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The Heroic Legend of Arslân - tome 11
Fabien Vautrin (traduit par), Maiko_O (traduit par)
Collection : mangas
Date de parution : 21/11/2019
Éditeurs :
12-21

The Heroic Legend of Arslân - tome 11

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Fabien Vautrin (traduit par), Maiko_O (traduit par)
Collection : mangas
Date de parution : 21/11/2019
Découvrez aujourd’hui The Heroic Legend of Arslân, une série d’heroic fantasy exceptionnelle ! Au programme : des batailles épiques, des stratégies étonnantes et des intrigues de palais.
Les premières disensions se font sentir au sein de la troupe du prince Arslân. Ghîb, le ménestrel, révèle à Isfân qu'il a achevé son frère tombé aux mains des Lusitaniens. Cette rixe est symptomatique des défis que le jeune prince sera obligé de relever : s'il souhaite reconquérir son royaume, il va d'abord devoir unifier son armée derrière lui.
EAN : 9782823875713
Façonnage normé : EFL3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823875713
Façonnage normé : EFL3
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • mimouski 17/03/2021
    Le problème, quand on a accès à un tome aussi peu souvent, c'est que tout s'essouffle. C'est d'autant plus frustrant quand c'est une série épique ! Le temps que tout se remette en place et que le contexte me revienne, je suis de nouveau embarquée dans l'aventure héroïque de notre jeune prince parse. Un tome avec un peu de stratégie pour conquérir le château de Chasûm ainsi que le fort St Manuel où des Lusitaniens sont gouvernés par un gentil comte qui prendra des décisions tragiques .. Malgré ce sentiment de discontinuité dans cette série épique (comme Kingdom), je trouve que l'attrait est toujours présent et j'ai hâte de lire le prochain qui est dans ma pile actuelle.
  • Calimero25 10/02/2020
    Les tensions au sein de l'armée Parse existe et comme ç son habitude, Narsus veille au grain. Gibs part donc en parallèle et c'est ainsi que notre équipe se sépare. L'armée se dirige donc vers la capitale et va s'occuper ce certaines place forte sur son passage. Un bon tome.
  • Rickola 26/11/2019
    Le rythme de parution très lent de la série (2 tomes par an) joue en sa défaveur. En effet, cette série épique, de par la nature de son récit, a besoin de poser ses personnages et les forces en présence pour déployer la complexité de son récit, et Hiromu Arakawa fait ça avec grand talent. Le problème est qu’avec un tome tous les six mois, il est compliqué d’être rassasié à chaque nouvelle sortie, tant le récit avance à petits pas, chose normale compte tenu de sa nature. De ce fait, nous allons voir que ce tome 11, bien que très réussi comme tout le reste de la série, n’est pas sans susciter quelque frustration du fait d’un sentiment de trop peu. Mais je pense que ce défaut, imputable au rythme de parution, sera gommé une fois que l’on verra la série dans son ensemble. Car des relectures s’imposent déjà afin de saisir la richesse des enjeux et de l’évolution des personnages (en particulier Arslan et Hilmes, bien que ce dernier soit dramatiquement absent de ce tome). Les premières dissensions se font sentir au sein de la troupe du prince Arslan. Ghib, le ménestrel, révèle à Isfan qu’il a achevé son frère tombé aux mains des Lusitaniens. Cette rixe est symptomatique des défis que le jeune prince sera obligé de relever : s’il souhaite reconquérir son royaume, il va d’abord devoir unifier son armée derrière lui. Comme je l’ai dit en introduction, le rythme de parution lent crée une frustration à la lecture de certains tomes, et c’est particulièrement le cas avec celui-ci qui prend surtout le temps de mettre en place de nouveaux pions sur l’échiquier. C’est le cas avec Ghib qui se voit quitter le groupe pour une raison bien précise, tout comme la bataille au cœur de ce volume, qui sans être décisive, va quand même apporter son lot d’évolutions. Et puisqu’il est question d’évolution, celle d’Arslan est une nouvelle fois au cœur du récit, et continue d’en être une des principales forces à mes yeux. En effet, le jeune prince se révèle encore davantage, l’épée à la main tout d’abord, car il aura l’occasion de croiser un peu le fer, mais surtout en tant que souverain, par ses décisions mesurées et éclairées. C’est d’ailleurs cet élément qui nous offre selon moi les plus beaux moments du tome, le confrontant directement aux conséquences difficiles de sa victoire pour le camp adverse, conséquences qu’il a pourtant cherché à éviter. De même, le retour et une révélation de taille concernant un personnage jusqu’ici secondaire va amener des questionnements potentiellement très intéressants. Car le second personnage au cœur de ce volume est clairement Étoile, le jeune écuyer que l’on a eu l’occasion de suivre plusieurs fois. Il va se trouver ici au centre des événements et nous en apprendront bien plus sur lui. Sa confrontation avec Arslan sera par ailleurs l’occasion de mettre à plat des différences de point de vue, en particulier concernant la religion, un des éléments centraux du récit depuis le début. Si tout cela est très intéressant au demeurant, je pense que ce point va surtout être développé par la suite, d’autant plus qu’Étoile est amené à devenir un personnage central de la suite du récit. Mais malgré tous ces éléments très intéressants, comme je l’ai dit, je suis ressorti de la lecture avec un léger sentiment de trop peu. Non pas que ce tome ne soit pas réussi ou pas assez dense, mais simplement, comme je l’ai déjà dit, le fait d’attendre 6 mois entre chaque tome donne le sentiment d’une évolution trop faible. Évidemment, personne n’y peut rien, je ne doute pas qu’Arakawa donne déjà le meilleur d’elle-même, et la parution française collant à la japonaise (en gros, on a un tome de retard à chaque fois), il est impossible de faire autrement. C’est dommage, mais comme je l’ai dit, je préfère rester positif et me dire que la série va beaucoup y gagner lors d’une relecture globale. Car il ne faut pas s’y tromper, ce tome fait encore une fois honneur à ce manga de très grande qualité, et même s’il faut prendre son mal en patience, The Heroic Legend of Arslan reste une lecture toujours aussi excellente, et que je recommande encore une fois les yeux fermés !Le rythme de parution très lent de la série (2 tomes par an) joue en sa défaveur. En effet, cette série épique, de par la nature de son récit, a besoin de poser ses personnages et les forces en présence pour déployer la complexité de son récit, et Hiromu Arakawa fait ça avec grand talent. Le problème est qu’avec un tome tous les six mois, il est compliqué d’être rassasié à chaque nouvelle sortie, tant le récit avance à petits pas, chose normale compte tenu de sa nature. De ce fait, nous allons voir que ce tome 11, bien que très réussi comme tout le reste de la série, n’est pas sans susciter quelque frustration du fait d’un sentiment de trop peu. Mais je pense que ce défaut, imputable au rythme de parution, sera gommé une fois que l’on verra la série dans son ensemble. Car des relectures s’imposent déjà afin de saisir la richesse des enjeux et de l’évolution des personnages (en particulier Arslan et Hilmes, bien que ce dernier soit dramatiquement absent de ce tome). Les premières dissensions se font sentir au sein de la troupe du prince Arslan. Ghib, le ménestrel, révèle à Isfan...
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  • Alfaric 23/11/2019
    Dans ce tome 11 après un esclandre, Ghîb est obligé de quitter le camp de Sa Majesté Arslan. C’est un stratagème à plusieurs facettes, puisque l’aventurier roturier indisposait la très aristocratique chaîne de commandement parse et qu’il fallait à Narsus un homme de confiance sous couverture pour espionner le camp lusitanien (ce qu’il l’amènera au Mont Demavand aux premières loges de lutte du Bien et du Mal, mais ceci est une autre histoire qui sera contée dans un autre tome)… L’héritier du trône de Parse lance la campagne de reconquête qui doit le mener à la capitale Ecbatâna, et les bouillants Isfân et Zaravant chapeautés par l’imperturbable Thus qui semble être un esclave affranchi mènent l’avant-garde lors de la bataille du Château de Chasûm, où les talents de stratège de Narsus font une fois de plus des merveilles, et de la bataille du Fort Saint-Manuel, où la fatalité ignore totalement les talents de stratège de Narsus… Au cœur de la bataille Arslan retrouve Étoile / Estelle, et ni l’un ni l’autre ne comprennent pourquoi le pacifique Comte Barcation et ses proches préfèrent se suicider que de se rendre… On pourrait facilement et justement penser que le monde se porterait mieux sans religions (et ce à juste titre tellement la religion est une fabrique à fanatisme et rejet de l’autre), mais cela serait oublier que la mangaka fait ici référence à l’invasion d’Okinawa pendant la WWII : abreuvés de propagande les habitants ont préféré se suicider en masse que de se rendre aux Américains dépeints comme des monstres, mais cela ne serait jamais arrivé si les Américain autoproclamés défenseurs des droits de l’homme n’avaient pas gazés et pas passés au lance-flammes des milliers et des milliers d’innocents qui n’avaient rien demandé à personne. La Team Arslan fait tout pour que cela ne se reproduise pas, mas la peur et l’ignorance ont des raisons que la raison ignore : To Be Continued !Dans ce tome 11 après un esclandre, Ghîb est obligé de quitter le camp de Sa Majesté Arslan. C’est un stratagème à plusieurs facettes, puisque l’aventurier roturier indisposait la très aristocratique chaîne de commandement parse et qu’il fallait à Narsus un homme de confiance sous couverture pour espionner le camp lusitanien (ce qu’il l’amènera au Mont Demavand aux premières loges de lutte du Bien et du Mal, mais ceci est une autre histoire qui sera contée dans un autre tome)… L’héritier du trône de Parse lance la campagne de reconquête qui doit le mener à la capitale Ecbatâna, et les bouillants Isfân et Zaravant chapeautés par l’imperturbable Thus qui semble être un esclave affranchi mènent l’avant-garde lors de la bataille du Château de Chasûm, où les talents de stratège de Narsus font une fois de plus des merveilles, et de la bataille du Fort Saint-Manuel, où la fatalité ignore totalement les talents de stratège de Narsus… Au cœur de la bataille Arslan retrouve Étoile / Estelle, et ni l’un ni l’autre ne comprennent pourquoi le pacifique Comte Barcation et ses proches préfèrent se suicider que de se rendre… On pourrait facilement et justement penser que le monde se porterait...
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  • Tachan 20/11/2019
    La lente parution de la série continue à jouer en sa défaveur. L'histoire a beau être séduisante, j'ai à chaque lecture l'impression qu'elle manque de souffle et parfois de consistance. J'aime suivre les aventures d'Arslan pour reconquérir son pays mais est-ce parce que c'est un shonen, je trouve que ça va très vite, que les auteurs utilisent trop facilement l'humour pour déjouer des situations dramatiques et donc l'ensemble que le ton n'est pas assez mature. Je le regrette d'autant plus qu'ici entre le départ d'Arslan pour marcher sur la capitale, sa campagne et ses retrouvailles mouvementées avec Etoile, il y a matière à faire mieux. Son départ me semble bien rapide, tout comme sa séparation d'avec Ghib, qui est une vaste mascarade, soit dit en passant. La marche vers la capitale ensuite est rapide. Il y a bien quelques escarmouches mais toujours résolues très facilement au final. Ça n'enlève rien aux qualités de mise en scène des auteurs qui livrent des combats très bien dessinés et avec de bons petits rebondissements (prévisibles...) mais c'est un brin frustrant quand même que ça aille aussi vite. Enfin, les retrouvailles avec Étoile donnent lieu à une belle réflexion sur la religion et la foi, mais là aussi c'est asséné de manière tellement brusque que ça en devient gênant. Je ne comprends pas pourquoi une telle précipitation surtout alors que la série a pris bien son temps pour des choses beaucoup moins importantes... Je retiendrai donc surtout de ce tome les belles scènes d'affrontement qui ont régalé mes yeux grâce à l'ensemble des gros bras qui entourent le Prince, ainsi que le discours d'Arslan face à Etoile, qui bien que brutal, correspond totalement à ce que je pense. J'aurais juste aimé qu'on laisse la chance à une telle histoire d'être plus mature, plus sombre, peut-être grâce à une publication en magazine seinen, parce qu'ici elle est bien fade et je ne suis pas sûre de la garder en mémoire quand je l'aurai terminé...La lente parution de la série continue à jouer en sa défaveur. L'histoire a beau être séduisante, j'ai à chaque lecture l'impression qu'elle manque de souffle et parfois de consistance. J'aime suivre les aventures d'Arslan pour reconquérir son pays mais est-ce parce que c'est un shonen, je trouve que ça va très vite, que les auteurs utilisent trop facilement l'humour pour déjouer des situations dramatiques et donc l'ensemble que le ton n'est pas assez mature. Je le regrette d'autant plus qu'ici entre le départ d'Arslan pour marcher sur la capitale, sa campagne et ses retrouvailles mouvementées avec Etoile, il y a matière à faire mieux. Son départ me semble bien rapide, tout comme sa séparation d'avec Ghib, qui est une vaste mascarade, soit dit en passant. La marche vers la capitale ensuite est rapide. Il y a bien quelques escarmouches mais toujours résolues très facilement au final. Ça n'enlève rien aux qualités de mise en scène des auteurs qui livrent des combats très bien dessinés et avec de bons petits rebondissements (prévisibles...) mais c'est un brin frustrant quand même que ça aille aussi vite. Enfin, les retrouvailles avec Étoile donnent lieu à une belle réflexion sur la religion et la foi,...
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