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Resident Evil - Marhawa Desire - tome 03
Xavière Daumarie (traduit par)
Collection : Resident Evil
Date de parution : 07/05/2013
Éditeurs :
Kurokawa

Resident Evil - Marhawa Desire - tome 03

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Xavière Daumarie (traduit par)
Collection : Resident Evil
Date de parution : 07/05/2013

ATTENTION DANGER BIOLOGIQUE ! Découvrez enfin l'adaptation manga de la célèbre saga Resident Evil !

Un troisième tome qui marque une avalanche de révélations! Qui est Nanan et quel drame mère Gracia essaie-t-elle de cacher à son entourage? Malgré le danger qui plane, mère Gracia décide de maintenir la fête de l'école. Une situation qui s'avèrera catastrophique pour les élèves dont les festivités se termineront dans un véritable bain de sang.

EAN : 9782351428771
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 176
Format : 128 x 182 mm
EAN : 9782351428771
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 176
Format : 128 x 182 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Alfaric 04/10/2015
    Allons à l’essentiel pour ce manga franchisé censé se dérouler entre "Resident Evil 5" et "Resident Evil 6" : dessins superbes de Naoki Serizawa, édition très soignée de Kurokuwa, scénario nanaresque de Capcom qui mélange school life et survival horror zombifique avec un vaste complexe urbain isolé plein de couloirs pas éclairés et de mystérieuses jeunes femmes encapuchonnées… Pourquoi ne suis-je aucunement surpris ? ^^ [masquer]"Resident Evil"est une franchise vidéoludique dédié au survival horror, genre qu’elle a popularisé quasiment à elle toute seule à partir du premier opus sorti en 1996, sur le modèle d’"Alone in the Dark" du frenchie Frédérick Raynal sorti lui en 1992. Sauf que là où les Français avaient puisé leurs inspirations horrifiques dans les livres d’H.P. Lovecraft, les Japonais ont eux puisé dans les films de George Romero… Après les zombies vaudous, puis les zombies virologiques, voici les zombies bioterroristes issus du business d’Umbrella Corporation et de l’incident de Raccoon City (le virus T transformant les gens en morts-vivants et ses variantes transformant les survivants en monstres quasi invincibles se régénérant quasi indéfiniment. Pourquoi a-t-on demandé au talentueux Masamune Shirow de fermer boutique à cause de ces récits sur le terrorisme alors qu’on foutu une paix royale à Capcom qui a traité le sujet n’importe comment ? (remember l’attentat au gaz sarin dans le métro de Tokyo par la secte Aum Shinriky#333; le 20 mars 1995) Parce que le terrorisme sans terroristes de Capcom rentre parfaitement dans les éléments de langage néo-cons alors que les terroristes de Masamune Shirow avec un visage, un nom et une histoire obligent les gens à s’interroger sur leurs motivations et les causes profondes qui les ont fait basculer dans la haine et la violence, ce qui ne rentre pas du toute sans l’idéologie néo-cons…. Mais je m’égare ! Par où commencer ? La luxueuse école privée Marhawa, assez grande pour accueillir 5000 élèves au bas mot avec sa cathédrale œcuménique mais qui n’en comporte que 500 (mdr), est tellement à l’écart du monde qu’il faut plusieurs heures de jet et plusieurs jours de jeep pour y parvenir : c’est d’autant plus nanaresque que les téléphones portables ne fonctionnent pas et qu’il n’y a aucun moyen de communication avec l’extérieur (aucun parent au monde n’enverrait son gosse au milieu de la jungle sans aucun de joindre facilement et rapidement le monde moderne ! c’est n’importe quoi !!!). L’école privée super moderne, super élitiste et super hype dirigée par des moines et des moniales, je ne crois pas une seconde (surtout pour une école asiatique située aux alentours de Singapour ! ^^) Je suis presque sûr que c’est pour caser des moines zombies (définitivement ringards depuis les années 1970) et des nonnes avec des flingues (qu’on ne retrouve plus qu’au xième degré dans les séries Z de Robert Rodriguez ou dans les telenovelas les plus bas de gamme : non ce n’est pas cool comme concept, c’est juste méga kitsch !). Le professeur qui va enquêter au milieu de nulle part avec son neveu branlou sans prévenir qui que se soit… pas crédible une seconde ! Le fait qu’ils farfouillent chacun de leur côté dans les recoins sombre à la recherche du patient zéro alors que les services de sécurité se tournent les pouces… Pas crédible une seconde ! Et puis Ricky Tozawa étudiant branché, se retrouve entouré de jolies lycéennes en uniforme sexy et en manque de chibre… Evidemment cela va donner lieu à pas mal de fanservice, et ce n’ai pas comme si le mangaka n’avait pas commencé sa carrière avec une série faisant la part belle au voyeurisme. Sans commentaire. Passons sur les bobos furyos, les lycéennes arbalétrières ou karatékas, le service d’ordre à efficacité à éclipse, le professeur principal samouraï ou l’agent d’entretien orphelin et sa masse d’armes… ^^ Car le pire c’est les dialogues et les situations dignes d’une production Asylum : « Sammy et Scoubidou allez à gauche, nous on va droite… » « Oh mon Dieu, les communications sont coupées ! » « Oh mon Dieu, on a saboté notre voiture !! » « Mais non, il faut viser la tête !!! » (Réplique déjà vue dans au moins 1000 nanars zombifiques ^^) « Ne vous inquiétez pas, l’incendie et les deux cadavres étaient prévus de longue date. » « Oh non, malgré la pandémie on ne va pas annuler la fête de l’école car cela serait une catastrophe… » « Malgré la multiplication des morts, je ne vois aucune raison d’avertir les parents et d’évacuer les lieux… »[/masquer] Un long flashback nous dévoile tout : élitisme, ségrégation, harcèlement voire oppression… On dénonce les maux du système scolaire japonais, mais une histoire de zombies était-elle le meilleur média pour aborder ces thèmes ? Car comme dans toutes les œuvres pour ado, on retrouve un ado rebelle qui faute de pouvoir changer le système décide de détruire le système quitte à tuer tout le monde… et on reste dans la maladresse puisque qu’on lorgne sur le remake de "Day of the Dead", un gros nanar zombifiques comme on n’ose plus trop en faire… L’école privée de luxe est envahie par les zombies et les élèves s’étonnent de la chose alors qu’il s’agit de la sixième attaque de zombies sur le campus en quelques jours… Nanar power !!! ^^ On aborde les thématiques survivalistes, certains s’alliant, certains se tirant dans les pattes, tandis que d’autres préfèrent se suicider. C’est bien vu, mais cela aurait bien mieux marché avec des personnages présents depuis le départ plutôt que d’introduire plein de nouveaux personnages qui vont mourir quelques pages plus tard. Comme prévu une fois assouvie sa vengeance (ou son ego ?), l’ado rebelle devient un pervers narcissique d’un côté, une horrible créature contaminée par le virus C d’un autre côté… Mais alors que Ricky s’apprête à mettre fin à ses jours, la team Chris Redfield arrive enfin à la rescousse ! Bref, un gros nanar manga donc une succulente friandise si et seulement si vous appréciez les nanars ! blink (car dès qu’on se prend au jeu, clichés, incohérences ou WTFs mettent la suspension d’incrédulité à l’épreuve)Allons à l’essentiel pour ce manga franchisé censé se dérouler entre "Resident Evil 5" et "Resident Evil 6" : dessins superbes de Naoki Serizawa, édition très soignée de Kurokuwa, scénario nanaresque de Capcom qui mélange school life et survival horror zombifique avec un vaste complexe urbain isolé plein de couloirs pas éclairés et de mystérieuses jeunes femmes encapuchonnées… Pourquoi ne suis-je aucunement surpris ? ^^ [masquer]"Resident Evil"est une franchise vidéoludique dédié au survival horror, genre qu’elle a popularisé quasiment à elle toute seule à partir du premier opus sorti en 1996, sur le modèle d’"Alone in the Dark" du frenchie Frédérick Raynal sorti lui en 1992. Sauf que là où les Français avaient puisé leurs inspirations horrifiques dans les livres d’H.P. Lovecraft, les Japonais ont eux puisé dans les films de George Romero… Après les zombies vaudous, puis les zombies virologiques, voici les zombies bioterroristes issus du business d’Umbrella Corporation et de l’incident de Raccoon City (le virus T transformant les gens en morts-vivants et ses variantes transformant les survivants en monstres quasi invincibles se régénérant quasi indéfiniment. Pourquoi a-t-on demandé au talentueux Masamune Shirow de fermer boutique à cause de ces récits sur le terrorisme alors qu’on foutu une paix...
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  • XanderOne 19/02/2015
    Ca y est, voici venir le tome charnière de la série où celle-ci prend enfin son envol ! Après deux premiers tomes plutôt sympathiques, nous avons enfin droit à un bon lot de révélations en tout genre ainsi qu'à une grosse montée en puissance niveau action, le tout pour nous séduire. L'origine des zombies à l'école Marhawa est enfin claire, mais il est déjà trop tard : ceux-ci ont envahi les lieux et plus rien ne peut désormais les arrêter... Alors que Ricky tente en vain de se débattre de ces monstres infâmes, la personne qui est à l'origine de ce terrible phénomène progresse dans ses cruels objectifs et la situation empire de pages en pages : comment notre héros va-t-il s'en sortir et comment la situation va-t-elle retrouver un moment de calme ? Impossible de le savoir pour le moment, c'est donc avec hâte que l'on veut désormais connaître la suite.
  • verodew 04/08/2013
    Le tome s'était terminé sur l'apparition de Nanan qui n'est plus qu'une sorte de monstre et c'est elle la source de tous ces zombies !!! Dans ce troisième opus, on va revenir en arrière et en apprendre plus sur Bindi et Nanan, savoir pourquoi elles se sont enfuies de l'école. Ricky va devoir prendre des décisions telles que tuer, l'épidémie se propage à une vitesse fulgurante, certains se suicident. Ricky va en arriver à vouloir en finir... Un tome encore tout en action, vraiment une saga géniale et haletante !!
  • EmyB 22/07/2013
    Un troisième tome qui se veut explicatif et expéditif. Le lecteur apprend pourquoi et comment le virus s'est propagé dans l'école. Une grande partie de ce tome est donc consacré à la révélation de l'intrigue des deux premiers tomes. Puis l'inévitable arrive et plus rien ne sera jamais comme avant. Un troisième tome qui laisse un peu sur sa faim. Le meilleur reste donc à venir puisqu'il se referme au moment le plus intéressant de l'histoire.
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