Glen Affric : Le livre de Karine Giebel

Excellent! L’écriture est fluide, tout en étant efficace et parfaitement maîtrisée. Un trio de personnages extrêmement attachants et à qui la vie ne fait pas de cadeaux. C’est une histoire difficile notamment dans le milieu carcéral mais c’est surtout une histoire remplie de tolérance, d’humanité, d’amour et de beaucoup de douleurs. Un très grand moment de lecture.

Glen Afric de @karinegiebel : COUP DE COEUR LITTÉRAIRE ABSOLU ! Je viens de terminer "Glen Affric" de Karine Giebel et je suis encore sous le choc ! Ce roman m'a littéralement happée dans des émotions d'une intensité rare, comme jamais auparavant. Giebel nous plonge au cœur de 3 destins brisés, 3 innocents à qui la vie n'a fait aucun cadeau : - Léonard, un ado au cœur pur mais au passé traumatisant, harcelé sans relâche. Sa seule lumière ? Un rêve lointain et une carte postale de Glen Affric envoyée par un frère qu'il ne connaît pas. - Jorge, ce frère emprisonné pour des crimes qu'il nie, dont la libération conditionnelle va faire basculer le destin de Léonard. - Et la déchirante Angélique, séquestrée et abusée, murée dans le silence. Leurs histoires s'entremêlent avec une maestria glaçante. Karine Giebel ne nous épargne rien de la cruauté humaine : du harcèlement scolaire aux rumeurs assassines, en passant par la corruption. Ça fait mal, ça révolte, ça secoue. La description de l'univers carcéral est d'une justesse effrayante, montrant comment la prison détruit les âmes, rendant "les innocents coupables et les coupables plus violents". Une vérité dure, mais essentielle. Pourtant, au milieu de cette noirceur, brillent des lumières d'amour maternel (merci Mona !), d'amitié, et surtout d'un amour fraternel entre Jorge et Léonard qui m'a fendu le cœur. Léonard est sans doute le personnage le plus bouleversant, son innocence désarmante et son rêve de Glen Affric resteront gravés. Les larmes ont souvent accompagné ma lecture. Ce roman est une explosion d'humanité, de tolérance, de soif de liberté, mais aussi de douleur. Le dénouement ? Attendez-vous à des surprises, même si un goût amer de vies gâchées persiste... Karine Giebel confirme son immense talent pour le thriller psychologique, mêlant le pire et le plus beau avec brio. Si vous avez aimé "Toutes blessent, la dernière tue", "Glen Affric" va vous cueillir encore plus fort ! Un immense merci à celle qui me l'a recommandé @les_lectures_de_juliie Je vous le recommande puissance mille ! #GlenAffric #KarineGiebel #ThrillerPsychologique #CoupDeCoeur #LectureAddict #booksta

• Ça fait des mois que je dois chroniquer ce livre... mais bizarrement, il passe de mains en mains au bureau, les conjoints des collègues le lisent aussi, bref, j'ai galéré à le récupérer pour faire une photo rapide, et il est déjà reparti chez un autre collègue ! • J'aurais même pas besoin d'en dire plus. Rien que cette anecdote devrait vous convaincre de foncer le lire. • Premier roman que je lis de l'autrice, et quelle claque ! Ce roman est parfait : l'écriture est exceptionnelle, des rebondissements mais pas trop, une plume fine pour les descriptions, dure, concise, percutante quand il faut, une histoire qui tient la route jusqu'au bout, des personnages humains et attachants... wahou ! • Certes, il fait plus de 700 pages. Mais 700 pages qui défilent comme s'il n'en faisait que 200. Difficile à lâcher, on a juste envie de le reprendre une fois déposé. • À découvrir de toute urgence !

Je ressors de cette lecture complètement retourné. Ce roman m’a littéralement brisé. Et je ne suis clairement pas prêt d’enchaîner une autre lecture. Il m’en faut encore un peu pour digérer tout ça. Avec Glen Affric, Karine Giebel ne raconte pas seulement une histoire, elle nous fait vivre une déferlante d’émotions. Colère, tristesse, tendresse, dégoût, espoir… C’est rare un livre qui prend aux tripes à ce point-là. Et quand ça arrive, on s’en souvient longtemps. Léonard m’a bouleversé. Ce personnage si touchant, si fragile, si différent… on voudrait le protéger de tout. Jorge, Mona, Angélique… chacun à leur façon nous emmène dans les recoins les plus sombres de la condition humaine, mais aussi dans ce qu’elle a de plus lumineux parfois : la loyauté, l’amour, la dignité, le courage. Le style de Karine Giebel est fluide, puissant, percutant. Pas de fioritures, chaque mot sonne juste. Malgré les 760 pages, je n’ai jamais décroché. Je l’ai lu avec avidité, tout en redoutant ce qui allait arriver. Et une fois la dernière page tournée, je suis resté là, vidé. C’est un roman noir, dur, mais profondément humain. Un de ces rares livres qui laissent une trace, qui vous bousculent, qui vous hantent. Glen Affric, c’est un refuge rêvé. Un ailleurs, un espoir. Mais tout ce qu’il y a autour est une descente violente, implacable. Ce roman, c’est plus qu’un coup de cœur. C’est un coup au cœur.