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Le marchand de sable va passer
Sebastian Danchin (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 01/04/2013
Éditeurs :
L'Archipel

Le marchand de sable va passer

Sebastian Danchin (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 01/04/2013
Patrick Rush perd sa femme et, dans la foulée, son emploi de critique littéraire. Seul son fils de cinq ans l'empêche de sombrer. Un peu désoeuvré, et aussi parce qu'il... Patrick Rush perd sa femme et, dans la foulée, son emploi de critique littéraire. Seul son fils de cinq ans l'empêche de sombrer. Un peu désoeuvré, et aussi parce qu'il a toujours rêvé de devenir auteur, il s'inscrit à un atelier d'écriture, où il se distingue surtout par son manque... Patrick Rush perd sa femme et, dans la foulée, son emploi de critique littéraire. Seul son fils de cinq ans l'empêche de sombrer. Un peu désoeuvré, et aussi parce qu'il a toujours rêvé de devenir auteur, il s'inscrit à un atelier d'écriture, où il se distingue surtout par son manque d'inspiration...Patrick y rencontre Angela, femme étrange qui a connu une enfance douloureuse. Lorsque celle-ci disparaît mystérieusement, il décide de lui « voler » son histoire. Et le thriller qu'il publie sous son nom, Le marchand de sable va passer, devient un best-seller. Après s'être exilé quelque temps, Patrick revient à Toronto, un peu honteux et inquiet à l'idée de retrouver les anciens de l'atelier d'écriture. Mais, peu à peu, tous meurent dans d'étranges circonstances. Rush devient le lien entre toutes ces victimes. Pour la police, aucun doute : le principal suspect, c'est lui.Il décide alors d'enquêter sur ce Marchand de Sable, le véritable coupable duquel il reçoit des lettres anonymes revendiquant les meurtres. Comme si son héros ,un psychopathe, s'était échappé des pages de son livre pour lui faire vivre un cauchemar...
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EAN : 9782809811728
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 296
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782809811728
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 296
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MilenaFisch 08/12/2022
    Je ne savais pas quoi lire et fini par choisir celui-là qui me semblait diffèrent des derniers lu. L'histoire m'a bien plu mais la fin pas du tout, j'ai trouvé vite expédié et par beaucoup d'explications, d'ailleurs je n'ai pas compris Pour quoi Patrick et son fils ont été les derniers, pourquoi le fils, le policier qui est toujours seul (cela me semble invraisemblable)... Et le vrai coupable sort d'où? Aucune explication sur son passé et comment il a pu tromper à tous tout ce temps...
  • Kez 14/03/2022
    Avant toute chose, il me faut vous dire, que j’ai été une fana de polars pendant des années. Ma bibliothèque contient des centaines de policiers en Français, Anglais, Allemands et même quelques Norvégiens et Italiens. Et oui pour moi, les policiers ont toujours été une excellente façon d’améliorer mes langues sans trop me fatiguer… Il faut avouer que le vocabulaire y est souvent simple. J’ai une faiblesse pour les écrivaines… je trouve leurs romans plus fins, moins brutus, parfois moins sanguinolent. Mais je ne suis pas sectaire, un bon Connelly ou Mankell faisait aussi l’affaire. J’ai du lire tous les Agatha Christie. Pendant des années, j’achetais les derniers Highsmith et autre maitresses Anglaises ou Américaines en version originale pour les lire plus vite. Pendant mon MBA, c’étaient les seuls livres que je pouvais lire… Et puis, je ne sais pourquoi une certaine lassitude s’est faite. Peu à peu, j’ai laissé tomber… J’ai remplacé par des romans. Tout cela pour dire que « le marchand de sable va passer » d’Andrew Pyper était le premier polard que j’ai lu depuis une éternité. L’histoire commence avec la disparition d’un enfant dont on peut craindre le pire. Puis on découvre la genèse de cet enlèvement. Le père (Patrick Rush) est le narrateur du livre, est il victime ou coupable, on ne sait pas, on hésite et même lui ne semble pas toujours très bien savoir où il en est. On découvre peu à peu que l’on a sans doute à faire à un tueur en série et que ce tueur serait lié à un cercle de lecture dont Patrick a fait parti. Mais le coupable n’est pas toujours celui auquel on pense… Voilà pour l’histoire qui se passe au Canada. Je ne vais pas plus loin pour ne pas vous enlever du suspens. Patrick Rush est un personnage ambigu. Il est veuf et ne se remet pas de la mort de sa femme. Son seul point d’ancrage est son fils. Il boit beaucoup, il a une vie sociale inexistante. Il se raccroche à une envie d’écrire qu’il a abandonné avant de réussir à écrire un best seller en partie grâce à ce cercle de lecture… mais peut être pas de la façon la plus honnête au monde. Ce best seller va le rendre riche mais aussi va être la source de tous ses ennuis. Ce roman n’est pas un polard typique, il mélange des aspects fantasy, thriller / horreur qui personnellement ne me parlent pas trop. J’ai passé un bon moment mais je n’ai pas vraiment cru à cette histoire. Cela fera certainement un bon film mais si vous êtes fan de polard, vous resterez sur votre faim. Peut être faut il plutôt s'intéresser aux thrillers et là vous y trouverez votre compte? Qui sait? Dans tous les cas, c'est un roman d'été, cela détend. Voici la 1ère phrase : " Je ne savais pas mon fils capable de se repérer la nuit à l'aide des étoiles." Merci encore à News Book et Points pour ce livre.Avant toute chose, il me faut vous dire, que j’ai été une fana de polars pendant des années. Ma bibliothèque contient des centaines de policiers en Français, Anglais, Allemands et même quelques Norvégiens et Italiens. Et oui pour moi, les policiers ont toujours été une excellente façon d’améliorer mes langues sans trop me fatiguer… Il faut avouer que le vocabulaire y est souvent simple. J’ai une faiblesse pour les écrivaines… je trouve leurs romans plus fins, moins brutus, parfois moins sanguinolent. Mais je ne suis pas sectaire, un bon Connelly ou Mankell faisait aussi l’affaire. J’ai du lire tous les Agatha Christie. Pendant des années, j’achetais les derniers Highsmith et autre maitresses Anglaises ou Américaines en version originale pour les lire plus vite. Pendant mon MBA, c’étaient les seuls livres que je pouvais lire… Et puis, je ne sais pourquoi une certaine lassitude s’est faite. Peu à peu, j’ai laissé tomber… J’ai remplacé par des romans. Tout cela pour dire que « le marchand de sable va passer » d’Andrew Pyper était le premier polard que j’ai lu depuis une éternité. L’histoire commence avec la disparition d’un enfant dont on peut craindre le pire. Puis on découvre la genèse de...
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  • collectifpolar 10/07/2021
    A Toronto, après avoir perdu sa femme et son travail de critique littéraire, Patrick Rush participe sans grande réussite à un atelier d'écriture. Suite à la disparition d'Angela, rencontrée à l'atelier d'écriture, Patrick s'autorise à voler l'histoire de l'enfance difficile qu'elle lui avait confiée. Il en tire un roman policier, Le marchand de sable va passer, qui rencontre un grand succès. Oui mais voilà autour de ce thriller les morts s'accumulent. Forcément on suspecte son auteur. Alors Patrick Rush va devoir prouver son innocence et prouver aussi que « Le Marchand de sable » le héros de son roman existe vraiment et qu’il est passé à l’acte. Andrew Pyper crée ici n héros peu sympathique sans être un sale type. Il nous propose aussi une intrigue bien construite même si le suspense proprement dire tarde à venir. Mais pour autant j’ai passé un agréable moment de lecture avec ce bon thriller psychologique. Un premier roman surprenant qui me donne envie de découvrir les prochains polars de cet auteur canadien.
  • neoprog 23/04/2019
    J’étais en panne depuis trop longtemps pour faire la fine bouche. “j’aperçois bien des constellations au-dessus de ma tête… le cri de Sam s’est perdu dans le blizzard”. Les constellations scintilleraient pendant une tempête de neige ? Sérieusement, vous avez bien lu ? Je n’ai jamais vécu au Canada mais j’ai comme l’impression que Andrew Pyper s’est pris les pieds dans le tapis en écrivant son dernier chapître. D’ailleurs, ce n’est pas la seule coquille que j’ai relevé au cours de ma lecture. Le Marchand De Sable Va Passer de Andrew Pyper est le premier livre que j’arrive à terminer depuis bien des semaines, un polar thriller un tantinet angoissant servi par un bon suspens, un style acceptable et une connaissance des phénomènes météorologiques approximative. Il m’aura fallu quand même quinze jours pour avaler seulement 344 pages, un score misérable. Le Marchand De Sable Va Passer est l’histoire d’un livre qui parle d’un livre, un genre classique mais qui fonctionne toujours très bien avec moi. J’aime que les écrivains parlent de livres. En l’occurrence ici, le personnage journaliste au rebut, qui rêve de devenir écrivain mais n’a rien à raconter, vole le récit d’une autre personne, jusqu’au moment où ce récit le rattrape, lui et son fils. Andrew Pyper maîtrise bien les atmosphères, les décors, esquisse les personnages de telle manière que l’on croit les avoir rencontré, joue habilement des peurs qui nous hantent la nuit et réussit, là où nombre d’auteurs ont échoué ces derniers mois, à me conduire jusque la dernière page du livre. De là à vous le conseiller… Bon si vous êtes en panne, pourquoi pas, mais pas dans une voiture, sous le blizzard, vous pourriez voir les étoiles.J’étais en panne depuis trop longtemps pour faire la fine bouche. “j’aperçois bien des constellations au-dessus de ma tête… le cri de Sam s’est perdu dans le blizzard”. Les constellations scintilleraient pendant une tempête de neige ? Sérieusement, vous avez bien lu ? Je n’ai jamais vécu au Canada mais j’ai comme l’impression que Andrew Pyper s’est pris les pieds dans le tapis en écrivant son dernier chapître. D’ailleurs, ce n’est pas la seule coquille que j’ai relevé au cours de ma lecture. Le Marchand De Sable Va Passer de Andrew Pyper est le premier livre que j’arrive à terminer depuis bien des semaines, un polar thriller un tantinet angoissant servi par un bon suspens, un style acceptable et une connaissance des phénomènes météorologiques approximative. Il m’aura fallu quand même quinze jours pour avaler seulement 344 pages, un score misérable. Le Marchand De Sable Va Passer est l’histoire d’un livre qui parle d’un livre, un genre classique mais qui fonctionne toujours très bien avec moi. J’aime que les écrivains parlent de livres. En l’occurrence ici, le personnage journaliste au rebut, qui rêve de devenir écrivain mais n’a rien à raconter, vole le récit d’une autre personne, jusqu’au moment où ce récit le rattrape,...
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  • Aline1102 09/07/2018
    Voilà un bon suspense, qui me laisse malgré tout sur ma faim... En effet, si ce roman était agréable à suivre et si la tension était assez bien maîtrisée par l'auteur, mais certains défauts du récit m'ont empêchée de vraiment savourer cette lecture. Les personnages ne sont pas vraiment développés. Le narrateur nous les présente de façon tout à fait superficielle et aucun ne devient suffisamment "familier" pour que l'on s'intéresse à leur histoire personnelle. Et, le petit raccourci pris à la toute fin du roman [masquer] afin de "transformer" Len en frère d'Angela pose également problème : d'où sort ce frère ? Qu'a-t-il fait pendant les années durant lesquelles sa sœur était en famille d'accueil ? Comment se sont-ils retrouvés ? Mystère... [/masquer]. Patrick Rush, quant à lui, est un type particulièrement désagréable, aigri par son manque de talent/d'ambition et envieux de tous ceux qu'ils croisent et qui ont le courage de se lancer dans l'écriture. Patrick donne l'impression d'être le parfait modèle du fainéant, qui attend qu'un roman tout beau tout chaud tombe du ciel comme par magie afin qu'il puisse le publier et récolter les éloges de la critique... [masquer ]ce qui finit d'ailleurs par lui arriver, en quelque sorte [/masquer]. Quant à l'image de père parfait qu'il aimerait incarner, c'est plutôt mal barré là aussi : il passe finalement plus de temps à se saouler dans les bars et à pleurnicher sur son pauvre sort qu'à s'occuper de son fils, qui est pourtant, d'après lui, la chose la plus importante de son existence. La grande révélation qu'il fait à la toute fin du roman [masquer] (en rapport avec le décès de son épouse, Tamara) [/masquer] pourrait excuser son comportement, mais elle arrive bien trop tard dans le récit et ne suffit pas à le rendre sympathique. Malgré ce problème au niveau des personnages, donc, j'ai tout de même passé quelques bons moments avec ce roman. Certains passages sont très intéressants et tenter de deviner l'identité du coupable est un petit jeu auquel j'aime prendre part lorsque je lis ce type de suspense : je n'ai donc pas été déçue de ce point de vue-là. Et même si un épilogue aurait été bienvenu, afin de savoir ce que deviennent certains personnages, la fin ne m'a pas gênée : elle laisse au lecteur la possibilité d'imaginer ce qui lui convient le plus [masquer] entre le sauvetage in extremis de Patrick et ses retrouvailles émouvantes avec Sam ou sa mort par hypothermie... [/masquer] Vu mon antipathie pour le personnage, je parie que vous devinez facilement quelle fin je choisis ?Voilà un bon suspense, qui me laisse malgré tout sur ma faim... En effet, si ce roman était agréable à suivre et si la tension était assez bien maîtrisée par l'auteur, mais certains défauts du récit m'ont empêchée de vraiment savourer cette lecture. Les personnages ne sont pas vraiment développés. Le narrateur nous les présente de façon tout à fait superficielle et aucun ne devient suffisamment "familier" pour que l'on s'intéresse à leur histoire personnelle. Et, le petit raccourci pris à la toute fin du roman [masquer] afin de "transformer" Len en frère d'Angela pose également problème : d'où sort ce frère ? Qu'a-t-il fait pendant les années durant lesquelles sa sœur était en famille d'accueil ? Comment se sont-ils retrouvés ? Mystère... [/masquer]. Patrick Rush, quant à lui, est un type particulièrement désagréable, aigri par son manque de talent/d'ambition et envieux de tous ceux qu'ils croisent et qui ont le courage de se lancer dans l'écriture. Patrick donne l'impression d'être le parfait modèle du fainéant, qui attend qu'un roman tout beau tout chaud tombe du ciel comme par magie afin qu'il puisse le publier et récolter les éloges de la critique... [masquer ]ce qui finit d'ailleurs par lui arriver, en quelque sorte...
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