. Famille, je vous hais ! Heureusement, il y en a au moins un qui n’est plus là pour voir ça…

« Tropper tape là où ça fait mal et nous fait rire de nos blessures. »
Glamour

Traduit de l'américain
par Carine Chichereau

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EAN : 9782264054029
Code sériel : 4425
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264054029
Code sériel : 4425
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Boudou32 02/09/2021
    C'est un très bon livre sur la vie normale. Bourré d'humour et d'ironie, ce bouquin sans prétention se lit facilement. Le style est fluide, sans longueurs, sans des pages et des pages descriptives. J'encourage à lire ce livre pendant l'été, ou au coin du feu.
  • TerrainsVagues 27/02/2021
    Jonathan Tropper, depuis le temps que je vois passer des billets et que je me disais qu’il fallait qu’un jour blablabla, enfin vous savez ce que c’est, le billet de Lolokili m’a fait franchir le pas. Un mois après avoir eu la même démarche avec Kiki (Schwartzmann) j’ai rencontré Jojo parce que Jo n’attend pas (désolé…). Alors Jojo, c’est pas que j’ai pas aimé mais c’était peut être pas le bon titre pour qu’une première rencontre se transforme en coup de foudre. Je te rassure tout de suite, j’adore ton écriture mais l’histoire… A ta décharge, il y a beaucoup de ma faute parce que les histoires de famille, dans 99,99% des cas, je n’en ai strictement rien à faire et qu’en plus ce qui vient des Etats Unis me hérisse le poil dans bien des cas. Non je suis pas famille du tout ni adepte des « maîtres » du monde, alors les deux réunis dans tes pages ça m’a vite fait flipper. « C’est ici que l’on se quitte », ce sont les histoires de cul d’une famille Américaine, enfin quand je dis famille je parle de cette hypocrisie qui fait se retrouver les gens à dates fixes et à s’aimer sous prétexte qu’ils sont originaires d’un même coup de rein lointain. Bref, chez les Foxman il aura fallu la mort du père pour que les quatre enfants soient enfin réunis... et ça va saigner. J’ai lu dans le billet de Marina que le bouquin avait été adapté au cinéma, ce qui ne m’étonne pas car pendant toute la lecture j’ai imaginé Hugh Grant dans la comédie sentimentale qu’est en fait ce bouquin. Donc en résumé, vu comme ça, je suis pas trop fan mais… Mais il y a le ton du bouquin et là où je commençais à me dire que l’affreux Jojo allait me gonfler, il a sorti son Kiki (non non, oubliez, vous avez l’esprit vraiment tordu et que la dessus nos avis divergent même si ça fait beaucoup) et ce ton qu’ils ont en commun. Moins corrosif que Schartzmann mais ça tire (si je peux dire) à vue dans tous les sens. Et là, j’aime plus que bien. Drôle, rythmé, mais... Histoire sans aucun intérêt mais terriblement bien racontée et comme c’est pas parce qu’on a rien à dire qu’il faut le taire, c’est pas ici que l’on se quitte Jojo. « Tout peut arriver », ça sera notre prochaine rencontre même si tu vas intégrer l’étagère file d’attente. Jonathan Tropper, depuis le temps que je vois passer des billets et que je me disais qu’il fallait qu’un jour blablabla, enfin vous savez ce que c’est, le billet de Lolokili m’a fait franchir le pas. Un mois après avoir eu la même démarche avec Kiki (Schwartzmann) j’ai rencontré Jojo parce que Jo n’attend pas (désolé…). Alors Jojo, c’est pas que j’ai pas aimé mais c’était peut être pas le bon titre pour qu’une première rencontre se transforme en coup de foudre. Je te rassure tout de suite, j’adore ton écriture mais l’histoire… A ta décharge, il y a beaucoup de ma faute parce que les histoires de famille, dans 99,99% des cas, je n’en ai strictement rien à faire et qu’en plus ce qui vient des Etats Unis me hérisse le poil dans bien des cas. Non je suis pas famille du tout ni adepte des « maîtres » du monde, alors les deux réunis dans tes pages ça m’a vite fait flipper. « C’est ici que l’on se quitte », ce sont les histoires de cul d’une famille Américaine, enfin quand je dis famille je parle de cette hypocrisie qui fait se retrouver les gens à dates fixes et à s’aimer...
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  • LoloKiLi 19/02/2021
    C’est reparti pour un super Tropper où, comme souvent chez cet auteur que décidément j’affectionne sévère, l’on escorte un narrateur largué dans une "middle age crisis" carabinée. Comme souvent aussi chez Tropper, un retour du héros au sein de sa famille et sur les traces de sa jeunesse inspire quelques réminiscences nostalgiques, voire indésirables, qui entraineront à leur tour moult épisodes tragi-comiques et situations burlesques. Un opus peut-être moins barré et plus tendre que d’autres titres de l’auteur, mais tout aussi réjouissant question dérision et sens de la formule (voir citations à venir, on ne sait que choisir). C’est peut-être ici que l’on se quitte Monsieur Tropper mais, tout peut arriver, je reviendrai sans doute, et avec bonheur.
  • cascasimir 29/05/2020
    Cole a presque 5 ans et tend le pot: "- Regarde, papa. T! En effet, au fond du pot, sa crotte ressemble à un T grossier." L'instant d'après, toute la famille hurle et la crotte atterrit dans l'assiette de Paul, qui recule et tombe à terre, avec... Alice, sa femme. C'est le premier jour du "shi'vah", (7 jours de recueillement, après l'enterrement du défunt, le père de famille) Le 2ème jour, bagarre entre 2 frères, au milieu de la famille, alors qu'apparait Jen, la femme de Judd. - "J'espère que je ne vous dérange pas? - Jen, quelle bonne surprise !" Fait maman. "Dans ce genre de situation, on se demande vraiment dans quelle réalité, vit ma mère. Elle regardait, ses 2 fils en train de se taper dessus. Et sans ciller, elle accueille, avec grâce, la femme qui a cocufié Judd, son 3ème fils... Car en rentrant trop tôt, Judd a découvert son infortune. Et Jen qui vient lui dire qu'elle attend un bébé. De Judd, pas du patron de Judd, de l'amant!... "La shi'vah": 7 jours à recevoir des abrutis comme l'once Stan, 80 ans "champion du monde des pétomanes (en public!) Et "Arlene Blinder, la voisine obèse et renfrognée" qui vient sous couvert de la tradition juive, raconter sa vie... La chaise d'Arlene abandonne sous la tonne de fadaises déversées et craque... "Arlene s'écroule dans un cri." Tout le monde se retient de rire... 7 jours d'humour et d'amour, et aussi de...sexe. Le frère Paul et sa femme Alice qui baisent, à l'étage (alors que le babyphone est allumé: "Allez, vas-y, plus fort!") en en faisant profiter la vingtaine de personnes présentes, dans le salon... -" Alice est en période d'ovulation, explique alors ma mère." Famille de dingues, je vous hais! "Heureusement, il y en a au moins un qui n'est plus là, pour voir ça..."Cole a presque 5 ans et tend le pot: "- Regarde, papa. T! En effet, au fond du pot, sa crotte ressemble à un T grossier." L'instant d'après, toute la famille hurle et la crotte atterrit dans l'assiette de Paul, qui recule et tombe à terre, avec... Alice, sa femme. C'est le premier jour du "shi'vah", (7 jours de recueillement, après l'enterrement du défunt, le père de famille) Le 2ème jour, bagarre entre 2 frères, au milieu de la famille, alors qu'apparait Jen, la femme de Judd. - "J'espère que je ne vous dérange pas? - Jen, quelle bonne surprise !" Fait maman. "Dans ce genre de situation, on se demande vraiment dans quelle réalité, vit ma mère. Elle regardait, ses 2 fils en train de se taper dessus. Et sans ciller, elle accueille, avec grâce, la femme qui a cocufié Judd, son 3ème fils... Car en rentrant trop tôt, Judd a découvert son infortune. Et Jen qui vient lui dire qu'elle attend un bébé. De Judd, pas du patron de Judd, de l'amant!... "La shi'vah": 7 jours à recevoir des abrutis comme l'once Stan, 80 ans "champion du monde des pétomanes (en public!) Et "Arlene Blinder, la voisine obèse et renfrognée" qui vient sous couvert de la tradition juive,...
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  • shirley230173 05/03/2020
    Alors un superbe extrait d'humour avec le gâteau d'anniversaire, je pensais que ca allait rester sur le ton léger eh bien non ... Le sujet est on ne peut plus sérieux puisqu'il s'agit de l'enterrement du papa du personnage et de sa dernière volonté çàd de voir ses 4 enfants réunis pendant 7 jours pour la Shiv'ah. Famille on ne peut moins démonstrative au niveau sentiments et où malgré l'amour qu'ils ont les uns pour les autres, tout tourne toujours au fiasco... La mère, psy, les met tous à fleur de peau, et rien ne va plus pour aucun des enfants, l'un est sur le point de divorcer, l'autre de se marier, le 3ème veut un enfant mais n'y arrive pas et la soeur, avec ses 3 gosses en bas âge, se tape un mari pour le moins inconséquent et désintéressé du sort de sa femme. Tout ceci va devoir rentrer dans l'ordre mais comment faire ... Belle petite lecture mais toujours pas de coup de coeur pour ma part.
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