Les Folles enquêtes de Magritte et Georgette : Charleroi du crime

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• moussk12 18/02/2024

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  Une femme meurt à deux reprises : la première fois dans un incendie lorsqu’elle était adolescente et la seconde, renversée par une voiture, de nombreuses années plus tard. Le mari, pâtissier de métier, trouve alors une vieille caisse de photos au grenier et c’est là qu’il découvre que sa défunte épouse, dont il ne sait rien en fin de compte, a déjà trouvé la mort quand elle était enfant. Ou il y a du surnaturel là-dedans ou il y a eu usurpation d’identité. Mais pourquoi ? Le pâtissier fait appel à Magritte et Georgette (et leur petit Loulou) pour obtenir réponse à ses nombreuses questions qui l’empêche de dormir et lui ôte le coeur à l’ouvrage. Et nous accompagnons les détectives amateurs à Charleroi. Toujours cet hommage aux « petites gens » de la région (qui ont réellement existé), dont l’originalité ou le métier ont fait qu’ils étaient connus de tous et dont la présence donnait un cacher particulier à la ville minière. J’ai moins apprécié tous ces petits chapitres allant d’un personnage à l’autre, vous savez comme certaines séries TV des années 90. Les autres tomes étaient plus linéaires et ressemblaient plus à un roman policier. Cette construction a fait aussi que je suis passée à côté des références faites aux œuvres du peintre. Mais, avec l’humour de Nadine Monfils, j’ai quand même, une fois de plus, bien rigolé. Une femme meurt à deux reprises : la première fois dans un incendie lorsqu’elle était adolescente et la seconde, renversée par une voiture, de nombreuses années plus tard. Le mari, pâtissier de métier, trouve alors une vieille caisse de photos au grenier et c’est là qu’il découvre que sa défunte épouse, dont il ne sait rien en fin de compte, a déjà trouvé la mort quand elle était enfant. Ou il y a du surnaturel là-dedans ou il y a eu usurpation d’identité. Mais pourquoi ? Le pâtissier fait appel à Magritte et Georgette (et leur petit Loulou) pour obtenir réponse à ses nombreuses questions qui l’empêche de dormir et lui ôte le coeur à l’ouvrage. Et nous accompagnons les détectives amateurs à Charleroi. Toujours cet hommage aux « petites gens » de la région (qui ont réellement existé), dont l’originalité ou le métier ont fait qu’ils étaient connus de tous et dont la présence donnait un cacher particulier à la ville minière. J’ai moins apprécié tous ces petits chapitres allant d’un personnage à l’autre, vous savez comme certaines séries TV des années 90. Les autres tomes étaient plus linéaires et ressemblaient plus à un roman policier. Cette construction...

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• NinaMarquez 17/10/2023

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  Nouvelle enquête, nouvelle ville. Et vlan, on redémarre ces folles aventures, avec comme copilotes Magritte et Georgette. Loulou sur les bras. Et la belgitude dans le viseur. Bon, c’est vrai Magritte n’est ni Hercule Poirot ni Agatha Christie. Et l’enquête, en vérité, on s’en fout royalement. Non, ce qui nous plait (pour les fans, hein ?), c’est traîner avec nos deux compères, savourer les dialogues truculents, déguster une bonne bière, rire, se bâfrer de « merveilleux » (gâteaux à la meringue) et céder, le temps d’une lecture, à cette joyeuse dinguerie. Si vous n’aimez pas, passez votre chemin. Sinon, embarquement immédiat. Direction Charleroi. Bien sûr que j’en redemande. Je ne m’en lasse pas. Car, par les temps qui courent, un livre qui a le pouvoir d’égayer encore un poil nos neurones, mérite, à tous les égards, une palme. Et, ici, c’est celle de la rigolade que décrochent, haut la main, Magritte et Georgette.