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Les Misérables
Date de parution : 21/06/2019
Éditeurs :
Pocket
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Les Misérables

Date de parution : 21/06/2019
LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

Peut-on imaginer un monde sans Jean Valjean, Cosette, Gavroche, Javert ou Fantine, à jamais vivants au Panthéon de l'esprit humain ?
En 1862 paraissent Les Misérables,...
LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

Peut-on imaginer un monde sans Jean Valjean, Cosette, Gavroche, Javert ou Fantine, à jamais vivants au Panthéon de l'esprit humain ?
En 1862 paraissent Les Misérables, qui désignent toutes les vicitmes d'un ordre social dont Victor Hugo condamne les injustices. Immense épopée populaire, le roman est...
LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

Peut-on imaginer un monde sans Jean Valjean, Cosette, Gavroche, Javert ou Fantine, à jamais vivants au Panthéon de l'esprit humain ?
En 1862 paraissent Les Misérables, qui désignent toutes les vicitmes d'un ordre social dont Victor Hugo condamne les injustices. Immense épopée populaire, le roman est emporté dans l'air de Paris et de ses bas-fonds, chargé de l'odeur des barricades et de la Révolution. Il deviendra l'une des oeuvres les plus lues dans le monde.
On dit que lorsque les premières épreuves sortient des presses, les correcteurs et les imprimeurs pleuraient.

@ Disponible chez 12-21
L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE
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EAN : 9782266296144
Code sériel : 15434
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 1664
Format : 130 x 185 mm
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EAN : 9782266296144
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • ninaninapars75 09/09/2024
    J'ai bien aimé ce livre car l'histoire est palpitante, très chargée en rebondissements. L'histoire est cohérente. Les péripéties se suivent bien, la fin est heureuse. En contre partie, Jean Valjean est beaucoup trop impliqué dans l'histoire. Un livre que je recommande fortement
  • ericmielle8 08/09/2024
    Les Misérables, cet immense pavé littéraire, narre l'odyssée de Jean Valjean, un forçat évadé qui cherche désespérément à se racheter tout en portant la lourde croix du passé. Son parcours, parfois glorieux, souvent tragique, s'entrecroise avec celui de Fantine, une mère sacrifiée sur l'autel de la pauvreté et de l'injustice sociale. Sa mort, tragique et inéluctable, résonne comme un cri étouffé dans la nuit. Elle incarne une souffrance dont les échos résonnent encore dans les esprits des lecteurs. Dans ses dernières pensées, alors qu'elle se trouve sur son lit de mort, elle laisse échapper un souffle de désespoir, mêlé à une tendresse pour sa fille Cosette, qu'elle ne reverra jamais. En lisant ce roman à l'adolescence, on peut encore croire aux vertus de l'héroïsme, à l'idée qu'un homme peut changer, que le destin peut être réécrit. Pourtant, avec le recul des années, ses promesses d'espoir se mêlent à une amertume croissante. Les barricades dressées par le peuple semblent, avec le temps, n'être que de tragiques symboles d'une lutte vaine. Qui sont ces héros sacrifiés par les idéaux d'une révolution que l'on croyait salvatrice ? Gavroche, enfant des rues, s'efforce de provoquer un sourire dans un monde où les larmes coulent à flots. Son audace, pourtant, ne peut le soustraire à sa condition. Il est difficile de ne pas ressentir la révolte grandissante d'avoir été entraîné dans un récit qui, malgré sa grandeur, semble parfois se perdre dans des digressions éloignées de l'épaisseur du drame humain. Les réflexions sur la bataille de Waterloo, qui se faufilent entre les lignes comme un écho lointain, font presque sourire par leur incongruité. Où est le rapport avec le destin d'un homme ? Et ce Thénardier, caricature du mal, émerge d'un récit où l'on attend quelque chose de plus. Quelque chose de vrai, de poignant, d'humain. Ce cheminement à travers les pages de Hugo, qui paraissait au départ comme une illumination littéraire, a fini par laisser un goût amer. Les Misérables, loin d'être le monument que l'on chérit sans réserve, se transforme peu à peu en un miroir déformant de nos idéaux adolescents. L’amour inconditionnel que l’on portait à l'écrivain se brouille devant la complexité des personnages et la moralité parfois absente de leurs choix. Finalement, c’est Fantine qui demeure. Elle est la tragédie incarnée, un emblème de toutes les détresses humaines. Elle nous rappelle que la misère ne connaît pas de frontière, que la souffrance, souvent, est une solitude partagée. Dans ses derniers instants, alors que la vie s’échappe, sa douleur est bien plus qu’un simple motif de misère : elle est le cri d’un peuple oublié. Ainsi, paradoxalement, alors que je referme ce livre qui fut tant aimé, je ne peux m’empêcher de me sentir triste : triste pour ces personnages qui, malgré leur richesse symbolique, n'ont pas su m'apporter l'espoir qu'ils promettaient. Les Misérables, chef-d'œuvre de la littérature française, s'effrite dans ma mémoire comme un souvenir d'enfance, un rêve éveillé où la lumière se fait de plus en plus diffuse, où les ombres reprennent le territoire. Ce n'est qu'un roman, me dis-je, mais il reste, en moi, un souvenir poignant, chargé du poids des années. Les Misérables, cet immense pavé littéraire, narre l'odyssée de Jean Valjean, un forçat évadé qui cherche désespérément à se racheter tout en portant la lourde croix du passé. Son parcours, parfois glorieux, souvent tragique, s'entrecroise avec celui de Fantine, une mère sacrifiée sur l'autel de la pauvreté et de l'injustice sociale. Sa mort, tragique et inéluctable, résonne comme un cri étouffé dans la nuit. Elle incarne une souffrance dont les échos résonnent encore dans les esprits des lecteurs. Dans ses dernières pensées, alors qu'elle se trouve sur son lit de mort, elle laisse échapper un souffle de désespoir, mêlé à une tendresse pour sa fille Cosette, qu'elle ne reverra jamais. En lisant ce roman à l'adolescence, on peut encore croire aux vertus de l'héroïsme, à l'idée qu'un homme peut changer, que le destin peut être réécrit. Pourtant, avec le recul des années, ses promesses d'espoir se mêlent à une amertume croissante. Les barricades dressées par le peuple semblent, avec le temps, n'être que de tragiques symboles d'une lutte vaine. Qui sont ces héros sacrifiés par les idéaux d'une révolution que l'on croyait salvatrice ? Gavroche, enfant des rues, s'efforce de provoquer un sourire dans un monde où les larmes coulent à...
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  • Croco85 26/08/2024
    Critique du tome 1/3 pour ma version que je n'ai pas retrouvé exactement sur Babelio. Je m'attaquais ici à un classique, voire un monument de la littérature française. Cela fait un petit moment que j'avais en tête de le lire mais c'est un ami à moi qui m'a encouragé à me plonger dedans cette année. Ceci étant dit, nous voici donc début 19ème peu après la révolution française sous le règne de Napoléon. La 1ère partie (je précise que l'oeuvre est divisée pour mon édition en 3 tomes, mais que Victor Hugo a lui divisé "les misérables" en 4 parties elles même divisées en plusieurs livres.) traite du 1er célèbre personnage en la personne de Fantine que je ne connaissais que de nom. Au final nous faisons avant tout la découverte de Mr Myriel, saint évêque de digne qui respire la bonté et la générosité. Dès ce 1er livre, j'ai pu apprécier l'écriture et la profondeur des personnages de ce superbe auteur. On part ici d'assez loin mais ceci va permettre de bien assimiler le parcours des différents protagonistes de ce pavé. Certains chapitres en alternance avec l'avancée de l'histoire sont parfois un peu savants et érudits au risque de casser le rythme de lecture et d'être un peu indigeste. Jean Valjean, ancien forçat va ensuite faire son apparition puis faire une belle rencontre avec l'évêque précédemment cité. L'histoire est toujours agrémentée de digressions sociétales intéressantes mais qui ralentissent le récit à mon sens. Puis Fantine fait enfin son apparition, petite ouvrière belle et pauvre de son état. Cette dernière va par malchance accumuler les déconvenues et tomber au plus bas jusqu'à devoir abandonner sa petite cosette (futur personnage central). Nous avons ainsi déjà 3/4 personnages forts dans ce roman mais déjà bientôt 1 de moins.. Un dernier passage historique passionnant bien qu'un peu long parfois sur la bataille de Waterloo. On termine pour mon édition avec une scène jubilatoire avec la rencontre de Jean Valjean et Cosette chez les Thénardier qui avaient "adopté" cette dernière. Un 4/5 donc qui s'explique par certaines longueurs notamment certains passages historiques indigestes alors que l'histoire et l'écriture méritent un bon 5 sans problème! La suite très vite.Critique du tome 1/3 pour ma version que je n'ai pas retrouvé exactement sur Babelio. Je m'attaquais ici à un classique, voire un monument de la littérature française. Cela fait un petit moment que j'avais en tête de le lire mais c'est un ami à moi qui m'a encouragé à me plonger dedans cette année. Ceci étant dit, nous voici donc début 19ème peu après la révolution française sous le règne de Napoléon. La 1ère partie (je précise que l'oeuvre est divisée pour mon édition en 3 tomes, mais que Victor Hugo a lui divisé "les misérables" en 4 parties elles même divisées en plusieurs livres.) traite du 1er célèbre personnage en la personne de Fantine que je ne connaissais que de nom. Au final nous faisons avant tout la découverte de Mr Myriel, saint évêque de digne qui respire la bonté et la générosité. Dès ce 1er livre, j'ai pu apprécier l'écriture et la profondeur des personnages de ce superbe auteur. On part ici d'assez loin mais ceci va permettre de bien assimiler le parcours des différents protagonistes de ce pavé. Certains chapitres en alternance avec l'avancée de l'histoire sont parfois un peu savants et érudits au risque de casser le...
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  • MartinEden87 22/07/2024
    « Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans de certaines régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles. » La quatrième de couverture, écrite par Victor Hugo pour la première édition des Misérables parue en 1862, explicite très clairement l’ambition de l’écrivain. C’est un lègue pour l’humanité tout entière. Il se fait le chroniqueur d’un siècle qui a plongé dans l’extrême indigence quantité d’individus à mesure qu’une classe de possédants émergeait, sans considération pour ce qu’Hugo appelait « la cariatide ». Il emprunte à ces statues qui soutiennent des édifices l’image du peuple qui ploie sous le poids de l’injustice et de l’asservissement. Et il ne l’a jamais aussi bien personnifié que dans la personne de Jean Valjean. Ancien bagnard à la force colossale, condamné pour avoir volé un pain afin de nourrir ses neveux. Sa rencontre avec l’évêque de Digne va amorcer chez lui le début d’un parcours de rédemption. Il s’évertuera de rendre autour de lui, comme dans un cercle vertueux, l’opportunité qui s’est offerte à lui de vivre une nouvelle vie au service de son prochain. Mais ce chemin de Rédemption sera semé d’embûches. Son passé de forçat lui collant à la peau comme un stigmate. Inutile d’entrer plus en détails dans une intrigue connue et maintes fois adaptée. Les personnages que sont Cosette, Javert, Thénardier font autant partie de l’imaginaire populaire que le sont Quasimodo, Esmeralda et Frollo. Penchons-nous plutôt sur le malentendu qui persiste, à mon sens, sur la personne de Victor Hugo. Il est souvent critiqué pour son supposé opportunisme politique. Le fait qu’il soit devenu une icône républicaine semble le disqualifier totalement aux yeux de beaucoup. Aussi, à cause de son ambition de devenir le grand écrivain de son temps (« Je serai Chateaubriand ou rien »), on lui reproche régulièrement d’avoir une personnalité égotique. Avoir confiance dans son propos, sa vision du monde… Une condition pourtant primordiale quand on prétend marquer la littérature de son empreinte, ce qui n’est jamais reprochée à d’autres.  Autre grief : Hugo est progressiste ! Mais on calque derrière ce mot sa définition contemporaine sans la connotation qu’elle revêtait du temps de l’écrivain. On tombe alors en plein anachronisme. C’est un fait, Victor Hugo, en dépit des drames qui ont jalonné sa vie, est tourné vers l’avenir, croit à un sursaut de l’âme humaine. Contrairement aux autres romantiques, il n’est pas touché par « le mal du siècle ». Ses déclarations visant à dénoncer la misère sont accompagnées par des actions réelles, de par ses nombreuses donations aux nécessiteux. La charité chez l’écrivain n’est pas un mot creux. Personne n’échappe à la critique, mais il y a une tendance cynique à vouloir déboulonner les grandes figures établies, le plus souvent par simple esprit de contradiction. Ce qui compte finalement, c’est l’œuvre elle-même. Et la réputation des Misérables et de son auteur a depuis longtemps dépassé les frontières.  Je ne cache pas avoir été profondément ému par cette lecture. La manière dont le sort s’acharne sur certains protagonistes, et de voir poindre au milieu de la noirceur des petits îlots de lumière. La puissance évocatrice du roman n’est jamais noyée sous son flot d’érudition. Mais le plus beau témoignage sur le pouvoir que peut produire ce roman, on le doit probablement à l’écrivain italien Umberto Eco. Lorsqu’enfant, il a surpris une nuit son père, homme d’origine modeste, en pleine lecture des Misérables à la lueur d’une bougie, les larmes ruisselant sur son visage.« Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans de certaines régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles. » La quatrième de couverture, écrite par Victor Hugo pour la première édition des Misérables parue en 1862, explicite très clairement l’ambition de l’écrivain. C’est un lègue pour l’humanité tout entière. Il se fait le chroniqueur d’un siècle qui a plongé dans l’extrême indigence quantité d’individus à mesure qu’une classe de possédants émergeait, sans considération pour ce qu’Hugo appelait « la cariatide ». Il emprunte à ces statues qui soutiennent des édifices l’image du peuple qui ploie sous le poids de l’injustice et de l’asservissement. Et il ne l’a jamais aussi...
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  • Angy16 11/04/2024
    L'action se déroule en France au cours du premier tiers du xixe siècle, entre la bataille de Waterloo (1815) et les émeutes de juin 1832. On y suit, sur cinq tomes3, la vie de Jean Valjean, de sa sortie du bagne jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent les personnages, dont certains vont donner leur nom aux différentes parties du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les époux Thénardier et leurs enfants Éponine, Azelma et Gavroche, ainsi que le représentant de la loi, Javert. Outre le récit souvent dramatique des péripéties des vies de ces personnages, Victor Hugo interrompt régulièrement l'action pour de vastes digressions (telle la longue description de la bataille de Waterloo ouvrant la deuxième partie), prétextes à exposer ses idées sur l'Histoire, la société ou la religion. La première partie (Fantine) décrit la « rédemption » de Jean Valjean sous l'influence de l’évêque de Digne, monseigneur Myriel ; il devient M. Madeleine, bienfaiteur de la ville de Montreuil-sur-Mer. En parallèle, on suit la déchéance de Fantine, fille-mère obligée de confier son enfant, Cosette, aux malfaisants Thénardier ; cette partie s'achève sur une série de coups de théâtre, Jean Valjean reprenant sa véritable identité et se livrant à la justice pour sauver un innocent ; il a cependant eu le temps de jurer à Fantine mourante qu'il s'occupera de Cosette. Dans la deuxième partie (Cosette), on voit Jean Valjean s'évader, arracher Cosette aux Thénardier, et tenter de s'installer à Paris pour y mener une vie tranquille, mais il a attiré l'attention du policier Javert, qui ne cessera plus de le traquer ; cette partie se conclut sur le sauvetage miraculeux de Jean Valjean, trouvant refuge dans le couvent du Petit-Picpus.L'action se déroule en France au cours du premier tiers du xixe siècle, entre la bataille de Waterloo (1815) et les émeutes de juin 1832. On y suit, sur cinq tomes3, la vie de Jean Valjean, de sa sortie du bagne jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent les personnages, dont certains vont donner leur nom aux différentes parties du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les époux Thénardier et leurs enfants Éponine, Azelma et Gavroche, ainsi que le représentant de la loi, Javert. Outre le récit souvent dramatique des péripéties des vies de ces personnages, Victor Hugo interrompt régulièrement l'action pour de vastes digressions (telle la longue description de la bataille de Waterloo ouvrant la deuxième partie), prétextes à exposer ses idées sur l'Histoire, la société ou la religion. La première partie (Fantine) décrit la « rédemption » de Jean Valjean sous l'influence de l’évêque de Digne, monseigneur Myriel ; il devient M. Madeleine, bienfaiteur de la ville de Montreuil-sur-Mer. En parallèle, on suit la déchéance de Fantine, fille-mère obligée de confier son enfant, Cosette, aux malfaisants Thénardier ; cette partie s'achève sur une série...
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