Nos cœurs disparus de Celeste Ng a dans un premier temps été un coup de cœur éditorial, avant de devenir un livre coup de cœur des libraires, de la presse, des lecteurs. Nous avions envie de vous en parler encore, parce qu’il est à la fois lumineux, émouvant, nécessaire, instructif… tout ça à la fois !
Bird a 12 ans. Il a grandi dans une Amérique régie par le PACT, loi sur la sauvegarde de la culture et des traditions américaines. Les libertés individuelles sont réduites, les cultures étrangères sont traquées, les livres interdits, les enfants enlevés aux parents soupçonnés d’être antipatriotiques. Margaret Miu, la mère de Bird classée POA - Personne d'Origine Asiatique), a disparu il y a plusieurs années et Bird, aidé d'un réseau clandestin de bibliothécaires, va tout faire pour la retrouver.
Ce qui transparait dans ce roman : la lumière, le pouvoir des mots, de l’art, la force salvatrice des histoires comme liens entre les humains, comme lien entre le présent et le passé, et surtout l’espoir. Celui qui subsiste quand nous nous battons pour nos libertés et pour sauver les liens.
« Cette dystopie pose la question de la fin de l’innocence, d’un monde ou la liberté est niée, de liens familiaux qui perdurent malgré l’absence. Nos cœurs disparus se demande comment élever les enfants à venir, et si l’amour, les livres peuvent nous aider à mieux vivre ensemble. Ensorcelant. »
Psychologies magazine
« Une magnifique histoire de courage et de combat pour la liberté ! Mais oubliez les gros bras et les bazookas... Ici, c'est à coup de mots et de tendresse qu'on se bat ! »
Librairie 47 Degrés Nord (Mulhouse)
« Un roman profondément engagé, mais écrit avec subtilité et une émotion à fleur de peau. Sublimé par des personnages vrais, beaux, inoubliables. »
Gruz - Babelio
Bonne lecture !
Celeste Ng n’avait encore jamais écrit de dystopie. Nos cœurs disparus est un genre nouveau pour la romancière et pourtant on retrouve ici tout ce qu’on aime chez elle. Une fois encore, elle nous embarque dans son univers et, dans ces pages bouleversantes, ne nous laisse pas un moment de répit.