En tant que journaliste de Newsweek pendant plus de trente ans, Andrew Nagorski a dirigé les bureaux de Hong-Kong, Moscou, Varsovie et Berlin. Il est à présent directeur du service politique de l’Institut Est-Ouest à New York.
Une bataille moins connue et étudiée que celle de Stalingrad, pourtant essentielle, et qui marque un tournant dans la Seconde Guerre mondiale.
« Etes-vous sûr que nous serons en mesure de tenir Moscou ? C’est une question que je pose le coeur lourd. » En novembre 1941, ces mots de Staline au...
« Etes-vous sûr que nous serons en mesure de tenir Moscou ? C’est une question que je pose le coeur lourd. » En novembre 1941, ces mots de Staline au général Joukov font écho à une déclaration d’Hitler prononcée deux mois plus tôt : « Nous les briserons bientôt, ce...
« Etes-vous sûr que nous serons en mesure de tenir Moscou ? C’est une question que je pose le coeur lourd. » En novembre 1941, ces mots de Staline au général Joukov font écho à une déclaration d’Hitler prononcée deux mois plus tôt : « Nous les briserons bientôt, ce n’est qu’une question de temps. Moscou sera attaqué et tombera, et alors nous aurons gagné la guerre. »
Tant du point de vue symbolique que militaire, l’enjeu de cette bataille, qui se déroula de septembre 1941 à avril 1942, est immense. Plus que Stalingrad ou Koursk, cette victoire des Soviétiques – qui toucha directement 2,5 millions d’hommes (tués, blessés, prisonniers, disparus) – est une des causes profondes de la défaite finale de l’Allemagne nazie : elle mit fin à l’aura d’invincibilité du Führer.
Journaliste à Newsweek pendant plus de trente ans, Andrew Nagorski en a dirigé les bureaux à Hong-Kong, Moscou, Bonn, Varsovie et Berlin. Il est à présent directeur du service politique de l’Institut Est-Ouest à New York.
En tant que journaliste de Newsweek pendant plus de trente ans, Andrew Nagorski a dirigé les bureaux de Hong-Kong, Moscou, Varsovie et Berlin. Il est à présent directeur du service politique de l’Institut Est-Ouest à New York.