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L'Impératrice fatale - tome 1 La fille orchidée
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 01/11/2012
Éditeurs :
L'Archipel

L'Impératrice fatale - tome 1 La fille orchidée

Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 01/11/2012
De tous les personnages de pouvoir, Tseu-hi (1835-1908) reste l'un des plus fascinants. Celle qui régna pendant un demi-siècle en maîtresse absolue de la Chine tenta en vain de protéger... De tous les personnages de pouvoir, Tseu-hi (1835-1908) reste l'un des plus fascinants. Celle qui régna pendant un demi-siècle en maîtresse absolue de la Chine tenta en vain de protéger l'Empire du Milieu contre la sédition et le dépeçage par le Japon et les puissances occidentales.La « fille orchidée »... De tous les personnages de pouvoir, Tseu-hi (1835-1908) reste l'un des plus fascinants. Celle qui régna pendant un demi-siècle en maîtresse absolue de la Chine tenta en vain de protéger l'Empire du Milieu contre la sédition et le dépeçage par le Japon et les puissances occidentales.La « fille orchidée » entre comme concubine au palais impérial en 1851. Simple figurante dans la Cité interdite, elle devient en peu d'années, grâce à sa volonté, son intelligence et sa beauté, une actrice de premier plan. À 17 ans, elle donne naissance à l'héritier, le futur empereur Tongzhi. À 26 ans, elle est nommée impératrice douairière. Convaincue de la suprématie des Mandchous et de la sienne propre, Tseu-hi ne recule devant aucun crime pour protéger le règne des Q'ing mandchous des intrusions du monde extérieur. Sa rivale, la précédente impératrice douairière Tseu-han, disparaîtra de la scène en 1881, probablement empoisonnée - tout comme Tongzhi, qui meurt à 19 ans...Tseu-hi a mené au tombeau la dynastie qu'elle voulait défendre à tout prix. C'est avec la verve du romancier que Gerald Messadié raconte le destin de cette jeune fille que le pouvoir va transformer en monstre de cynisme...
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EAN : 9782809808124
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 330
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782809808124
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 330
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • fantomette44 30/03/2023
    Je suis une fan de Tseu Hi et cet ouvrage, certes intéressant, est plus près du documentaire et cours d'histoire, que du roman. Un lecteur qui n'aurait rien lu au sujet de cette maîtresse femme, n'éprouvera aucune empathie envers Tseu Hi. J'ai apprécié cependant la lecture des deux tomes. L'histoire de cette colonisation donne un autre éclairage sur la politique actuelle du dirigeant actuel de la Chine, et ses méthodes évidemment contestables, la "dictature démocratique"
  • Rachouk69 12/11/2015
    il y a plusieurs vitesses dans ce roman, au début la vie de la fille orchidée s'accélère bien vite et elle se retrouve en un rien de temps au coeur de la cité interdite, dans la couche de l'empereur... ensuite il y a des longueurs, l'histoire se traîne et l'auteur s'embourbe dans un discours soutenu... puis de nouveau la fin rebondie et on a envie de sauter sur le 2nd tome... la description de tous ces jardins et palais nous fait rêver, tout semble paisible et silencieux... à croire que derrière ces murs on vit au ralenti et on n'imagine pas une 2nde tous les chamboulements qui se déroulent au dehors... pourtant la machine est en route : révolutions, colonisation vont faire basculer l'Empire du Milieu...
  • zazy 10/10/2012
    Quel personnage, quel destin !! Yehenara, petite fille chinoise de l’ethnie des Mandchous, a grandi dans la haine des «Longs Nez » transmise par son père, capitaine qui mourra assez jeune. Mais qui sont ces « Longs Nez » ? Ce sont les occidentaux qui envahissent la Chine Impériale, qui ont propagé et vendu l’opium dans tout l’Empire. Mais pourquoi un livre sur cette jeune fille ? Tout simplement parce que, avec la disgrâce puis la mort de son père, elle ne peut plus se marier, les partis ont fui et elle devient concubine de l’empereur Hsien-Feng. Le 27 avril 1856, nait de cette union, un fils Tsai-Chen, le Fils qui lui permettra de devenir « Concubine de la vertu féminine qui équivaut au rang de seconde épouse. A la mort de l’Empereur, elle devient régente avec la veuve qui n’est autre que sa cousine. Nous sommes dans un monde clos où Tseu-Hi (c’est son nouveau nom) règne en maîtresse. Elle luttera, entre autres, contre la horde des Taï Ping, elle vaincra le complot des la Bande des Huit et les Chapeaux de Fer qui veulent la renverser, uniquement parce qu’elle est une femme. Bien sûr, Tseu-Hi n’est pas un ange de bonté, sa peur de perdre Son Pays lui a fait commettre l’irréparable, comme tuer son propre fils ! mais retournons-nous sur notre propre histoire ! Gouvernée elle-même pas sa haine des occidentaux qui, on le lit dans le livre de Gérald Méssadié, ont eu un comportement odieux et méprisant vis-à-vis de cette civilisation, Tseu-Hi refusera tout d’Eux, jusqu’au modernisme qui arrive. Dans ce vase clos qu’est la Cité Interdite, il n’y a que complots, tentatives d’empoisonnement, de meurtre, délation, corruption…. Les conseillers, sauf une poignée, n’osent pas dire la stricte vérité de peur d’être punis. Un livre dense, très intéressant et, je pense, objectif. J’ai arrêté ma lecture quelques jours pour reprendre mon souffle, ingurgiter toutes les péripéties. Quelle histoire !! rien ne préparait Yehenara à ce destin grandiose. De quelle ténacité elle à dû faire preuve avec ce mari et ce fils sous l’emprise de l’opium et des eunuques ! Gérald Messadié, d’une écriture classique et très agréable, nous raconte les Grandeur de la dynastie et décadence des empereurs. Quel personnage, quel destin !! Yehenara, petite fille chinoise de l’ethnie des Mandchous, a grandi dans la haine des «Longs Nez » transmise par son père, capitaine qui mourra assez jeune. Mais qui sont ces « Longs Nez » ? Ce sont les occidentaux qui envahissent la Chine Impériale, qui ont propagé et vendu l’opium dans tout l’Empire. Mais pourquoi un livre sur cette jeune fille ? Tout simplement parce que, avec la disgrâce puis la mort de son père, elle ne peut plus se marier, les partis ont fui et elle devient concubine de l’empereur Hsien-Feng. Le 27 avril 1856, nait de cette union, un fils Tsai-Chen, le Fils qui lui permettra de devenir « Concubine de la vertu féminine qui équivaut au rang de seconde épouse. A la mort de l’Empereur, elle devient régente avec la veuve qui n’est autre que sa cousine. Nous sommes dans un monde clos où Tseu-Hi (c’est son nouveau nom) règne en maîtresse. Elle luttera, entre autres, contre la horde des Taï Ping, elle vaincra le complot des la Bande des Huit et les Chapeaux de Fer qui veulent la renverser, uniquement parce qu’elle est une femme. Bien sûr, Tseu-Hi n’est pas un ange...
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