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Nouveauté
Obsolète - LE roman noir et d'anticipation sur l'obsolescence de la femme de 50 ans, par l'autrice récompensée du prix Landerneau Polar
Collection : Belfond Noir
Date de parution : 01/02/2024
Éditeurs :
Belfond
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Nouveauté

Obsolète - LE roman noir et d'anticipation sur l'obsolescence de la femme de 50 ans, par l'autrice récompensée du prix Landerneau Polar

Collection : Belfond Noir
Date de parution : 01/02/2024
Convoquant tout autant le roman d’anticipation que la littérature de suspense, Sophie Loubière nous offre une plongée fascinante et terrifiante dans un monde rétrofuturiste visionnaire. Une œuvre totale par une grande voix du roman noir français.
La femme, un produit sans grand avenir ?


2224. Depuis le Grand Effondrement de la civilisation fossile et les crises qui ont suivi, l’humanité s’est adaptée. Économiser les ressources, se protéger du...
La femme, un produit sans grand avenir ?


2224. Depuis le Grand Effondrement de la civilisation fossile et les crises qui ont suivi, l’humanité s’est adaptée. Économiser les ressources, se protéger du soleil, modifier son habitat, ses besoins, et adhérer au tout-recyclage.

Y compris celui des femmes.

Afin d’enrayer le déclin de la population,...
La femme, un produit sans grand avenir ?


2224. Depuis le Grand Effondrement de la civilisation fossile et les crises qui ont suivi, l’humanité s’est adaptée. Économiser les ressources, se protéger du soleil, modifier son habitat, ses besoins, et adhérer au tout-recyclage.

Y compris celui des femmes.

Afin d’enrayer le déclin de la population, toute femme de cinquante ans est retirée de son foyer pour laisser la place à une autre, plus jeune et encore fertile.

L’heure a sonné pour Rachel. Solide et sereine, elle est prête. Mais qu’en est-il de son mari et de ses enfants ? Car personne n’est jamais revenu du Grand Recyclage. Et Rachel sent bien que le Domaine des Hautes-Plaines n’est pas ce lieu de rêve que promet la Gouvernance territoriale aux futures Retirées…
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EAN : 9782714499806
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 528
Format : 140 x 205 mm
Belfond
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EAN : 9782714499806
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 528
Format : 140 x 205 mm

Ils en parlent

"S’éloignant du polar, Sophie Loubière nous offre un roman d’anticipation. Le pari est réussi et audacieux tout en abordant des thèmes actuels forts (féminisme, écologie)"
Lara / Librairie l'Armitière

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Lucie_Ash 12/04/2024
    J’ai longtemps hésité à écrire cette chronique, parce que j’avais l’impression que quoi que je puisse exprimer, ce ne serait jamais assez face à cette œuvre remarquable. Et puis, finalement, j’ai craqué. Je ne connaissais pas Sophie Loubière avant de lire Obsolète, et je dois dire que je suis ravie de cette rencontre ! J’avais vu passer plusieurs fois cette parution dans des listes de recommandations chez les libraires, sur Babelio… Et j’ai fini par l’acheter chez mes libraires. Je suis tombée sous le charme de la 4ème avant de tomber amoureuse du livre dans son ensemble ; je suis tellement satisfaite de l’avoir acheté pour moi plutôt qu’emprunté à la médiathèque ! C’est un livre que je relirai sans aucun doute, ce qui m’arrive pourtant très peu. Je m’attendais d’abord à un roman un peu façon Sandrine Collette, sombre, avec des réflexions profondes sur la nature humaine ; et en même temps avec pas mal d’action, comme chez Neil Gaiman. Au final, l’histoire n’est pas si sombre même si elle parle beaucoup de nature humaine ; et si on y trouve pas mal d’action, elle a un rythme lent qui permet de construire tout un Monde. Ce dernier est d’une complexité rare. 200 ans dans notre futur, avec quelques milliards de têtes en moins, l’Humanité a dû trouver d’autres manières de vivre. Sophie Loubière interroge absolument TOUS les aspects d’une société : politique, ressources, climat, travail, éducation, relationnel, loisirs, transports, croyances, logement… Moi qui me plains souvent de ne pas trouver assez de détails sur le contexte, ici j’ai pu tout savoir. Et relire, et discuter des solutions envisagées pour telle ou telle contrainte environnementale, et réfléchir, et rechercher. J’ai lu certains passages comme un documentaire, apprenant beaucoup, faisant des allers-retours dans les paragraphes. Je n’ai pas poussé le vice jusqu’à prendre des notes (parce que l’histoire est tout aussi prenante et que je voulais savoir la suite), mais je serais bien capable de m’y mettre à la relecture ! Quel pied… L’histoire dans cet environnement si riche est fascinante elle aussi. Rachel vient d’avoir cinquante ans et se prépare pour le Grand Recyclage, avec deux de ses amies proches. Elle doit donc quitter son mari, ses deux enfants, son métier, sa maison, son village… tout en n’ayant qu’une version officielle relayée par Maya, l’IA universelle, et en se questionnant sur ce qu’il en est réellement. Il ne faut par contre pas être trop pressé, puisque Rachel ne quittera sa maison qu’à la moitié du roman (530 pages, rappelons-le) ; le récit comprend plusieurs arcs narratifs, dont celui du Grand Recyclage, mais d’autres le rejoignent et sont tout aussi passionnants et engagés. L’engagement de l’autrice, parlons-en. Sophie Loubière livre un récit profondément féministe et écologiste. De nombreuses réflexions des personnages, notamment de Rachel, invitent à penser le sexisme sous toutes ses coutures : par sa violence systémique (dont le Grand Recyclage) ou isolée. Depuis sa racine jusqu’à ses conséquences concrètes en 2224. Les pistes avancées sont passionnantes, les positionnements des personnages très éclairants. Qu’il s’agisse de la protagoniste, de son mari ou de son ami John, chacun voit les choses à travers son propre prisme, et nous dévoile à tour de rôle sa pensée. La réflexion est donc très riche et m’a grandement passionnée ! Pour ce qui est de l’écologie, c’est surtout le contexte qui l’explicite. Le Grand Effondrement semble n’avoir plus laissé le choix. Dans les cours à l’école dont se souvient Rachel, on décrit notre époque actuelle d’une manière qui rebute les élèves, tant nos erreurs et nos égarements sont violents. Par rapport aux animaux (plus de chatons ni d’oiseaux en 2224, plus non plus de régime carné), par rapport à la Nature (on n’occupe plus l’intégralité des Sols), par rapport au Climat… Et les habitants de ce futur font face aux erreurs de leurs ancêtres, construisant des maisons passives, luttant contre les canicules, récupérant l’eau de pluie. Leurs habitudes, leur manière de vivre, leurs emplois, leur agriculture, tout est fonction de leur environnement. Ce programme m’a semblé si utopique, et il est si bien détaillé et expliqué, que j’aurais voté cent fois pour lui. La question des croyances et des religions est elle aussi abordée et fouillée. Je me dis que si ce roman dérange, ce sera sûrement pour cette dimension-là. Et pourtant, j’ai beaucoup aimé la manière d’amener cette idée, et de l’expliquer. Les personnages portent tous un bracelet de régulation des émotions, ce qui a permis à l’humanité d’éradiquer la tristesse, la colère, et par là, la criminalité. Entre le bracelet et Maya, qui répond à toutes les questions et administre la vie des humains, ces derniers n’ont plus d’émotions fortes qui pourraient les déstabiliser et mettre la communauté en péril. Si je pense que le bracelet est vraiment du domaine de la science-fiction, l’IA par contre pourrait bien devenir un futur très proche avec les Google Home, les Alexa et compagnie… A la fois rassurante et contrôlante, Maya fait partie intégrante du quotidien des nouveaux humains. Cette dimension-là m’a fascinée aussi. Je ne vais pas m’éterniser plus je crois, j’ai été complètement hypnotisée par Obsolète. C’est sans conteste un des meilleurs romans d’anticipation que j’ai lus, et je ne saurais que trop le conseiller. Lisez-le, c’est un roman total et bouleversant.J’ai longtemps hésité à écrire cette chronique, parce que j’avais l’impression que quoi que je puisse exprimer, ce ne serait jamais assez face à cette œuvre remarquable. Et puis, finalement, j’ai craqué. Je ne connaissais pas Sophie Loubière avant de lire Obsolète, et je dois dire que je suis ravie de cette rencontre ! J’avais vu passer plusieurs fois cette parution dans des listes de recommandations chez les libraires, sur Babelio… Et j’ai fini par l’acheter chez mes libraires. Je suis tombée sous le charme de la 4ème avant de tomber amoureuse du livre dans son ensemble ; je suis tellement satisfaite de l’avoir acheté pour moi plutôt qu’emprunté à la médiathèque ! C’est un livre que je relirai sans aucun doute, ce qui m’arrive pourtant très peu. Je m’attendais d’abord à un roman un peu façon Sandrine Collette, sombre, avec des réflexions profondes sur la nature humaine ; et en même temps avec pas mal d’action, comme chez Neil Gaiman. Au final, l’histoire n’est pas si sombre même si elle parle beaucoup de nature humaine ; et si on y trouve pas mal d’action, elle a un rythme lent qui permet de construire tout un Monde. Ce dernier est d’une complexité...
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  • romdelerue 11/04/2024
    2224 Grand recyclage Condition de la femme Fertilité et stérilité Enquête pour meurtre Montre connectée avec option gestion des émotions Big eye Truman show 1984 The handmaid's tale Voici un peu de résumé et de références que l'on pourrait coller à ce livre. Une dystopie avec du suspens mais malgré tout quelques longueurs. J'ai adoré les autres romans de Sophie Loubiere mais celui-ci ne sera pas dans mon top.
  • Didjmix 10/04/2024
    Cette dystopie-polar est bien réalisée et agréable à lire. Elle répond pas mal, même si c'est particulier, à de nombreuses questions contemporaines. Notamment celle de la surpopulation. On avance de deux siècles, et la solution trouvée est radicale (en plus de résoudre le problème du financement de la vieillesse et de ses maladies) : à 50 ans les femmes, plus nombreuses, sont obsolètes, recyclées ; les hommes, de leur côté ont le droit de refonder une famille. La ménopause se concrétise par un "Grand remplacement". Je vous laisse deviner ce qui est décidé de leur sort, dans une société totalement contrôlée, aseptisée, réglée comme du papier à musique. Côté polar : si c'est plutôt léger, en revanche les mobiles développés sont très intéressants. Côté science fiction c'est malin, un savant mélange, je trouve, entre "Soleil vert" réservée aux femmes et la série brésilienne "3%" avec cette idée de méritocratie. Bien pensé.
  • Julitlesmots 09/04/2024
    C’est en lisant De cendres et de larmes, un thriller aux accents fantastiques que j’ai eu le plaisir de découvrir la plume de Sophie Loubière. Lorsque j’ai découvert qu’Obsolète sortait, je me souviens avoir ressenti cette pointe d’impatience face à l’attente. L’intrigue promettait un bon moment de lecture et je n’ai pas été déçue ! L’intrigue a beau se situer dans 200 ans après l’effondrement de la civilisation moderne, certaines thématiques sont déjà bien présentes et actuelles et n’ont rien du récit d’anticipation. En partant de thématiques très actuelles, l’écologie, l’épuisement des ressources, la baisse de la natalité, tout en explorant en profondeur la place de la femme, Sophie Loubière crée un futur à la fois éloigné, mais très proche de nos préoccupations actuelles. Le postulat étant que les solutions existent bien avant l’effondrement et pourtant, l’Homme dans toute sa capacité à fermer les yeux n’a pas anticipé cette fin annoncée. C’est à la fois un thriller d’anticipation noir, une étude sociétale mais aussi une exploration de l’âme humaine avec ce qu’elle a de plus complexe, notamment avec l’éducation des enfants. La place de la femme mise au rebut, arrivant en fin de vie, à cinquante ans, doit se retirer. Enfin, elle est retirée de son foyer, déclarée obsolète, car elle ne peut plus procréer. Son rôle premier étant dévolu à la procréation, elle doit laisser sa place et permettre à l’homme de créer une seconde famille, car lui n’a aucun souci pour engendrer. Outre cette thématique principale, Sophie Loubière, décortique l’impact du retrait de la femme sur sa famille,, tout en se penchant sur la revisite de certains faits historiques, balayés pour mieux déconstruire les idées afin d’en imposer d’autres. Les sentiments sont tempérés par des implants qui permettent de ne plus ressentir ce qui pourrait perturber. Mais le fait de bannir les sentiments n’est pas toujours ce qui rend l’être humain plus humain. La complexité des sentiments, n’est-elle pas, malgré les horreurs, ce qui rend l’être humain plus empathique ? C’est une des questions que l’on se posera à plusieurs reprises. Sophie Loubière, se pose comme une visionnaire, en s’attaquant à la place de la femme dans le futur en observant ce qui se passe aujourd’hui. Le fait est qu’il est difficile pour la femme de disposer librement de son corps, dans certains endroits du globe et ce qui aujourd’hui nous fait réagir, ne le fera certainement plus dans un futur où la terre compte davantage de femmes que d’hommes et où la diminution de la natalité implique la disparition de l’humanité. L’auteure, pousse le lecteur à la réflexion à travers le portrait de plusieurs femmes, arrivées au moment du « Grand recyclage » et sa normalisation. Elle décortique les usages de cette nouvelle société, son évolution, mais aussi son mode de pensée. Deux intrigues en une, chacune se construisant en parallèle de l’autre, et même si elles ne se rejoignent pas, elles mettent en exergue ce qui ne fonctionne pas dans ce 2224. Sophie Loubière ne pouvait construire ce type d’intrigue, sans glisser une enquête sur la disparition de trois fillettes… Même si au paradis, il ne peut pas y avoir de mort, celle-ci amène une enquête particulière, tout en explorant les limites d’un tel système. C’est assez compliqué de parler de ce livre sans divulguer l’intrigue, car tout est intéressant, tout est transposable à notre époque, tout fait froid dans le dos, malgré le tableau idyllique qu’on veut nous dépeindre… En s’aventurant vers l’anticipation, avec une pointe de thriller, et un zest de polar, Sophie Loubière prend une certaine hauteur avec un univers dense réfléchi et plausible, puisqu’à travers des recherches très poussées, elle utilise ce qui existe en 2024, pour enfin le rendre aboutit en 2224. Le grand recyclage ne concerne pas que les femmes, c’est toute une société qui se recycle, parfois au détriment de son humanité la plus profonde où le rôle premier de l’être humain est la procréation. L’être humain n’étant plus maître de ses choix, sous l’égide d’un grand chef d’orchestre serait-il capable de discernement ? De faire la différence entre le bien et le mal lorsque tous les sentiments sont annihilés ? Le fait de passer sous silence, ou d’arranger certains pans historiques, permet-il de gommer ce qui ne va pas chez l’Homme ? Pour le savoir, il vous faudra découvrir ce livre truffé de bonnes idées, mais aussi diablement construit, où le talent de conteur frise la perfection. Je ne me suis pas ennuyée tout au long de ce récit dense et d’une grande intensité.C’est en lisant De cendres et de larmes, un thriller aux accents fantastiques que j’ai eu le plaisir de découvrir la plume de Sophie Loubière. Lorsque j’ai découvert qu’Obsolète sortait, je me souviens avoir ressenti cette pointe d’impatience face à l’attente. L’intrigue promettait un bon moment de lecture et je n’ai pas été déçue ! L’intrigue a beau se situer dans 200 ans après l’effondrement de la civilisation moderne, certaines thématiques sont déjà bien présentes et actuelles et n’ont rien du récit d’anticipation. En partant de thématiques très actuelles, l’écologie, l’épuisement des ressources, la baisse de la natalité, tout en explorant en profondeur la place de la femme, Sophie Loubière crée un futur à la fois éloigné, mais très proche de nos préoccupations actuelles. Le postulat étant que les solutions existent bien avant l’effondrement et pourtant, l’Homme dans toute sa capacité à fermer les yeux n’a pas anticipé cette fin annoncée. C’est à la fois un thriller d’anticipation noir, une étude sociétale mais aussi une exploration de l’âme humaine avec ce qu’elle a de plus complexe, notamment avec l’éducation des enfants. La place de la femme mise au rebut, arrivant en fin de vie, à cinquante ans, doit se retirer. Enfin, elle est retirée...
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  • clemaufildespages 05/04/2024
    DYSTOPIE FÉMINISTE 👀 Bienvenue en 2224. Depuis le Grand Effondrement, la civilisation s'est adaptée. Se protéger du soleil, économiser les ressources, adapter ses besoins et surtout adhérer au Tout Recyclage... y compris celui des femmes. Désormais, passé 50 ans elles sont retirées de leur foyer et remplacées par une femme plus jeune et encore fertile. Pour Rachel, il est désormais l'heure de partir et de laisser son mari et ses enfants. Mais pour aller où? Mystère car personne n'est jamais revenu du Grand Recyclage... J'aime beaucoup la plume de Sophie Loubière qui m'a déjà convaincue à plusieurs reprises. Et si le genre de la dystopie n'est pas mon style de prédilection, j'ai adoré me laisser embarquer par cette histoire très bien documentée et pleine de détails aussi horrifiants que passionnants. Je salue la richesse de la réflexion de l'autrice, c'est réaliste même si c'est dans 200 ans. Si loin et proche à la fois. Et si l'univers est incroyablement maîtrisé, le suspense n'est pas en reste car trois enfants sont morts de façon suspecte. Totalement inexplicable dans ce monde aseptisé où toute forme de violence a disparu. Ne vous attendez pas à de multiples actions et rebondissements, laissez vous simplement embarquer dans ce nouveau monde où les émotions sont contrôlées et où l'intelligence artificielle prend beaucoup de place. L'idée est brillante, les réflexions féministes parfaitement amenées, la plume superbe et la créativité à son maximum ! Sophie Loubière, une autrice qui se renouvelle et qui n'a - je pense ! - pas fini de nous étonner ! À lire ❤️#8205;🔥❤️#8205;🔥 Alors ça vous dit? Vous en avez pensé quoi vous? Des reco' de Sophie Loubière? DYSTOPIE FÉMINISTE 👀 Bienvenue en 2224. Depuis le Grand Effondrement, la civilisation s'est adaptée. Se protéger du soleil, économiser les ressources, adapter ses besoins et surtout adhérer au Tout Recyclage... y compris celui des femmes. Désormais, passé 50 ans elles sont retirées de leur foyer et remplacées par une femme plus jeune et encore fertile. Pour Rachel, il est désormais l'heure de partir et de laisser son mari et ses enfants. Mais pour aller où? Mystère car personne n'est jamais revenu du Grand Recyclage... J'aime beaucoup la plume de Sophie Loubière qui m'a déjà convaincue à plusieurs reprises. Et si le genre de la dystopie n'est pas mon style de prédilection, j'ai adoré me laisser embarquer par cette histoire très bien documentée et pleine de détails aussi horrifiants que passionnants. Je salue la richesse de la réflexion de l'autrice, c'est réaliste même si c'est dans 200 ans. Si loin et proche à la fois. Et si l'univers est incroyablement maîtrisé, le suspense n'est pas en reste car trois enfants sont morts de façon suspecte. Totalement inexplicable dans ce monde aseptisé où toute forme de violence a disparu. Ne vous attendez pas à de multiples actions et rebondissements, laissez vous simplement embarquer dans ce nouveau...
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