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Calvin et Hobbes T6
Collection : Calvin & Hobbes
Date de parution : 27/08/1993
Éditeurs :
Hors collection

Calvin et Hobbes T6

Collection : Calvin & Hobbes
Date de parution : 27/08/1993

La bande dessinée la plus craquante du moment. Un chef d'œuvre à ne pas rater !

L'enfance est pleine de désillusions et pleine d'inventions aussi. Heureusement Calvin, petit garçon de 6 ans, un peu turbulent, déborde d'imagination. Aidé de son fidèle tigre en peluche et compagnon... L'enfance est pleine de désillusions et pleine d'inventions aussi. Heureusement Calvin, petit garçon de 6 ans, un peu turbulent, déborde d'imagination. Aidé de son fidèle tigre en peluche et compagnon Hobbes, il sait rendre la vie piquante et drôle. Tout le monde y passe : les parents, les filles, la... L'enfance est pleine de désillusions et pleine d'inventions aussi. Heureusement Calvin, petit garçon de 6 ans, un peu turbulent, déborde d'imagination. Aidé de son fidèle tigre en peluche et compagnon Hobbes, il sait rendre la vie piquante et drôle. Tout le monde y passe : les parents, les filles, la maîtresse d'école. Mais la principale activité de ce tendre Calvin est d'animer le club le D.E.F.I. (Dehors énormes filles informes), dont Calvin et Hobbes sont seuls membres actifs, et ils se déchaînent sur la pauvre Susie Derkins.

On pourrait piocher à loisir les petites phrases assassines sur la société, qui montrent à quel point la vérité sort bien mieux de la bouche des enfants ! Tout le monde en prend pour son grade et c'est pour ça que c'est drôle.

– Calvin : La plupart des gens pataugent toute leur vie ! Ils sont passifs, ils n'ont ni motivation ni ambition ! Ce n'est pas mon cas, j'aurai une existence épique ! Je vais affronter les problèmes de mon temps et changer le cours de l'histoire !
– Hobbes : Comment vas-tu t'y prendre ?
– Calvin : Je vais rester assis là, comme ça le destin saura où me trouver quand le temps sera venu de changer le monde.
– Hobbes : J'aurais dû prendre un bouquin.
– Calvin : C'est une question de minutes maintenant.

Le sixième tome des aventures de Calvin et Hobbes. Humour garanti !
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EAN : 9782258038394
Façonnage normé : BROCHE
Format : 225 x 140 mm
EAN : 9782258038394
Façonnage normé : BROCHE
Format : 225 x 140 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Fifrildi 02/10/2022
    J'ai quelques billets de Calvin et Hobbes en retard… comme je dois les rapporter à la bibliothèque mercredi pour emprunter les tomes suivants il faut que je m'y mette. Le Tome 6 pour commencer. Rien de nouveau sous le soleil, cette bande dessinée est une valeur sûre. Les dessins sont sympas et les gags bien pensés, je m'amuse toujours autant. Ce tome contient la bande par laquelle j'ai découvert la série il y a quelques années : « - Hé Hobbes ! Tu fais quoi ? - Rien ! - Rien du tout ? - Non. - Je t'aide. - Merci ! » C'est important pour les enfants d'avoir un doudou, qui peut savoir ce qu'ils partagent vraiment ? Impossible d'imaginer qu'un jour ses parents puissent dire un truc du genre : « Calvin, tu es devenu trop grand il faut te séparer de Hobbes ! » Heureusement, comme dans les Simpson, les personnages ont toujours le même âge. Challenge BD 2022 (Lu en août 2022)
  • Yvan_T 27/01/2017
    Allez, on se tire ! Si c’est pour aller lire un album de Calvin et Hobbes, alors oui, vous pouvez y aller, sinon, laissez-moi essayer de vous convaincre de lire cette saga. Il faut savoir que les strips de Bill Watterson sont célèbres dans le monde entier et que la série a d’ailleurs été couronnée de l’Alph-Art du meilleur album étranger à Angoulême en 1992 et a obtenu plusieurs Eisner Awards aux États-Unis. Vous pouvez même commencer cette saga mettant en scène un petit garçon de six ans à l’imagination débordante et son tigre en peluche par n’importe quel album… donc, pourquoi pas par celui-ci ? À l’instar des tomes précédents, celui-ci reprend des histoires de différentes longueurs, allant de trois cases à quelques pages. Chacune offre un plongeon mélancolique dans le monde de l’enfance et invite à découvrir les fantasmes, les rêves et le regard critique de ce petit bonhomme sur le monde des adultes et sur la société en général. Le titre de ce sixième album fait référence à Calvin et Hobbes qui ont bel et bien intérêt à fuir le plus loin possible après une énième bêtise. Il faut bien avouer qu’envoyer la voiture de ses parents dans le fossé s’inscrit tout en haut de son long palmarès. Mais, commençons par le début, car ce sixième volet s’ouvre sur un mariage et un cambriolage aux conséquences dramatiques car Hobbes a disparu. Ils partent en effet assister à un mariage en commettant l’erreur d’oublier Hobbes à la maison et à leur retour c’est la grosse catastrophe : des voleurs se sont introduits chez eux par effraction ! C’est l’occasion rêvée pour Bill Watterson de se concentrer un peu plus sur les parents de Calvin car ceux-ci sont traumatisés et ne dorment plus la nuit (On notera au passage qu’ils ne dorment pas toujours du même côté du lit). Si la puissance comique de ces strips atteint des sommets, l’humour est également souvent d’une telle sophistication que plusieurs niveaux de lecture sont possibles. Au-delà de la simplicité apparente de ces gags burlesques se cache en effet un autre niveau de lecture, plus adulte, qui mêle critiques acerbes, réflexions intelligentes et cynisme ravageur. Les noms des personnages faisant respectivement référence à Jean Calvin et à Thomas Hobbes, le lecteur ne s’étonnera d’ailleurs pas de croiser quelques considérations philosophiques. L’auteur profite notamment de ce cambriolage pour lancer une réflexion sur ce qui est véritablement important dans la vie. Ce ne sont bien entendu pas les choses matérielles que les voleurs nous prennent… enfin sauf pour Calvin, qui a retrouvé Hobbes, mais à qui on a pris la télé. Quel drame ! Déjà qu’il n’y a pas de télé quand il part en vacances en famille afin de retrouver les joies du camping où les piqûres de moustiques et la diarrhée forment le caractère !!! Ce cambriolage et ces nouvelles vacances en camping donne donc à nouveau droit à des récits plus longs centrés sur la famille, mais on a également droit à des gags plus courts où Calvin n’a besoin que de trois cases pour juger et évaluer le travail de son père dans son rôle de « Papa ». Si la cote de popularité du père n’est pas au beau fixe et qu’il doit régulièrement subir les remarques ironiques de son fils, j’adore également les passages où son père répond totalement à côté de la plaque aux questions naïves de Calvin et où la mère n’a besoin que d’une seule case pour démonter les explications de son mari. Les théories du père concernant la lumière et le soleil m’ont à ce titre bien fait rire et je trouve que les relations parents/enfants sont vraiment traitées avec beaucoup d’intelligence dans cette saga. Si Rosaline, la baby-sitter attitrée de Calvin, est absente de l’album, son autre souffre-douleur Susie Derkens est bel et bien au rendez-vous. C’est d’ailleurs lors de ce tome que Calvin crée son club secret du D.E.F.I. (Dégagez Enormes Filles Informes)… de quoi exclure sa pauvre petite voisine de tous leurs jeux. Ma préférence va comme d’habitude à ces récits où il peut laisser libre cours à son imagination débordante, notamment lors de ses transformations en Spiff le Spationaute, dont les chutes sont souvent hilarantes. Notre petit chenapan s’imagine notamment en Hyperman afin d’éviter de faire ses devoirs ou de ranger sa chambre, en oiseau, le temps d’une chanson qui ne plaît pas forcément à tout le monde, en reptile afin d’augmenter la température du thermostat, et même en Ptéranodon ou en Allosaure. Et oui, si Calvin déteste l’école et le camping, il adore par contre les dinosaures et le musée d’histoire naturelle. Parlons finalement de l’empathie inévitable envers ce duo éminemment sympathique. Ce gamin doté d’un sens de la répartie incroyable est particulièrement attachant et l’idée de donner vie à une peluche dans son imaginaire est tout bonnement brillante. Cela résulte non seulement en une complicité incroyable entre les deux, comme lorsque Calvin se rassure auprès de son tigre la nuit après le cambriolage, mais permet surtout de donner vie à l’imaginaire de l’enfant. Ensemble, ils vivent des aventures mêlant absurde, tendresse, drôlerie, nostalgie et justesse. Visuellement, le dessin de Bill Watterson est d’une grande simplicité, mais ces visuels aux décors quasi inexistants permettent de mettre l’accent sur les personnages et sur des textes d’une finesse rare. Il faut un talent énorme pour parvenir à partager des tranches de vie en seulement trois cases et pour pondre des gags purement visuels sur base de postures ou d’expressions. Lors de cet album, il se permet cependant quelques « folies » artistiques, notamment lors de ce récit où les lois de la perspective ont été abolies. Mais je pense également à ce passage délaissant les cases, où Hobbes se croit à nouveau dans la jungle, ou même à cette scène où Calvin a été transféré sur un négatif couleur le temps d’une photo. Encore un très bon album !Allez, on se tire ! Si c’est pour aller lire un album de Calvin et Hobbes, alors oui, vous pouvez y aller, sinon, laissez-moi essayer de vous convaincre de lire cette saga. Il faut savoir que les strips de Bill Watterson sont célèbres dans le monde entier et que la série a d’ailleurs été couronnée de l’Alph-Art du meilleur album étranger à Angoulême en 1992 et a obtenu plusieurs Eisner Awards aux États-Unis. Vous pouvez même commencer cette saga mettant en scène un petit garçon de six ans à l’imagination débordante et son tigre en peluche par n’importe quel album… donc, pourquoi pas par celui-ci ? À l’instar des tomes précédents, celui-ci reprend des histoires de différentes longueurs, allant de trois cases à quelques pages. Chacune offre un plongeon mélancolique dans le monde de l’enfance et invite à découvrir les fantasmes, les rêves et le regard critique de ce petit bonhomme sur le monde des adultes et sur la société en général. Le titre de ce sixième album fait référence à Calvin et Hobbes qui ont bel et bien intérêt à fuir le plus loin possible après une énième bêtise. Il faut bien avouer qu’envoyer la voiture de ses parents dans le...
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  • Crazynath 31/03/2015
    Je lis toujours un album de Calvin et Hobbes avec le sourire au lèvres. même si certaines situations sont récurrentes dans cette série, qu'il est délicieux de lire les répliques de ce petit diable : mi- diablotin, mi-philosophe, Calvin donne bien du fil à retordre à son entourage. J'adore le personnage du père, un rien désabusé devant l'imagination débordante de son fiston.
  • Myriam3 09/09/2014
    Je dois bien l'avouer, les premières fois que j'ai lu Calvin et Hobbes dans un magazine quelconque sous forme de gag en trois vignettes, non seulement ça ne me faisait pas rire mais en plus j'y comprenais rien (pour ma gouverne, c'était il y a longtemps!) Mais une fois que, en possession d'un de ces albums, j'ai pu enchaîner les gags et enfin comprendre que Hobbes la peluche et Hobbes le grand gentil tigre étaient le même mais d'apparence différente selon la présence ou non d'un tiers, je n'ai plus résisté. Au cas où vous ne connaîtriez pas: Calvin est un gamin américain de six ans débordant d'imagination, prêt à toutes les bêtises et que son doudou ne quitte jamais, devenant un personnage à part entière, à peine moins déraisonnable que Calvin, quand ils ne sont que tous les deux. Ensemble, ils combattent des monstres dans l'espace, adorent tout ce qui est dégoûtant, se chamaillent sans cesse et accessoirement philosophent tout en dévalant des collines en luge. Mais finalement, ce qui est irrésistible dans ces comics, c'est le flegme des parents face aux trouvailles de Calvin et l'humour pince sans rire du père. L'avantage de ce format, c'est qu'on peut picorer ou dévorer, et que ça fait du bien!!Je dois bien l'avouer, les premières fois que j'ai lu Calvin et Hobbes dans un magazine quelconque sous forme de gag en trois vignettes, non seulement ça ne me faisait pas rire mais en plus j'y comprenais rien (pour ma gouverne, c'était il y a longtemps!) Mais une fois que, en possession d'un de ces albums, j'ai pu enchaîner les gags et enfin comprendre que Hobbes la peluche et Hobbes le grand gentil tigre étaient le même mais d'apparence différente selon la présence ou non d'un tiers, je n'ai plus résisté. Au cas où vous ne connaîtriez pas: Calvin est un gamin américain de six ans débordant d'imagination, prêt à toutes les bêtises et que son doudou ne quitte jamais, devenant un personnage à part entière, à peine moins déraisonnable que Calvin, quand ils ne sont que tous les deux. Ensemble, ils combattent des monstres dans l'espace, adorent tout ce qui est dégoûtant, se chamaillent sans cesse et accessoirement philosophent tout en dévalant des collines en luge. Mais finalement, ce qui est irrésistible dans ces comics, c'est le flegme des parents face aux trouvailles de Calvin et l'humour pince sans rire du père. L'avantage de ce format, c'est qu'on peut picorer ou...
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  • Eky 25/10/2013
    Quel bonheur ! Voici une BD que je pourrais lire et relire (une série de BD, en réalité.) Calvin, ce petit monstre de 6 ans me fait chaque fois rire aux éclats. Parfois tendre, souvent mordante; toujours hilarante, "Calvin et Hobbes" est pour moi un summum d'humour.
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