I. L'insurrection, le temps des possibles
1. Prologue
Signes avant-coureurs
Les banquets de la contestation
2. Paris s'embrase
Mardi 22 février : le banquet interdit Mercredi 23 février , matin : la révolution se trâme
Mercredi 23 février, 21 h 30 : la révolution éclate
Jeudi 24 février, petit matin : la révolution s'impose
Jeudi 24 février : l'abdication du roi.
3. La France bascule
Jeudi 24 février, fin de matinée
13 heures : la prise des Tuileries
Début d'après-midi : le sac des Tuileries
On brûle le trône
Fin de matinée : le gouvernement de la presse
13 h 30 : la dernière séande de la Chambre
La proclamation du gouvernement provisoire
Fin d'après-midi : à l'Hôtel de Ville !
Un gouvernement singulier
4. Quelle République ?
Une nuit de veille
Le gouvernement légifère
Mardi 25 février : la République sociale en question
Le rejet du drapeau rouge
Le 25 février dans les rues de Paris : la mansuétude du peuple
II. De mars au 15 mai : de la république sociale à l'impossible République
5. Les premiers pas de la IIe République
26 février : la République victorieuse
27 février : la proclamation solennelle de la République
28 février : la Commission du Luxembourg
L'effervescence des assemblées ouvrières
De mars à mai : urgences et tensions sociales
L'expérience des Ateliers nationaux.
6. Attente et affrontements
2 mars : la nouvelle République enterre ses morts
La « grande crainte » du communisme
16 mars : manifestation des « bonnets à poils »
17 mars : contre-manifestation populaire
Des fêtes aux saveurs de conflits
La presse dans les clubs, la liberté dans tous ses états
1848 en Europe : l'espoir du « printemps des peuples »
La mobilisation des « patriotes étrangers » à Paris - L'abolition de l'esclavage.
7. Les espoirs brisés
La rupture du 16 avril
Le spectre du communisme
20 avril : la fête de la Fraternité
L'élection de l'Assemblée constituante : un enjeu décisif
Agitation et tensions en province
23 avril : le triomphe de la République modérée
4 mai : la proclamation de la République
15 mai : l'invasion de l'Assemblée nationale
Un nouveau complot ?
21 mai : la fête de la concorde.
III. Juin 1848, l'insoutenable émeute
8. L'insurrection de désespoir
Anxiété et « attroupements séditieux »
Au centre des tensions : les Ateliers nationaux
La mobilisation du club des Femmes
Le retour avorté de Louis-Napoléon Bonaparte
21 juin : la fin des Ateliers nationaux
22 juin : premières barricades
23 juin : l'insurrection
23 juin, matin : tout est encore possible
23 juin, après-midi : vers l'irréparable
23 juin, le soir : scènes de guerre et atrocités.
9. Vaincre ou périr
La Commission exécutive est démissionnée
Cavaignac, chef de l'exécutif
Samedi 24 juin : « Paris n'est plus qu'un champ de bataille »
Dimanche 25 juin : des barricades aux fusillades, la lutte continue
Les combats continuent
L'affaire Bréa
L'affaire Affre
Entre-temps, des tractations sont ouvertes... L'assaut du faubourg Saint-Antoine.
10. Mort aux vaincus !
Le massacre n'en finit pas
Et pendant ce temps, à l'ouest, on fait la fête
Combien de victimes ?
Les gêoles de la République
Derrière Cavaignac, l'ombre de la réaction
Honneur aux vaincueurs
Déportation ou « transportation » ?
Épilogue : l'amnésie de la révolution
La fin de la IIe République
Effacement de la « République sociale »
Notes de l'ouvrage.