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La véritable histoire de Lady L.
Florence Bertrand (traduit par)
Date de parution : 24/01/2013
Éditeurs :
Belfond

La véritable histoire de Lady L.

Florence Bertrand (traduit par)
Date de parution : 24/01/2013

Ne vous fiez pas aux apparences, Lady L. n’est pas celle que vous croyez. La femme sans histoire de cette petite ville américaine cache bien des secrets. Ceux d’une princesse anglaise disparue quelques années plus tôt, morte aux yeux du monde et bien décidée à le rester. Après le succès de Sept mers et treize rivières et de En cuisine, Monica Ali ressuscite Diana, le temps d’un roman plein de mystère, de suspense et de charme.

Nimbé de mystère, un roman envoûtant au charme particulier, un What if novel qui réinvente le destin d’une icône royale, d’une lady anglaise inoubliable.

31 août 1997, la disparition tragique...

Nimbé de mystère, un roman envoûtant au charme particulier, un What if novel qui réinvente le destin d’une icône royale, d’une lady anglaise inoubliable.

31 août 1997, la disparition tragique de la princesse de Galles plonge le Royaume-Uni dans le désespoir. Que s’est-il passé ? Qu’est-ce qui a conduit à...

Nimbé de mystère, un roman envoûtant au charme particulier, un What if novel qui réinvente le destin d’une icône royale, d’une lady anglaise inoubliable.

31 août 1997, la disparition tragique de la princesse de Galles plonge le Royaume-Uni dans le désespoir. Que s’est-il passé ? Qu’est-ce qui a conduit à cette tragédie ? Et si…
Et si leur lady n’était pas morte ?
Et si la princesse avait choisi de tout quitter, de maquiller sa mort et de renaître ailleurs ? Et si, lasse des tromperies de son époux, de la rigueur du protocole et de la traque incessante des paparazzi, elle avait choisi l’anonymat d’une petite ville américaine ?

Dix ans plus tard, le secret de Lady L. ne tient plus qu’à un fil : un journaliste est tout près de la vérité. Déterminée à préserver les siens d’un nouveau scandale et à protéger ce qu’elle a mis tant de temps à reconstruire, Lady L. n’est pas prête à se rendre. De proie, la princesse pourrait bien devenir chasseur…

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EAN : 9782714455178
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782714455178
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ils en parlent

« La Véritable Histoire de Lady L. recèle de nombreux niveaux lecture. Ainsi, se découvre entre les lignes un thème cher à Monica Ali : celui de l’immigration, l’histoire d’une femme qui doit apprendre à se réinventer dans un pays qui lui demeure étranger, loin des siens et de son passé. »
The Globe and Mail

« On retrouve dans La Véritable Histoire de Lady L. ce qui a fait le succès de Sept mers et treize rivières et de En cuisine : un soin tout particulier accordé à la construction des personnages. Là encore, Monica Ali use de tout son talent, s’évertue à les dépouiller de leur matière, pour ne conserver que leur essence : leurs peurs, leurs espoirs et leurs motivations. »
Los Angeles Times

« Avec La Véritable Histoire de Lady L., Monica Ali donne à lire sa propre version du destin de la mythique Diana, celle d’une femme basculant sa vie durant d’un drame à l’autre, finalement incapable d’accéder à la tranquillité. »
Publishers Weekly

« Avec La Véritable Histoire de Lady L. Monica Ali livre un roman sans complaisance, un petit ovni littéraire où se mêlent questionnement identitaire et page-turner à suspense. »
Oprah

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • fabienne2909 12/07/2022
    La date du 31 août 1997 résonne encore lugubrement pour bon nombre de Britanniques : il s’agit de celle du décès de Lady Diana, dans un tragique accident de voiture. Mais si, en réalité, la « princesse des cœurs », comme on la surnommait, n’était pas morte, mais avait décidé de s’enfuir ? Dans ce roman « what if », Monica Ali redonne vie à ce symbole national pour imaginer ce que pourrait être la vie parallèle d’une princesse qui aurait décidé de tout abandonner pour vivre une vie normale, loin de ses démons. Parti-pris audacieux, et à ce titre un peu périlleux, car avec un concept pareil, l’intrigue a intérêt à être solide. D’autre part, il me semble nécessaire de se détacher d’une biographie officielle pour rendre le roman crédible, et ne pas tomber dans la pantalonnade. Alors, est-ce que Monica Ali y réussit (oui, j’aime bien mettre une bonne grosse dose de suspense dans mes billets 😉) ? Le roman s’ouvre sur la fête d’anniversaire qu’organisent les amies de Lydia, cette jeune femme britannique venue s’installer dans la ville de Kensington (premier clin d’œil avec cette ville du Connecticut) et dont elles ne savent pas grand-chose. Ces premières pages nous mettent dans une ambiance « Desperate housewives » plutôt que « The Crown ». Lydia a du retard, ce qui n’est pas dans ses habitudes. Lui est-il arrivé quelque chose ? Leur posera-t-elle un lapin ? On apprendra que Lydia est plutôt coutumière du fait, puisque la fuite fait partie du « petit plan » qu’elle a conçu quelques années plus tôt… quand elle était princesse de Galles. Ce petit plan sera abondamment décrit par Lawrence dans son journal, le secrétaire particulier de la princesse (peut-être trop d’ailleurs) car le roman est, pendant une bonne moitié de l’ouvrage, occupé par son récit avec en alternance, un peu celui de Lydia et surtout celui de John Grabowski, un paparazzi venu aux Etats-Unis soigner sa déprime, et qui s’installera par hasard (celui-ci fait bien les choses…) dans la même ville. Évidemment, il la reconnaîtra malgré les opérations esthétiques que la princesse aura pris soin de faire pour modifier ses traits. La couverture de Lydia sera-t-elle réduite à néant, et la mascarade révélée au grand jour (hé oui, encore du suspense ! 😊) ? Alors donc, est-ce que tous ces ingrédients font un bon roman, à la hauteur de son idée de départ ? Oui et non. La faute à un roman que je trouve un peu maladroitement construit avec ses trois récits mélangés (Lydia, Lawrence le secrétaire et Grabowski le paparazzi). Celui de Lawrence prend énormément de place, il nous raconte sa Lydia, donne beaucoup de détails sur l’organisation de sa disparition, ce qui donne à l’intrigue principale – la nouvelle vie de Lydia –, une lenteur démesurée (c’est vrai aussi qu’elle a une vie très tranquille et pas forcément très passionnante). Peut-être que l’autrice a voulu donner une crédibilité à son histoire, puisqu’elle ne reprend que les gros traits de l’histoire de Diana pour en écrire une version parallèle et fictionnelle (d’ailleurs l’autrice a pris soin pour ce faire de ne donner aucun nom réel). Or, ce n’est pas un roman documentaire, le lecteur à mon sens peut accepter que la princesse disparaisse sans tous ces détails ! De ce fait, le roman met beaucoup de temps à donner à Lydia sa voix, mais quand il le fait, et c’est en cela que je l’ai bien aimé, cela apporte une certaine profondeur puisqu’il donne à voir sa douleur à l’idée d’avoir abandonné malgré tout ses fils, et la difficulté, le courage que cela lui a demandé de reconstruire sa vie, de mûrir. L’autrice nous donne à voir ainsi une Lydia qui émotionnellement, ressemble beaucoup à l’idée que l’on pouvait se faire de Diana, cette femme à fleur de peau et à la recherche tellement démesurée d’amour qu’elle ne pouvait être que déçue. Le récit de Grabowski, ce paparazzi sur le retour, excité comme un limier à l’affût du sang une fois qu’il a reconnu la princesse, est ainsi, comme les autres, une force et une faiblesse du roman : il est assez mal écrit, avec un certain relâchement dans le vocabulaire (manière de souligner à gros traits la vulgarité du personnage, parfois animé de bons sentiments qu’il étouffe rapidement), ce qui ne rend pas sa lecture particulièrement agréable. Mais il a le mérite de montrer la mentalité des paparazzis, et de faire comprendre combien la vie de la princesse a dû être gâchée par eux, même si elle en jouait à certains moments. Le résultat donne donc un roman inégal et un peu anecdotique. Il vaudra principalement pour son personnage de Lydia qui, dans ses peurs, ses hésitations et sa volonté désespérée d’être heureuse, est aussi attachante que la véritable princesse dont elle prend les traits. La date du 31 août 1997 résonne encore lugubrement pour bon nombre de Britanniques : il s’agit de celle du décès de Lady Diana, dans un tragique accident de voiture. Mais si, en réalité, la « princesse des cœurs », comme on la surnommait, n’était pas morte, mais avait décidé de s’enfuir ? Dans ce roman « what if », Monica Ali redonne vie à ce symbole national pour imaginer ce que pourrait être la vie parallèle d’une princesse qui aurait décidé de tout abandonner pour vivre une vie normale, loin de ses démons. Parti-pris audacieux, et à ce titre un peu périlleux, car avec un concept pareil, l’intrigue a intérêt à être solide. D’autre part, il me semble nécessaire de se détacher d’une biographie officielle pour rendre le roman crédible, et ne pas tomber dans la pantalonnade. Alors, est-ce que Monica Ali y réussit (oui, j’aime bien mettre une bonne grosse dose de suspense dans mes billets 😉) ? Le roman s’ouvre sur la fête d’anniversaire qu’organisent les amies de Lydia, cette jeune femme britannique venue s’installer dans la ville de Kensington (premier clin d’œil avec cette ville du Connecticut) et dont elles ne savent pas grand-chose. Ces premières pages...
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  • nnb 20/08/2013
    Hypothèse troublante : si Lady Di n'était pas morte le 31 août 1997 mais avait volontairement décidé de disparaître ?... L'auteur du très remarqué « Sept mers et treize rivières » Monica Al i construit un récit original et captivant à mi-chemin entre le roman psychologique et le thriller à la rencontre de la princesse de Galles dans une nouvelle vie.... et de nouveaux tourments !
  • traversay 14/02/2013
    De Monica Ali, passée maître dans l'art de raconter de passionnantes histoires sur fond de métissage au Royaume-Uni, on n'attendait certes pas un roman tel que La véritable histoire de Lady L. qui reprend à son compte un genre que le monde anglo saxon désigne sous le terme de What-if ? En l'occurrence, et si la Princesse de Galles n'était pas morte dans un accident de voiture et si elle avait choisi de disparaître en se réfugiant dans une petite ville américaine ? Oh, Diana, désormais appelée Lydia, quelle serait sa vie au quotidien entourée d'amies, d'un chien fidèle et d'un petit ami. Auxquels elle ne livrerait au compte-goutte que de pieux mensonges sur son passé, laissant planer le mystère. Cette partie du livre, la plus consistante, plonge profondément dans la psychologie de cette femme aux nouveaux visage et identité. Le portrait est assez subtil bien qu'il n'apprenne rien d'inédit sur sa personnalité. Plus intéressante est le journal intime, écrit dix ans plus tôt, par son confident, celui là même qui l'aurait aidée à s'enfuir. A travers leur relation privilégiée et le retour sur les années de gloire et de dépression mêlées, l'écriture précise de Monica Ali se fait incisive et pertinente. Pour donner un peu de piment, la romancière a cru bon d'ajouter un aspect de thriller à son livre en introduisant un paparazzo qui, par hasard, débusque notre Lady Di et la reconnait à la couleur de ses yeux (sic). On aurait pu se passer de cet épisode qui donne cependant une touche paranoïaque et angoissante qui n'est pas déplaisante. Un exercice de style que ce What-if, sans soute une parenthèse dans l'oeuvre de Monica Ali, dont on ne peut nier les qualités de construction mais qui reste toutefois anecdotique et simplement divertissant eu égard aux thématiques habituelles de la romancière britannique depuis Sept mers et treize rivières.De Monica Ali, passée maître dans l'art de raconter de passionnantes histoires sur fond de métissage au Royaume-Uni, on n'attendait certes pas un roman tel que La véritable histoire de Lady L. qui reprend à son compte un genre que le monde anglo saxon désigne sous le terme de What-if ? En l'occurrence, et si la Princesse de Galles n'était pas morte dans un accident de voiture et si elle avait choisi de disparaître en se réfugiant dans une petite ville américaine ? Oh, Diana, désormais appelée Lydia, quelle serait sa vie au quotidien entourée d'amies, d'un chien fidèle et d'un petit ami. Auxquels elle ne livrerait au compte-goutte que de pieux mensonges sur son passé, laissant planer le mystère. Cette partie du livre, la plus consistante, plonge profondément dans la psychologie de cette femme aux nouveaux visage et identité. Le portrait est assez subtil bien qu'il n'apprenne rien d'inédit sur sa personnalité. Plus intéressante est le journal intime, écrit dix ans plus tôt, par son confident, celui là même qui l'aurait aidée à s'enfuir. A travers leur relation privilégiée et le retour sur les années de gloire et de dépression mêlées, l'écriture précise de Monica Ali se fait incisive...
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