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L'appel de la steppe
D'Istanbul aux confins de la Mongolie, à la rencontre des nomades de l'Altaï
Date de parution : 28/11/2013
Éditeurs :
Presses de la Renaissance

L'appel de la steppe

D'Istanbul aux confins de la Mongolie, à la rencontre des nomades de l'Altaï

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Date de parution : 28/11/2013

Le récit fascinant d'un voyage à vélo à travers l'Asie, jusqu'en Mongolie, où les auteurs ont partagé, pendant un an, la vie d'une famille d'éleveurs nomades et chasseurs à l'aigle. Une aventure et des rencontres uniques.

« Notre histoire avait commencé par une belle soirée d'ivrognerie, le jour où je rentrais de quatre années d'exil. La suite, nous l'avions su dès le départ, serait le mariage...

« Notre histoire avait commencé par une belle soirée d'ivrognerie, le jour où je rentrais de quatre années d'exil. La suite, nous l'avions su dès le départ, serait le mariage puis un autre voyage, ensemble. Un voyage pour toucher le fond des choses, accéder aux gens par des che-mins authentiques....

« Notre histoire avait commencé par une belle soirée d'ivrognerie, le jour où je rentrais de quatre années d'exil. La suite, nous l'avions su dès le départ, serait le mariage puis un autre voyage, ensemble. Un voyage pour toucher le fond des choses, accéder aux gens par des che-mins authentiques. Un départ à vélo à travers une Asie dont nous ignorions tout.

Nous partirions sans contrainte et sans limite de temps, sans date de retour précise. Il ne s'agirait pas de vélo mais de voyage, non d'une course envers et contre tout, pour boucler la boucle en avance, mais bien d'un voyage au fil du vent, au gré des marées. Le temps de la rencontre l'emporterait sur les impératifs de parcours et de distance à abattre.

À scruter une carte du monde, il n'y avait pas d'endroits où nous ne souhaitions aller. Mais l'Iran était l'idée fixe de l'un et la Mongolie un rêve d'enfance de l'autre. Nous avons donc choisi la Turquie, pour apprendre à voyager, puis l'Iran, l'Asie centrale parce que nous n'en savions rien, avant de rejoindre la Mongolie par la Chine.

Si nous nous sommes arrêtés un an dans une famille nomade de l'ouest de la Mongolie, c'est qu'un soir l'homme chez qui nous dormions nous a simplement proposé : “Venez passer l'hiver chez moi si vous voulez.” »

Antoine de Changy

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EAN : 9782750906832
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782750906832
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lerital31 27/08/2013
    Ce récit de voyage m'a beaucoup plu. Je trouve que l'équilibre entre l'action / rencontre et la description / réflexion est juste. Les auteurs ont su bien exprimer leurssentiments et impressions dans les différents pays traversés. Personellement j' ai préféré la première partie même si depuis cette lecture, je regarde souvent les prix des billets pour Oulan Bator!
  • Parmigianlu 30/06/2008
    J'ai lu l'appel de la steppe de Antoine de Changy et Célina Antomarchi Lamé et j'ai beaucoup aimé. Ce récit de voyage (ils partent en vélos d'Istanbul, les pays traversés sont l'Iran, le Turkménistan, l'Ouzbékistan, le Kirghizstan, la Chine et la Mongolie) se lit très rapidement et avec un réel plaisir. L'écriture est fluide et agréable, ponctuée de belles images. Pour une fois, dans un récit de voyage, les auteurs ne nous barbent pas avec leurs états d'âme, leurs petits tracas quotidiens et ils évitent de parler de leurs vélos (ouf !) mais ils racontent très bien ce qu'ils voient et les gens rencontrés. La première partie file au rythme des rencontres, chacune est différente, apporte une nouvelle information ou un ressenti. Elle donne un visage très humain à des pays qu'on ne connait pas bien. Dans la deuxième partie, les auteurs s'installent en Mongolie pour vivre la vie d'une famille de nomade pendant presque un an. Le récit gagne encore en intensité et on arrive trop vite à la fin. On regrette presque de ne pas en avoir eu assez mais on comprend les difficultés de l'hiver et de leur vie. Un petit regret quand même: l'avis de Célina Antomarchi-Lamé n'est pas assez présent, parfois on aimerait en savoir plus sur les femmes. Les photos au centre sont splendides, ici aussi on regrette qu'il n'y en ait pas plus.J'ai lu l'appel de la steppe de Antoine de Changy et Célina Antomarchi Lamé et j'ai beaucoup aimé. Ce récit de voyage (ils partent en vélos d'Istanbul, les pays traversés sont l'Iran, le Turkménistan, l'Ouzbékistan, le Kirghizstan, la Chine et la Mongolie) se lit très rapidement et avec un réel plaisir. L'écriture est fluide et agréable, ponctuée de belles images. Pour une fois, dans un récit de voyage, les auteurs ne nous barbent pas avec leurs états d'âme, leurs petits tracas quotidiens et ils évitent de parler de leurs vélos (ouf !) mais ils racontent très bien ce qu'ils voient et les gens rencontrés. La première partie file au rythme des rencontres, chacune est différente, apporte une nouvelle information ou un ressenti. Elle donne un visage très humain à des pays qu'on ne connait pas bien. Dans la deuxième partie, les auteurs s'installent en Mongolie pour vivre la vie d'une famille de nomade pendant presque un an. Le récit gagne encore en intensité et on arrive trop vite à la fin. On regrette presque de ne pas en avoir eu assez mais on comprend les difficultés de l'hiver et de leur vie. Un petit regret quand même: l'avis de Célina Antomarchi-Lamé...
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