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Une étude en rouge suivi de Le signe des quatre
Bernard Oudin (préface de)
Date de parution : 06/03/2019
Éditeurs :
Archipoche

Une étude en rouge suivi de Le signe des quatre

Bernard Oudin (préface de)
Date de parution : 06/03/2019
L'intégralité des enquêtes du célèbre détective Sherlock Holmes republiées dans de belles éditions modernes et élégantes.
Les deux premières enquêtes du détective Sherlock Holmes :Dans Une étude en rouge (1887), Holmes et Watson, dont c'est la première rencontre, et la première enquête commune, sont appelés dans... Les deux premières enquêtes du détective Sherlock Holmes :Dans Une étude en rouge (1887), Holmes et Watson, dont c'est la première rencontre, et la première enquête commune, sont appelés dans une maison dans le sud de Londres, où un homme a été retrouvé mort, le visage déformé par l'effroi. Aucune... Les deux premières enquêtes du détective Sherlock Holmes :Dans Une étude en rouge (1887), Holmes et Watson, dont c'est la première rencontre, et la première enquête commune, sont appelés dans une maison dans le sud de Londres, où un homme a été retrouvé mort, le visage déformé par l'effroi. Aucune trace de violence, mais un étrange message écrit avec du sang sur l'un des murs. Si la police demeure impuissante, Sherlock Holmes et son implacable logique sauront venir à bout de l'énigme...Dans Le Signe des Quatre (1890), Sherlock Holmes n'aurait jamais imaginé qu'ouvrir sa porte à la belle mais désespérée Mary Morstan lui aurait valu pareilles mésaventures. Suite à la disparition de son père dix ans plus tôt, la jeune femme reçoit chaque année un cadeau hors du commun : une énorme perle brillante. Alors quand elle se voit remettre une intrigante missive l'invitant à retrouver son bienfaiteur inconnu, Mary demande à Holmes et Watson de l'accompagner. Le début pour l'inénarrable duo d'une enquête qui ne cessera de les surprendre...
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EAN : 9782377352852
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 270
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782377352852
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 270
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Ourano 30/11/2023
    J'ai découvert l'auteur récemment, ce qui est paradoxal, connaissant le personnage de Sherlock Holmes par des films, séries ou dessins animés. Je vous recommande vivement de découvrir l'original, je me suis rendu compte que les personnages sont différents dans les diverses adaptations. Le récit est vif, le style enlevé, j'ai l'intention de poursuivre la série avec les tomes suivants
  • merzhyn 19/08/2023
    Deux enquêtes du célèbre détective plutôt intéressante même si un peu déçu par la seconde. Le reste est bien ficelée et bien écrite. La surprise du tueur dans la seconde était bien amené. Quand tu lis son raisonnement,, tout paraît logique et simple
  • The_receptionist 10/08/2023
    Voilà un très bon ouvrage pour découvrir le monstre d'Arthur Conan Doyle, j'ai nommé Sherlock Holmes. Accompagné du Dr Watson, vous découvrirez un personnage de haute volée, tant est si bien que vous prendrez un véritable plaisir à découvrir les nouvelles les unes après les autres. C'est bien écrit, haletant et immersif tant le lecteur est porté par le regard de Watson. Un classique !!
  • BenedicteBiblio 13/05/2023
    Publiées respectivement en 1887 et 1890, Une étude en rouge et Le signe des quatre constituent les deux premières enquêtes mettant en scène Sherlock Holmes, déjà flanqué de celui qui deviendra son plus fidèle allié et ami : le docteur Watson. Lu en 2018, Le chien des Baskerville fut un énorme coup de cœur dans ma vie de lectrice. Il me tardait donc de retrouver la plume de sir Arthur Conan Doyle. Je vous l’avoue tout de go : j’ai de nouveau adoré voyager dans l’Angleterre de la fin du XIXe siècle. J’ai littéralement été transportée dans les bas-fonds londoniens ; j’ai frissonné en rencontrant Jefferson Hope et Lucy, qui s’engagent (malgré eux) à côtoyer les mormons ; enfin, je me suis lancée à la recherche d’un trésor dans une Inde coloniale en pleine rébellion. En parallèle d’enquêtes qui réussissent à nous tenir en haleine, Conan Doyle tisse donc une toile historique fascinante pour le lecteur. Il nous prend littéralement par la main, nous fait voyager et rencontrer de nombreux personnages. Certains sont terrifiants, d’autres attisent la curiosité ou encore suscitent chez nous une bonne dose d’empathie. J’ai été surprise de découvrir que, dès les premiers écrits, le personnage de Sherlock Holmes est déjà finement dessiné. Il joue du violon, se montre facilement insomniaque, tout en se dotant d’une capacité de déduction hors du commun. Volontiers cocaïnomane (ce que déplore bien légitimement Watson qui nous narre les aventures de son alter ego), notre détective est généralement sollicité lorsque Scotland Yard fait chou blanc. Le docteur Watson se montre bien plus humain et proche du lecteur. Il nous est présenté comme un jeune médecin-chirurgien, rapatrié d’Afghanistan où il a contracté la fièvre typhoïde. J’ai en tout cas beaucoup aimé les suivre tous les deux, et assister à leur amitié naissante. D’autres protagonistes emblématiques de la série, comme l’inspecteur Lestrade ou encore Mrs Hudson (logeuse du 221B Baker Street), sont déjà présents. Inutile de vous dire qu’il me tarde de retrouver tous ces personnages incroyables, sans doute avec Les aventures de Sherlock Holmes (un recueil de nouvelles) si je suis l’ordre chronologique de publication. Une étude en rouge Lauriston Gardens, près de Londres. Un cadavre est retrouvé dans une maison abandonnée. Pas de coups ni de blessures apparentes. Seule une inscription sur le mur, rédigée avec du sang, fait froid dans le dos : “Rache” nous dit-elle. Rien ne semble avoir été dérobé, alors pourquoi un tel crime ? Peu à peu, Sherlock Holmes collecte des indices qui auront vraisemblablement totalement échappé aux fins limiers de Scotland Yard. J’ai littéralement dévoré ce roman qui nous entraîne bien évidemment dans le Londres de la fin du XIXe siècle, mais qui nous propose également un véritable retour en arrière pour nous expliquer le mobile du crime. Ce fut pour moi étonnant et fascinant à la fois, tant je ne m’attendais pas à ce voyage dans le temps. J’ai bien évidemment été quelque peu menée en bateau, puisque jusqu’à la seconde partie du récit il est totalement impossible de faire des liens entre la scène de crime et les chapitres se déroulant dans l’Ouest américain. Holmes et Watson se lancent quant à eux dans l’aventure de la colocation, et l’on apprend (avec bonheur) à les découvrir peu à peu. Le signe des quatre 221B Baker Street. Mary Morstan, une potentielle riche héritière, demande conseil à Sherlock Holmes. Depuis le décès de son père, navigateur aux Indes, la jeune femme s’étonne de recevoir des perles mais surtout… on n’a de cesse de lui répéter qu’elle serait victime d’une injustice. Un pli anonyme lui propose un rendez-vous pour lui en expliquer les tenants et les aboutissants. Seulement, est-il vraiment prudent qu’elle s’y rende seule ? Deuxième roman mettant en scène Sherlock Holmes, Le signe des quatre est également un bon cru. Cette aventure nous lance à la poursuite de dangereux malfrats (sur lesquels nous n’aimerions franchement pas tomber). Cet écrit est tout à la fois l’ancrage de la complicité entre Holmes et Watson (nos deux héros aux personnalités toujours aussi antagonistes), mais également une enquête palpitante et pleine d’action, ainsi que l’émergence d’un amour naissant. L’atmosphère poisseuse des bas-fonds de Londres ; l’exotisme d’un danger tout droit venu des Indes ; ou encore la scène d’une course-poursuite sur la Tamise : tout est fait pour captiver le lecteur, et l’on ne s’ennuie pas une seule seconde. En bref, après avoir été séduite par les descriptions des landes et l’intrigue quasi surnaturelle du Chien des Baskerville, je ne m’attendais pas à autant apprécier les deux premières enquêtes mettant en scène Sherlock Holmes. Le coup de foudre fut immédiat. Et il me tarde bien évidemment de poursuivre l’aventure.Publiées respectivement en 1887 et 1890, Une étude en rouge et Le signe des quatre constituent les deux premières enquêtes mettant en scène Sherlock Holmes, déjà flanqué de celui qui deviendra son plus fidèle allié et ami : le docteur Watson. Lu en 2018, Le chien des Baskerville fut un énorme coup de cœur dans ma vie de lectrice. Il me tardait donc de retrouver la plume de sir Arthur Conan Doyle. Je vous l’avoue tout de go : j’ai de nouveau adoré voyager dans l’Angleterre de la fin du XIXe siècle. J’ai littéralement été transportée dans les bas-fonds londoniens ; j’ai frissonné en rencontrant Jefferson Hope et Lucy, qui s’engagent (malgré eux) à côtoyer les mormons ; enfin, je me suis lancée à la recherche d’un trésor dans une Inde coloniale en pleine rébellion. En parallèle d’enquêtes qui réussissent à nous tenir en haleine, Conan Doyle tisse donc une toile historique fascinante pour le lecteur. Il nous prend littéralement par la main, nous fait voyager et rencontrer de nombreux personnages. Certains sont terrifiants, d’autres attisent la curiosité ou encore suscitent chez nous une bonne dose d’empathie. J’ai été surprise de découvrir que, dès les premiers écrits, le personnage de Sherlock Holmes...
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  • JeanPierrePoitou 27/01/2022
    Préambule : je limite dorénavant mes critiques à deux critères : - l’intérêt du texte : de l’histoire, de la rhétorique développée ; - le texte lui-même : style, vocabulaire, phrasé... Et mes étoiles signifieront mon niveau de recommandation. Ici, on est dans du Sherlock, c'est-à-dire un certain mode d'enquête et de déduction, intellectuel et retenu, une certaine suffisance de l'enquêteur... qu'on ne retrouve pas chez Hercule Poirot, par exemple. Et un genre d'aventure aux antipodes de San Antonio (!). Un genre un peu suranné, sans doute, qui frustrera les nouvelles générations, élevées en mode Fantomette ou Club des Cinq. La langue utilisée ? Le style me semble assez banal, mais l'auteur recourt souvent des vocabulaires techniques, liés au milieu social ou professionnel dans lequel se déroule l'enquête et la v.o. est du british bien british, précis et varié, un peu daté peut-être. La lecture en v.o. est ardue à cause de ce vocabulaire, pas de la syntaxe. Les traductions sont bonnes, bien rédigées.
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