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Nora ou le paradis perdu
Colette Joyeux (traduit par)
Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 01/02/2017
Éditeurs :
Archipoche

Nora ou le paradis perdu

Colette Joyeux (traduit par)
Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 01/02/2017
Cuba, 1956. Nora et Alicia, deux cousines complices, vivent une enfance heureuse et insouciante. Mais la révolution éclate, et Fidel Castro prend le pouvoir. Un climat de peur, accentué par... Cuba, 1956. Nora et Alicia, deux cousines complices, vivent une enfance heureuse et insouciante. Mais la révolution éclate, et Fidel Castro prend le pouvoir. Un climat de peur, accentué par la répression, s’installe peu à peu sur l’île, poussant les parents de Nora à émigrer aux États-Unis. Grâce aux lettres que... Cuba, 1956. Nora et Alicia, deux cousines complices, vivent une enfance heureuse et insouciante. Mais la révolution éclate, et Fidel Castro prend le pouvoir. Un climat de peur, accentué par la répression, s’installe peu à peu sur l’île, poussant les parents de Nora à émigrer aux États-Unis. Grâce aux lettres que les deux cousines ne cessent d’échanger, elles restent proches. Mais Nora comprend bien vite que la vie d’Alicia est devenue un enfer. Nora décide alors de retourner à la Havane pour lui venir en aide. Mais ce qu’elle va découvrir à Cuba est pire encore que ce qu’elle avait bien pu imaginer… Cecilia Samartin signe ici son roman le plus personnel, une histoire d’amitié et d’amour, une ode à cette île qui restera à jamais le paradis perdu de son enfance. Première édition : l’Archipel, 2015 
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EAN : 9782352879688
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 470
Format : 113 x 180 mm
EAN : 9782352879688
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 470
Format : 113 x 180 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • BenedicteM 23/10/2023
    Cuba, années 50, Nora et Alicia sont des cousines inséparables vivant dans l'insouciance de l'enfance jusqu'au jour où la révolution éclate avec l'arrivée de Fidel Castro. La vie change pour les cousines : rationnement, réquisitions, arrestations. Les cubains anti révolutionnaires décident de fuir. C'est le cas des parents de Nora, L'adaptation est difficile pour Nora, dont le cœur est resté à Cuba. Mais la vie est également difficile pour Alicia. Vision différente de la vie des cubains, famine. Profiteurs, exil. Lecture fluide et agréable. Un bon moment de lecture
  • LaureLiseuseHyperfertile 20/02/2022
    Après avoir été longtemps dans ma WL, ce livre a intégré ma PAL grâce à ma jumelle LeslecturesdeKnut pour qui il a été une très belle lecture. Je suis donc partie à Cuba, une île dont je connais bien peu de choses et que Cecilia Samartin éclaire superbement ici. C’est l’histoire de 2 vies toujours liées, celles de 2 cousines très proches, Nora et Alicia. D’abord une enfance superbe, sous le soleil de Cuba, sous la chaleur de liens familiaux, les grands parents, les oncles et tantes. On ressent vraiment sous la plume de l’auteure, la douceur et la beauté de la vie des 2 enfants. Pourtant, très vite, à travers les échanges des adultes, les tensions seront vite ressenties par les cousines. C’est l’arrivée au pouvoir de Castro et les premières restrictions dans la vie de tous. La révolution va faire fuir de nombreux habitants vers les USA et, très vite, les parents de Nora vont y songer eux aussi. Nora et Alicia sont alors séparées pour de très longues années. Mais jamais leur lien ne sera rompu et nous allons suivre leurs échanges épistolaires pendant 20 ans. Pour Nora, ce sera la vie d’une émigrante, l’adaptation à une nouvelle langue, la reconstruction pour sa famille mais toujours avec le déchirement en tête d’avoir quitté son pays. Pour Alicia, ce sera une vie de plus en plus dure sous le régime de Castro et parsemée de drames personnels. Jusqu’au jour où, enfin, Nora va être convaincue par son mari de retrouver Alicia, à Cuba. Pour lui venir en aide. Nous sommes alors marqués par la vie qui est la sienne sur l’île et par l’impuissance qui va vite marquer Nora, incapable de lui venir en aide. On sait qu’Alicia aurait du quitter Cuba depuis longtemps, que c’était et sera la seule échappatoire. Je me doutais qu’il n’en était pas fini des drames et rebondissements et Cécilia Samartin nous livre en effet un final poignant. Cette lecture est de celle qu’on n’oublie pas pour tout ce qu’elle nous a appris, pour le drame de populations contraintes par les idées d’un despote, pour la beauté également du pays évoqué et croyez-moi, vous aurez envie de découvrir Cuba, on prend tant de plaisir aux descriptions de ce pays qui reste le cœur des personnages malgré ce qu’il subit. Et puis, si vous aimez les belles destinées de personnages, nul doute que vous serez charmés par les histoires liées de 2 cousines aussi proches que des soeurs.Après avoir été longtemps dans ma WL, ce livre a intégré ma PAL grâce à ma jumelle LeslecturesdeKnut pour qui il a été une très belle lecture. Je suis donc partie à Cuba, une île dont je connais bien peu de choses et que Cecilia Samartin éclaire superbement ici. C’est l’histoire de 2 vies toujours liées, celles de 2 cousines très proches, Nora et Alicia. D’abord une enfance superbe, sous le soleil de Cuba, sous la chaleur de liens familiaux, les grands parents, les oncles et tantes. On ressent vraiment sous la plume de l’auteure, la douceur et la beauté de la vie des 2 enfants. Pourtant, très vite, à travers les échanges des adultes, les tensions seront vite ressenties par les cousines. C’est l’arrivée au pouvoir de Castro et les premières restrictions dans la vie de tous. La révolution va faire fuir de nombreux habitants vers les USA et, très vite, les parents de Nora vont y songer eux aussi. Nora et Alicia sont alors séparées pour de très longues années. Mais jamais leur lien ne sera rompu et nous allons suivre leurs échanges épistolaires pendant 20 ans. Pour Nora, ce sera la vie d’une émigrante, l’adaptation à une nouvelle langue,...
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  • Aliceaupaysdesmecaniques 24/12/2021
    Découvrez Cuba, avant et pendant la Révolution, par les yeux de deux cousines très complices et très différentes. Cette fois-ci nous explorons le Cuba d’avant et pendant la Révolution, de 1956 à 1981. Je ne connais pas grand chose de Cuba, seulement quelques faits, quelques noms : la Baie des cochons, Fidel Castro, le blocus américain, la récente ouverture américaine initiée par Obama, le Buena vista social club… les cigares, la Havane. Comment Cuba est-il devenu communiste ? A quoi ressemblait Cuba avant le communisme ? Comment y vivait-on ? Aucune idée. Premier avantage de ce roman : on y apprend énormément de choses. L’auteure vient elle-même de Cuba et son amour pour les plages, la mer, le ciel, la végétation, les rues de Cuba infuse l’intégralité du récit. Les couleurs, les gens, la magie des lieux, tout semble sublime ; et tout est sublimé par la mémoire, le souvenir. Car la narratrice a fui Cuba avec sa famille en 1962, trois ans après la révolution cubaine. Ses souvenirs de Cuba sont des souvenirs de petite fille. (L’auteure est elle-même née à la Havane et a grandi aux États-Unis). Nora ou le paradis perdu raconte l’histoire de deux cousines très amies et très proches : Nora et Alicia. Nora est timide, un peu timorée, jamais au centre de l’attention, très obéissante. Alicia, c’est tout l’inverse : elle est vive, espiègle, sûre d’elle, aventureuse. Leur enfance se déroule dans de grandes maisons à la Havane. On y découvre un Cuba florissant, très catholique, avec des fillettes très bien élevées et très policées, un mode de vie très prude et l’omniprésence de la beauté des lieux. La pétulante Alicia flirte en douce avec Tony ; elle sera sévèrement punie pour cela. Ça ne se fait pas. Avec la révolution et l’accession au pouvoir de Fidel Castro, le niveau de vie va dégringoler peu à peu. Ce n’est pas un roman politique, mais le portrait du pays sous Castro brossé par Cecilia Samartin est à charge et sans appel : c’est une lente dégringolade, les produits disparaissent les uns après les autres des commerces, le rationnement se met en place, les gens s’avilissent. Alicia revoit Tony, qui croit dur comme fer à la révolution ; pendant ce temps, la famille de Nora et d’Alicia commence d’émigrer, en une longue hémorragie. Il devient de plus en plus difficile de partir, les visas sont délivrés au compte-goutte. Les parents de Nora choisissent de quitter l’île pendant qu’il est encore temps, alors que le père d’Alicia s’y refuse. Commence en 1962 la vie américaine de Nora ; c’est via les lettres qu’elle reçoit que le lecteur suit la vie d’Alicia à Cuba et en voit les conditions se dégrader progressivement. Alicia se marie à Tony ; ils vivent dans une grande misère et ont une fille, Lucinda. Tony est envoyé à l’étranger pour soutenir d’autres révolutions pendant les premières années de sa fille ; il est absent quand on la découvre aveugle. Son inscription à la clinique pour des soins ophtalmologiques traîne – les officiels sont prioritaires – puis est annulée quand on apprend qu’Alicia est allée une fois prier dans une église. Car toutes les églises sont désaffectées, prier est interdit et la délation est largement encouragée. Pendant ce temps, Nora ne s’habitue pas vraiment à la vie américaine ; son cœur est à Cuba, un Cuba idyllique, un Cuba d’enfance et de couleurs. La vie de Nora est l’occasion d’une réflexion fine sur ce qu’est le déracinement, l’émigration ; la douleur de devoir quitter son pays quand on est contraint de le faire ; l’absence. Lorsque Nora comprend que sa cousine est au plus mal, en 1981, elle retourne à Cuba, pour y découvrir une vie, une ville, une situation laides, un vrai crève-cœur. Elle y retrouve en même temps son pays, ses racines, son identité. Nora ou le paradis perdu est un très bon roman, une belle fresque historique avec des accents très réalistes. Dommage que l’une des dernières scènes brise ce réalisme pour verser dans l’aventure de pacotille, on y perd un peu d’authenticité.Découvrez Cuba, avant et pendant la Révolution, par les yeux de deux cousines très complices et très différentes. Cette fois-ci nous explorons le Cuba d’avant et pendant la Révolution, de 1956 à 1981. Je ne connais pas grand chose de Cuba, seulement quelques faits, quelques noms : la Baie des cochons, Fidel Castro, le blocus américain, la récente ouverture américaine initiée par Obama, le Buena vista social club… les cigares, la Havane. Comment Cuba est-il devenu communiste ? A quoi ressemblait Cuba avant le communisme ? Comment y vivait-on ? Aucune idée. Premier avantage de ce roman : on y apprend énormément de choses. L’auteure vient elle-même de Cuba et son amour pour les plages, la mer, le ciel, la végétation, les rues de Cuba infuse l’intégralité du récit. Les couleurs, les gens, la magie des lieux, tout semble sublime ; et tout est sublimé par la mémoire, le souvenir. Car la narratrice a fui Cuba avec sa famille en 1962, trois ans après la révolution cubaine. Ses souvenirs de Cuba sont des souvenirs de petite fille. (L’auteure est elle-même née à la Havane et a grandi aux États-Unis). Nora ou le paradis perdu raconte l’histoire de deux cousines très amies et très proches...
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  • delphlabibliovore 28/05/2017
    "Nora ou le paradis perdu" de Cecilia Samartin porte bien son titre. Tout au long de ce roman, j'ai été submergée d'émotions et surtout d'un parfum de nostalgie. "Mais n'oublie jamais, Nora, n'oublie jamais le Cuba que nous avons connu et dis-le à Lucinda et à tes enfants avant même qu'ils aient l'âge de comprendre, pour que Cuba fasse partie d'eux comme il fait partie de nous." L’histoire commence à Cuba en 1956. On suit le lien entre Nora et Alicia, deux cousines. Ce lien est mis à rude épreuve avec l’arrivée de Castro. Elles tentent pourtant de rester en relation alors que l’une est partie se réfugier aux Etats-Unis et l’autre est restée dans leur beau pays natal. Les événements historiques bousculent la vie de ces deux cousines. Mais c’est surtout Nora qui raconte… Les relations épistolaires ponctuelles sont un bon moyen de suivre la vie des deux jeunes filles séparées. De plus ce procédé permet de gagner beaucoup de temps dans la narration. Il faut savoir que ce livre est un pavé de 471 pages. Une fois plongée dedans, je me suis noyée avec plaisir dans la beauté d’un pays agressé et abimé par la folie d’un homme. " Je n’avais plus besoin de lire les mots : je les savais pas cœur. Au lieu de cela ; j’étudiais l’écriture d’Alicia et je sentais la douleur dans chaque courbe de la ligne, dans chaque avancée ténue de la plume. Bien que séparées par des milliers de kilomètres, nous étions de nouveau réunies et notre connivence était plus forte que jamais. " Je suis vite tombée sous le charme de Nora et Alicia. Les voir devenir des femmes est très prenant. La plume traduite par Colette Joyeux n’est jamais simpliste. Certes, il y a du romantisme dans ce roman mais Cecilia Samartin ne se laisse pas aller à peindre ses personnages à l’eau de rose. La violence, la peur et la mort sont très présents sans indulgence. J’ai été happée par les sujets abordés par l’auteur. En racontant l’histoire des deux cousines, Cecilia Samartin sait égratigner des thèmes comme le racisme, la condition féminine, les différences de classes et le choc des civilisations. J’ai apprécié d’apprendre des moments de l’histoire cubaine, j’ai vu au fil des pages se dérouler la montée de la révolution. Heureusement, l’humour est toujours présent dans ce roman même lorsque les situations sont graves. " Chaque bouchée de cette viande de porc délicieuse était une déclaration de haine envers Castro et le Parti communiste, une contre-révolution gastronomique d’ordre privé ! " Ce livre est une aventure de la vie, de ses peurs et de sa dureté. Un très bon roman dans lequel chacun trouvera sa nostalgie. " Quand on a tout perdu une fois dans sa vie, il y a peu de chances pour que ça se reproduise, mais il est impossible d’oublier et c’est normal de s’inquiéter. " "Nora ou le paradis perdu" de Cecilia Samartin porte bien son titre. Tout au long de ce roman, j'ai été submergée d'émotions et surtout d'un parfum de nostalgie. "Mais n'oublie jamais, Nora, n'oublie jamais le Cuba que nous avons connu et dis-le à Lucinda et à tes enfants avant même qu'ils aient l'âge de comprendre, pour que Cuba fasse partie d'eux comme il fait partie de nous." L’histoire commence à Cuba en 1956. On suit le lien entre Nora et Alicia, deux cousines. Ce lien est mis à rude épreuve avec l’arrivée de Castro. Elles tentent pourtant de rester en relation alors que l’une est partie se réfugier aux Etats-Unis et l’autre est restée dans leur beau pays natal. Les événements historiques bousculent la vie de ces deux cousines. Mais c’est surtout Nora qui raconte… Les relations épistolaires ponctuelles sont un bon moyen de suivre la vie des deux jeunes filles séparées. De plus ce procédé permet de gagner beaucoup de temps dans la narration. Il faut savoir que ce livre est un pavé de 471 pages. Une fois plongée dedans, je me suis noyée avec plaisir dans la beauté d’un pays agressé et abimé par la folie d’un homme. " Je n’avais...
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  • tissianabp 10/03/2017
    Merci à LP Conseils et les éditions Archipoche pour ce service presse. Ce roman nous plonge au cœur de Cuba juste avant et pendant le règne de Fidel Castro. On y découvre deux cousines, Alicia et Nora, très proches, dans leur quotidien et l’évolution de leur vie qui prend un tournant bien différent pour cette dernière. Ce livre se décompose en plusieurs parties, la 1ere relate l’enfance joyeuse et mouvementée de ces deux petites filles, puis vient l’immigration de Nora et sa famille vers les États-Unis pour fuir le régime de Castro, et enfin nous plongeons au cœur même du quotidien des cubains de l’époque. Découvrir ce pays à travers les yeux d’Alicia et Nora petites filles est une véritable bouffée d’air frais, elles nous font voyager dans des lieux magnifiques, énigmatiques et forts, elles nous dévoilent les traditions, les coutumes et les mentalités parfois bien différentes des nôtres, c’est un bon dans le passé fascinant, culturellement parlant. Quand au côté fusionnel de ces deux là, on se rend vite compte que malgré leurs différences, leur amitié est sincère et qu’elle durera dans le temps qu’importe les épreuves qui ne tardent d’ailleurs pas à arriver. La chute de Batista et l’arrivée au pouvoir de Castro nous offre alors une toute autre vision de ce pays idyllique, une vie dangereuse, loin des attentes de leurs familles, ce qui poussent Nora et les siens à s’exiler vers les États Unis. S’en suit alors tout une partie relativement poignante concernant l’adaptation et l’intégration sur une terre étrangère, le sentiment de ne pas être à sa place, ressentir le mal du pays et le regard des autres. Nora nous transmet facilement ses émotions et sentiments, on comprend très vite ses difficultés, ses obstacles, on les vit avec elle, cela a un côté très instructif également car poser des mots sur des situations que certains ne connaissent pas permet d’analyser et de se mettre à leur place et ainsi de voir les choses autrement et faire preuve peut être de plus d’ouverture d’esprit et de tolérance. Mais la partie la plus forte reste la décadence de cuba et l’oppression que vivent les habitants. On découvre alors la face cachée ou tout du moins celle qu’on ne connait que très peu, celle ou les cubains sont isolés sous une dictature implacable, celle où ils connaissent la peur, le danger, le manque de tout, mais également le racisme, le chômage et le désespoir. C’est très fort et très bien narrer, on voit ainsi le coté politique et historique dans toutes ses facettes, on prend conscience de ce qu’ils ont subit, ce qu’ils ont vécu et de toutes les embuches qu’ils ont dû affronter jours après jours, c’est émotionnellement parlant déstabilisant, troublant voir perturbant, ce n’est pas un joli conte de fée mais bel et bien une réalité sombre et triste. Et pourtant malgré tout cela, Alicia et Nora restent soudées, s’entraident et se motivent , c’est un très bel exemple de courage que nous offre là l’auteure. Je n’ai pas totalement réussi à me plonger dans l’histoire et m’imprégner des personnages, peut être est ce dû au caractère trop vrai et historique du roman, mais malgré cela, cette histoire mérite d’être lue par un grand nombre de lecteurs, je dirai même que nos jeunes auraient tout à y gagner à le lire durant leurs cours d’histoire car c’est instructif pour découvrir la géographie, les religions, la culture et le régime de Castro. En conclusion, c’est un roman fort et poignant qui nous ouvre les portes sur un passé qu’on ne connait pas assez et qui nous montre une vie dure et difficile.Merci à LP Conseils et les éditions Archipoche pour ce service presse. Ce roman nous plonge au cœur de Cuba juste avant et pendant le règne de Fidel Castro. On y découvre deux cousines, Alicia et Nora, très proches, dans leur quotidien et l’évolution de leur vie qui prend un tournant bien différent pour cette dernière. Ce livre se décompose en plusieurs parties, la 1ere relate l’enfance joyeuse et mouvementée de ces deux petites filles, puis vient l’immigration de Nora et sa famille vers les États-Unis pour fuir le régime de Castro, et enfin nous plongeons au cœur même du quotidien des cubains de l’époque. Découvrir ce pays à travers les yeux d’Alicia et Nora petites filles est une véritable bouffée d’air frais, elles nous font voyager dans des lieux magnifiques, énigmatiques et forts, elles nous dévoilent les traditions, les coutumes et les mentalités parfois bien différentes des nôtres, c’est un bon dans le passé fascinant, culturellement parlant. Quand au côté fusionnel de ces deux là, on se rend vite compte que malgré leurs différences, leur amitié est sincère et qu’elle durera dans le temps qu’importe les épreuves qui ne tardent d’ailleurs pas à arriver. La chute de Batista et l’arrivée au pouvoir...
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