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Nouveauté
Les Entrailles de la nuit - Prix du roman de la gendarmerie nationale 2024
Date de parution : 14/03/2024
Éditeurs :
Plon
Nouveauté

Les Entrailles de la nuit - Prix du roman de la gendarmerie nationale 2024

Date de parution : 14/03/2024
Un polar à la mécanique impitoyable, couronné du prix du roman de la gendarmerie nationale par un jury prestigieux.
Lucie, huit ans et demi, vient d’être enlevée. Grâce à sa montre connectée, elle a pu donner l’alerte et le compte à rebours est lancé : dans vingt-quatre heures, les chances de... Lucie, huit ans et demi, vient d’être enlevée. Grâce à sa montre connectée, elle a pu donner l’alerte et le compte à rebours est lancé : dans vingt-quatre heures, les chances de la retrouver vivante seront moins qu’infimes…
Devant l’enjeu, le major Victor Tchaïev est dépêché sur place. Coriace et réputé infaillible, il...
Lucie, huit ans et demi, vient d’être enlevée. Grâce à sa montre connectée, elle a pu donner l’alerte et le compte à rebours est lancé : dans vingt-quatre heures, les chances de la retrouver vivante seront moins qu’infimes…
Devant l’enjeu, le major Victor Tchaïev est dépêché sur place. Coriace et réputé infaillible, il est devenu l’expert des crimes les plus opaques. Mais, cette fois, il ne s’agit pas de confondre un meurtrier : il faut sauver une vie.
Et plus l’enquête progresse, plus la vérité devient mirage. Car celui qui joue avec le sablier possède toujours un coup d’avance. Tchaïev va se heurter à un maître dans l’art de manipuler les faits, les êtres et les esprits.
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EAN : 9782259315814
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 288
Format : 132 x 201 mm
EAN : 9782259315814
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 288
Format : 132 x 201 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • laetitiacornelis 30/03/2024
    Je viens de finir Les entrailles de la nuit de Marco Pianelli que je vous conseille vivement ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ Ma curiosité a été titillée dès le départ par une écriture que j ai trouvée différente de mes lectures habituelles. Je ne sais pas l expliquer autrement que parce que agréablement intense. J ai aussi fort accroché à l enquêteur principal avec ses répliques qu on a envie de noter qq part pour les ressortir un jour. Et pour finir, le plus important, l histoire qui très bien ficelée m a tenue en haleine jusqu’au bout. Bonne lecture
  • kristobalone 26/03/2024
    C’est le quatrième roman de Marco Pianelli, et déjà il remporte un prix littéraire prestigieux dans le monde du polar. Notons que le jury du prix du roman de la gendarmerie nationale 2024 réunissait des gendarmes, des journalistes, des avocats et des écrivains dont Maxime Chattam pour ne citer que lui. Comme à son habitude l’auteur nous gratifie d’un personnage principal particulièrement charismatique mais aussi de deux personnages secondaires assez bluffants : Pénélope, une gendarmette (depuis Louis de Funès le terme est familier sinon légitime) dévouée et attachante, et Antoine, sorte d’acolyte encombrant à l’instar du Bérurier de San-Antonio. Ce trio sympathique va traquer un kidnappeur d’enfant cruellement astucieux qui trimballe les gendarmes à sa guise pendant que les heures s’égrènent comme des minutes. Le livre se lit en apnée, le coeur battant, on ne peut le lâcher qu’à regret, comme ce fut mon cas au cours d’un week-end particulièrement chargé. Marco Pianelli améliore son style et son écriture de roman en roman, il parfait son sens du rythme et il me semble évident, (sans aucune flatterie), qu’il est en train de devenir une grande voix du roman policier hexagonal, bientôt incontournable. L’aspect cinématographique Des Entrailles de la Nuit fait de ce roman une base très inspirante pour un film policier de grande qualité et je ne serai pas surpris de le voir adapté au cinéma prochainement. Pour en revenir à l’histoire, j’avoue avoir découvert le coupable à la moitié du livre environ (je connais même précisément le numéro de la page mais non, je ne divulgâcherai rien) et pourtant cela n’a nullement entamé mon plaisir de lecteur, ni même le suspens. Et ça me donne envie de crier au génie… Parce que d’habitude, une fois qu’on a compris ce genre de détail, la tension faiblit immanquablement. Mais pas dans Les Entrailles de la Nuit. Ce qui m’amène à me poser une question : est-ce fait exprès ? Je veux dire, est-ce que tous les lecteurs vont deviner l’identité du kidnappeur aussi vite que moi et pourtant continuer à kiffer jusqu’au bout ? Est-ce que c’est voulu par l’auteur ? D’autre part, qu’on lu les gendarmes du jury ? Une enquête conforme à leur quotidien ou bien une enquête comme ils rêveraient d’en mener ? Vous l’aurez compris, ce roman policier m’a enthousiasmé avec puissance et Marco Pianelli va devoir me compter désormais officiellement parmi ses plus fidèles lecteurs !C’est le quatrième roman de Marco Pianelli, et déjà il remporte un prix littéraire prestigieux dans le monde du polar. Notons que le jury du prix du roman de la gendarmerie nationale 2024 réunissait des gendarmes, des journalistes, des avocats et des écrivains dont Maxime Chattam pour ne citer que lui. Comme à son habitude l’auteur nous gratifie d’un personnage principal particulièrement charismatique mais aussi de deux personnages secondaires assez bluffants : Pénélope, une gendarmette (depuis Louis de Funès le terme est familier sinon légitime) dévouée et attachante, et Antoine, sorte d’acolyte encombrant à l’instar du Bérurier de San-Antonio. Ce trio sympathique va traquer un kidnappeur d’enfant cruellement astucieux qui trimballe les gendarmes à sa guise pendant que les heures s’égrènent comme des minutes. Le livre se lit en apnée, le coeur battant, on ne peut le lâcher qu’à regret, comme ce fut mon cas au cours d’un week-end particulièrement chargé. Marco Pianelli améliore son style et son écriture de roman en roman, il parfait son sens du rythme et il me semble évident, (sans aucune flatterie), qu’il est en train de devenir une grande voix du roman policier hexagonal, bientôt incontournable. L’aspect cinématographique Des Entrailles de la Nuit fait de ce roman une base...
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  • Claude74 26/03/2024
    38 heures, c'est le temps que met l'enquêteur pour retrouver la kidnappée, heureusement le lecteur ne mettra pas autant de temps pour identifier le coupable même si l'intrigue est bien menée, on finit par le suspecter bien avant la fin surtout par le décalage intriguant entre les deux protagonistes.
  • Bibliophil1 16/03/2024
    Ce roman est une pépite de tension et de suspense maintenus du début à la fin, avec une intrigue bien construite et des personnages fort bien campés. Tout se concentre sur l'enquête et le lecteur est manipulé par l'auteur de la même façon que le coupable va le faire avec les enquêteurs, en le menant sur de fausses pistes.. On est pris et surpris par les rebondissements de l'enquête, c'est très prenant. Tout cela est sublimé par un très beau style d'écriture dont se dégage parfois un humour très fin. Un roman au prix bien mérité !
  • Cassiopee42 14/03/2024
    PRIX DU ROMAN DE LA GENDARMERIE NATIONALE 2024 En apnée, le souffle court, le cœur à cent à l’heure…. Dès les premières pages, j’ai été happée, presqu’incapable de poser ma lecture. Ce n’était pas envisageable. L’enquêteur l’avait dit : vingt-quatre heures pour retrouver la fillette, après c’est le plus souvent un échec. Avec son écriture dynamique, puissante, avec ses puch lines, son style vif et un rythme rapide, l’auteur m’a pris dans ses rets. J’aime sa façon d’écrire, toujours en mouvement, sans temps mort. Lucie, huit ans et demi a disparu, probablement enlevée. Par qui et pourquoi ? Elle a activé sa montre connectée et a ainsi alerté ses parents. La gendarmerie est prévenue et le major Victor Tchaïev est envoyé sur place, sur ordre du ministre qui connaît très bien la famille inquiète. On ne tarit pas d’éloges sur Victor qui a choisi de rester sur le terrain alors qu’il pourrait faire autre chose. Lui, il a besoin de se confronter aux situations délicates, de chercher, de sentir l’adrénaline qui l’aide quand il est en danger. Derrière un bureau, ce n’est pas pareil, ça ne lui correspond pas, je suis sûre qu’il serait malheureux. Arrivé sur place, il collabore avec l’équipe de gendarmerie où tous les membres se mettent pratiquement à son service, prêts à l’aider, à le soutenir (ne serait-ce qu’en fournissant du café chaud), à lui expliquer la vie ici loin de la capitale, à l’accompagner dans sa réflexion et ses investigations. En plus de toutes ces personnes motivées et à disposition, il a Pénélope dans l’ombre. Bras droit efficace, capable d’anticiper, de « sentir » ce que veut le major, une geek rapide, dégourdie, intuitive, une femme quoi ! Ce qui fait toute la différence, n’est-ce pas ? Ces deux-là communiquent à demi-mots, savent toujours où ils veulent aller et ce qu’il faut obtenir pour avancer. La course contre la montre est engagée, Victor ne veut pas perdre. La caféine le maintiendra éveillé, sa volonté d’en découdre, de coincer le saligaud qui a fait ça, fera le reste. Victor c’est un homme brut de décoffrage, qui ne tergiverse pas, qui veut des résultats. Bougon mais attachant. Il exige de lui-même le maximum et les collègues doivent le suivre. Quand il s’exprime, on l’écoute, on agit et vite. C’est tout. Ses raisonnements sont « pointus » parce que son cerveau « scanne » ce qu’il voit, ce qu’il entend, ce qu’il a analysé. Dans chaque ligne, on sent l’urgence dans le phrasé. Les dialogues sont précis, ciblés, parfois teintés d’humour (et là d’un coup, on reprend sa respiration). « -Je ne suis pas vraiment une anguille, major, plutôt un phacochère, faudrait pas que je reste coincé dans un terrier. -Au moins, ça bouchera une sortie. » Les scènes sont décrites avec des mots qui font mouche. On y est, on ressent l’atmosphère, on voit les lieux, on sent les odeurs qui envahissent les narines de Victor. Presque de la réalité virtuelle sans le casque, rien qu’en lisant, ça c’est fort ! « Sa superbe venait de faire faillite, le front offert à la sudation et la jambe droite remuant de manière épileptique, hurlaient le langage de la trouille. » Marco Pianelli prend ses lecteurs en otage. Il sait bien qu’on ne lâchera pas le récit, qu’on voudra savoir, qu’on tremblera, que parfois un sourire pointera mais pas longtemps car l’angoisse, la peur, reprendront le dessus. On est comme Victor, on essaie de recouper les informations, de trouver un indice, et on est malheureux de ne pas y arriver. C’est un roman qui a largement mérité le prix qu’il a reçu. L’intrigue est originale, réfléchie et elle met en avant plusieurs aspects du mensonge. Les personnages sont hauts en couleurs, « palpables »avec des caractères bien définis. Le contexte du kidnapping d’un enfant nous prend aux tripes et on aimerait intervenir. Voilà pour le fond. Quant à la forme…c’est une réussite, des chapitres courts, des phrases qui s’enchaînent et qui percutent et un Victor que je reverrai volontiers dans un prochain titre ! PRIX DU ROMAN DE LA GENDARMERIE NATIONALE 2024 En apnée, le souffle court, le cœur à cent à l’heure…. Dès les premières pages, j’ai été happée, presqu’incapable de poser ma lecture. Ce n’était pas envisageable. L’enquêteur l’avait dit : vingt-quatre heures pour retrouver la fillette, après c’est le plus souvent un échec. Avec son écriture dynamique, puissante, avec ses puch lines, son style vif et un rythme rapide, l’auteur m’a pris dans ses rets. J’aime sa façon d’écrire, toujours en mouvement, sans temps mort. Lucie, huit ans et demi a disparu, probablement enlevée. Par qui et pourquoi ? Elle a activé sa montre connectée et a ainsi alerté ses parents. La gendarmerie est prévenue et le major Victor Tchaïev est envoyé sur place, sur ordre du ministre qui connaît très bien la famille inquiète. On ne tarit pas d’éloges sur Victor qui a choisi de rester sur le terrain alors qu’il pourrait faire autre chose. Lui, il a besoin de se confronter aux situations délicates, de chercher, de sentir l’adrénaline qui l’aide quand il est en danger. Derrière un bureau, ce n’est pas pareil, ça ne lui correspond pas, je suis sûre qu’il serait malheureux. Arrivé sur place, il collabore avec l’équipe...
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