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Silver Spoon - La cuillère d'argent - tome 08
Fabien Vautrin (traduit par), Maiko_O (traduit par)
Collection : mangas
Date de parution : 09/11/2015
Éditeurs :
12-21

Silver Spoon - La cuillère d'argent - tome 08

Fabien Vautrin (traduit par), Maiko_O (traduit par)
Collection : mangas
Date de parution : 09/11/2015
Retrouvez toute la série de Silver Spoon : La cuillère d'argent en numérique chez 12-21 !
Dévorez la suite de la fameuse série agricole de Hiromu Arakawa, qui a réconcilié des milliers de lecteurs avec la campagne !
 
Il suffit parfois de peu pour que la vie de quelqu’un soit bouleversée. C’est ce que va découvrir Yûgo après l’élimination de l’équipe de base-ball de son lycée, un événement d’apparence anecdotique qui va s’avérer lourd de conséquences. Rien ne sera plus jamais comme avant…
 
EAN : 9782823844894
Façonnage normé : EFL3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823844894
Façonnage normé : EFL3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Alfaric 26/06/2016
    Un tome sérieux, voire grave car Ichiro doit quitter l’équipe de base-ball, le lycée et la voie qu’il s’était tracée… La ferme des Komada déjà en difficulté depuis la mort du père d’Ichiro fait définitivement faillite et nous assistons en direct à l’euthanasie et au dépeçage d’une petite exploitation qui laisse toute une famille sur le bord de la route. Pire, la famille Mikage qui s’était portée garante pour eux est à son tour emportée dans la tourmente ! [masquer]1er coup de gueule : dans tous les pays les petites exploitations meurent les unes après les autres, avec des drames sociaux incroyables voire un coût humain inacceptable, car soumise à la concurrence du Big Business qui se torche des clients comme de l’environnement (faudra qu’on m’explique pourquoi des lasagnes produites en Roumanie doivent obtenir une plus-value en Ukraine, à Chypre, à Malte et au Luxembourg avant d’être vendues en France : l’agroalimentaire c’est parfois pire que la délinquance financière !). En France le problème est sérieux, voire grave, et devant la succession des crises agricoles quelles sont les réponses apportées par nos tocards de politicards ? On va rééchelonner leurs dettes… Les bras m’en tombent et les Grecs rient jaune : putain, s’ils sont surendettés c’est parce maintenant qu’ils n’arrivent déjà plus à joindre les deux bout à cause de la compétitivité mortifère imposée par le Big Business qui importe aux autres des normes et des règles qu’il a les moyens de contourner allègrement, et la seule solution qu’on leur propose c’est d’étaler les créances sur plusieurs générations ? Bande de bouffons !!![/masquer] Devant les rêves brisés de son ami d’enfance, Aki fait sa déclaration à ses parents : elle ne reprendra pas la ferme familiale car elle veut travailler dans le monde merveilleux des chevaux… Ses parents son sidérés, mais acceptent sa décision à condition qu’elle aille jusqu’à l’université pour assurer ses arrières… Yûgo se sent impuissant face aux revers de fortune d’Ichiro et Aki : il tente de trouver de l’argent pour le premier (avec le running gag de la pêche aux crabes ^^), et ne ménage pas ses efforts pour faire bûcher la deuxième en recourant aux techniques secrètes de son grand frère. Notre héros s’avère d’ailleurs être un très bon pédagogue, et si ses idées relèvent plus du tutorat et préceptorat que du professorat certaines d’entre elles peuvent être immédiatement applicable à tous les élèves (remember AI et AP ^^). [masquer]2e coup de gueule : depuis le début de la série, Hiromu Arakawa met en parallèle compétition scolaire et compétition salariale, compétition économique et compétition agricole… Marre de la valeur compétitivité, agréable à vivre quand on est aisé et en haut du système (les winners disent les propagandistes néolibéraux), infernale à subir quand on est modeste et en bas du système (les losers disent les propagandistes néolibéraux) ! Et justement, après s’être extrait de la compétition scolaire Yûgo cherche les moyens pour lui et ses amis de s’extraire de ces Hunger Games : autrui est notre égal, pas notre rival !!! Que disait Martin Luther King déjà quand le libéralisme glisse vers le suprématisme ? « Apprenons à vivre en frères, tous ensemble, ou nous mourrons en imbéciles, tous ensemble. »[/masquer] Heureusement, l’auteur sait faire compenser la gravité de ces thématiques avec des sujets plus légers, avec Mr Nakajima qui se met martel en tête de faire du fromage, et qui conseille à Mayumi d’aller réaliser un pèlerinage en France, la terre promise des amateurs de fromages… Donc bienvenu au pays des gros clichés ! Pour les élèves d’Ohezo la France c’est : 1) la Tour Eiffel 2) Lady Oscar 3) la bouffe ! Lol quoi… ^^Un tome sérieux, voire grave car Ichiro doit quitter l’équipe de base-ball, le lycée et la voie qu’il s’était tracée… La ferme des Komada déjà en difficulté depuis la mort du père d’Ichiro fait définitivement faillite et nous assistons en direct à l’euthanasie et au dépeçage d’une petite exploitation qui laisse toute une famille sur le bord de la route. Pire, la famille Mikage qui s’était portée garante pour eux est à son tour emportée dans la tourmente ! [masquer]1er coup de gueule : dans tous les pays les petites exploitations meurent les unes après les autres, avec des drames sociaux incroyables voire un coût humain inacceptable, car soumise à la concurrence du Big Business qui se torche des clients comme de l’environnement (faudra qu’on m’explique pourquoi des lasagnes produites en Roumanie doivent obtenir une plus-value en Ukraine, à Chypre, à Malte et au Luxembourg avant d’être vendues en France : l’agroalimentaire c’est parfois pire que la délinquance financière !). En France le problème est sérieux, voire grave, et devant la succession des crises agricoles quelles sont les réponses apportées par nos tocards de politicards ? On va rééchelonner leurs dettes… Les bras m’en tombent et les Grecs rient jaune :...
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  • Hiromichi 25/05/2015
    Le dernier volet nous annonçait une nouvelle à laquelle on avait un peu du mal à croire, ce volume-là confirme les faits. Ichiro n’est plus l’élève d’Ohezo mais heureusement pour nous, nous verrons encore le personnage. Dans ce huitième tome, avant qu’on ne nous mette face à ce qui se passe, l’atmosphère se détend avec un petit cours de fabrication du fromage, encore une fois, c’est ludique et on apprend des choses. Puis, après d’autres scènes légères de la vie de nos étudiants, la nouvelle tombe pour Ichiro. Il lui arrive quelque chose qui peut sembler normal et habituel dans le milieu, Yugo découvre ainsi son impuissance face aux événements de la vie active, de la vie réelle de tous ses camarades. Il découvre qu’une situation précaire touche relativement tous ses amis. L’exploitation agricole n’est pas un milieu où il est facile de survivre et on nous le montre bien. Nous faisons ici face à des problèmes « d’adultes » et on se rend bien compte que les élèves du lycée agricole ont déjà tous un pied à l’étrier. On fait ici une nette différence entre la vie d’enfant d’agriculteurs et celle des petits citadins. Ce manga bien que bourré d’humour nous fait voir des événements véridiques et pas toujours facile à gérer, les problèmes auxquels il faut faire face. Mais ce n’est pas non plus la fin et il faut aller de l’avant. La conclusion de ce récit est un peu plus légère que le sujet de cet opus, la série n’est pas encore terminée et nos personnages n’ont pas encore fait tout leur choix. Le prochain volume partira sans doute sur de nouvelles péripéties qu’on a hâte de découvrir !Le dernier volet nous annonçait une nouvelle à laquelle on avait un peu du mal à croire, ce volume-là confirme les faits. Ichiro n’est plus l’élève d’Ohezo mais heureusement pour nous, nous verrons encore le personnage. Dans ce huitième tome, avant qu’on ne nous mette face à ce qui se passe, l’atmosphère se détend avec un petit cours de fabrication du fromage, encore une fois, c’est ludique et on apprend des choses. Puis, après d’autres scènes légères de la vie de nos étudiants, la nouvelle tombe pour Ichiro. Il lui arrive quelque chose qui peut sembler normal et habituel dans le milieu, Yugo découvre ainsi son impuissance face aux événements de la vie active, de la vie réelle de tous ses camarades. Il découvre qu’une situation précaire touche relativement tous ses amis. L’exploitation agricole n’est pas un milieu où il est facile de survivre et on nous le montre bien. Nous faisons ici face à des problèmes « d’adultes » et on se rend bien compte que les élèves du lycée agricole ont déjà tous un pied à l’étrier. On fait ici une nette différence entre la vie d’enfant d’agriculteurs et celle des petits citadins. Ce manga bien que bourré d’humour nous fait...
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  • lesangdeslivres 20/05/2015
    La couverture est jolie mais très stricte. Les couleurs sont bien choisies et rendent les images agréables à voir. Dans ce tome, nous sommes confrontés aux problèmes des agriculteurs. Nous voyions qu’ils sont obligés d’emprunter pour pouvoir travailler dans leurs exploitations. Ce qui est bien, c’est que nous voyions que même au Japon, ils ont les mêmes soucis que chez nous au niveau de l’agriculture. Nous retrouvons également Yûgo, tout aussi drôle, mais nous le trouvons beaucoup plus mature que dans les tomes précédents. Nous le trouvons fort et courageux. Nous ne sommes pas les seuls à trouver des changements chez lui, d’autres personnages de l’histoire s’en aperçoivent également. Nous sommes très touchés de voir à quel point il s’investit dans tout et à quel point c’est une personne aussi humaine. Il est très attentionné auprès de ses camarades de l’école d’Ohezo. Nous sentons des sentiments enfin se dévoiler, mais étant toujours aussi timides et pudiques. Nous nous sentons désabusés quand nous voyions ce qu’il se passe dans une ferme et nous sommes très tristes de la finalité de la chose. À la fin, nos sentiments sont mitigés, entre la joie et la tristesse. Nous sommes heureux de voir qu’enfin un personnage ose dire ce qu’il pense et faire ce qu’il a envie de faire, mais nous sommes tristes quand nous voyions que ce ne sera pas sans conséquence. Rien que pour ça, nous avons très envie de continuer cette saga. Est-ce que j’ai aimé ce livre ? J’ai beaucoup apprécié ce manga. Les jeunes sont pour la plus part devenus assez mature et c’est ce que j’ai beaucoup aimé, car nous les voyions grandir au fur et à mesure que nous lisons les tomes. J’ai vraiment hâte de lire la suite.La couverture est jolie mais très stricte. Les couleurs sont bien choisies et rendent les images agréables à voir. Dans ce tome, nous sommes confrontés aux problèmes des agriculteurs. Nous voyions qu’ils sont obligés d’emprunter pour pouvoir travailler dans leurs exploitations. Ce qui est bien, c’est que nous voyions que même au Japon, ils ont les mêmes soucis que chez nous au niveau de l’agriculture. Nous retrouvons également Yûgo, tout aussi drôle, mais nous le trouvons beaucoup plus mature que dans les tomes précédents. Nous le trouvons fort et courageux. Nous ne sommes pas les seuls à trouver des changements chez lui, d’autres personnages de l’histoire s’en aperçoivent également. Nous sommes très touchés de voir à quel point il s’investit dans tout et à quel point c’est une personne aussi humaine. Il est très attentionné auprès de ses camarades de l’école d’Ohezo. Nous sentons des sentiments enfin se dévoiler, mais étant toujours aussi timides et pudiques. Nous nous sentons désabusés quand nous voyions ce qu’il se passe dans une ferme et nous sommes très tristes de la finalité de la chose. À la fin, nos sentiments sont mitigés, entre la joie et la tristesse. Nous sommes heureux de voir qu’enfin un personnage ose dire ce...
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  • zazimuth 12/01/2015
    Un volume émouvant qui marque un tournant dans la série je pense. Avec la décision d'Ichirô de quitter l'école pour aller travailler et aider sa mère à la maison depuis que la ferme a fait faillite, Yûgo revoit ses priorités et se donne une nouvelle mission. Face à ses amis Aki et Ichirô dont la passion et le but dans la vie sont freinés par des soucis matériels et familiaux, il choisit de les épauler. Ichirô a renoncé alors il s'attache à Aki (à qui il va enfin déclarer sa flamme ?) pour l'accompagner convaincre ses parents qu'elle ne reprendra pas la ferme familiale pour se consacrer à sa passion : les chevaux. J'ai hâte de lire la suite !!! Yûgo pourrait-il trouver sa voie en tant que professeur ?
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