L'or du bout du monde

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• chboun 03/01/2024

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  Cette histoire des pionniers à la découverte de l'Australie est un beau roman. Le style et l'intrigue sont vraiment bons et on est emballé par l'histoire de ces familles entremêlées. Malgré son côté historique on apprend assez peu de chose si ce n'est une révolte de miniers et la repression des aborigènes. Néanmoins c'est une belle fresque aux paysages époustouflants et aux personnages sympathiques.
• Sev2706 21/02/2023

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  Avec le troisième tome de cette saga, on passe à la génération suivante : la petite-fille de Nell, Ruby, suit son mari dans l'Outback pour démarrer un nouvel élevage de moutons. Harry, parti adolescent en Cornouailles pour prendre la succession du domaine familial, revient voir son frère Oliver et retrouve le pays de son enfance. Jessie, fraîchement débarquée, prend un poste d'institutrice auprès d'un pasteur très rigide. On suit toutes ces histoires en parallèle, et on continue à se passionner pour tous ces personnages, mais on sent malgré tout un essouflement de l'auteur. Alors que dans le tome 1, les destins se croisaient, ce qui faisait vraiment pour moi l'intérêt et le côté passionnant du roman, ici, ce sont vraiment des parallèles qui ne se rencontrent pas. J'ai eu du mal à m'attacher à Harry, qu'on ne rencontre que de loin en loin. Les destins de Ruby et Jessie sont intéressants, deux femmes fortes, mais de nouveau, le fait de les quitter longtemps pour une autre histoire rend difficile l'attachement. Il y a aussi d'autres histoires, dont on parle brièvement, et puis qu'on abandonne. Bref, on sent la série qui s'essoufle, et ce qui avait fait le charme des débuts a disparu. J'ai eu du mal à arriver au bout, et je suis contente qu'il n'y ait pas de tome 4.Avec le troisième tome de cette saga, on passe à la génération suivante : la petite-fille de Nell, Ruby, suit son mari dans l'Outback pour démarrer un nouvel élevage de moutons. Harry, parti adolescent en Cornouailles pour prendre la succession du domaine familial, revient voir son frère Oliver et retrouve le pays de son enfance. Jessie, fraîchement débarquée, prend un poste d'institutrice auprès d'un pasteur très rigide. On suit toutes ces histoires en parallèle, et on continue à se passionner pour tous ces personnages, mais on sent malgré tout un essouflement de l'auteur. Alors que dans le tome 1, les destins se croisaient, ce qui faisait vraiment pour moi l'intérêt et le côté passionnant du roman, ici, ce sont vraiment des parallèles qui ne se rencontrent pas. J'ai eu du mal à m'attacher à Harry, qu'on ne rencontre que de loin en loin. Les destins de Ruby et Jessie sont intéressants, deux femmes fortes, mais de nouveau, le fait de les quitter longtemps pour une autre histoire rend difficile l'attachement. Il y a aussi d'autres histoires, dont on parle brièvement, et puis qu'on abandonne. Bref, on sent la série qui s'essoufle, et ce qui avait fait le charme des débuts a...

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• patriciabiron 28/11/2022

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  La saga Oceana est une fresque qui décrit la naissance de l’Australie. C’est avec une nouvelle génération de descendants des 3 familles qui nous accompagnent depuis le début de cette aventure anglo-australienne, que débute ce dernier tome en 1850. Il se termine avec La ruée vers l’or, cette rude épopée qui a fait rêver des hommes au point de leur faire perdre la tête. Et en cours de lecture, on découvre enfin le sort et le devenir des enfants illégitimes issus de ces trois familles. Une trilogie fascinante qui s’appuie sur des événements historiques pour nous raconter la colonisation de cette terre du bout du monde, choisie par les anglais pour y implanter un centre pénitentiaire. On ne peut que déplorer le sang versé, la persécution et les injustices dont la population aborigène a été victime, avec la confiscation de ses terres et le piétinement de sa culture et de ses traditions. Le brassage des populations nous permet d’en savoir davantage sur l’histoire de tous ceux qui ont posé le pied sur cette terre, que ce soit les bagnards condamnés à raison, les victimes d’une justice arbitraire, les hommes venus y faire fortune, ou ceux venus dans l’esprit d’apporter leur contribution à l’essor du pays. Beaucoup de personnages ont marqué cette trilogie. Mais je retiens surtout le parcours de ces femmes fortes qui ont pris leur destin en mains et affronté avec courage leurs difficiles conditions de vie. Toutes les descriptions de ce pays en pleine mutation, de son milieu sauvage, à l’édification des villes sont époustouflantes. J’ai mesuré combien l’étendue de son territoire et la rudesse de son climat avaient généré de problèmes dans la vie tous ceux qui ont eu la volonté et le courage de s’intégrer malgré l’éloignement et l’infertilité des terres qui leur ont été attribuées. Une saga captivante riche de découvertes, d’histoire, d’aventures et de destins croisés. La saga Oceana est une fresque qui décrit la naissance de l’Australie. C’est avec une nouvelle génération de descendants des 3 familles qui nous accompagnent depuis le début de cette aventure anglo-australienne, que débute ce dernier tome en 1850. Il se termine avec La ruée vers l’or, cette rude épopée qui a fait rêver des hommes au point de leur faire perdre la tête. Et en cours de lecture, on découvre enfin le sort et le devenir des enfants illégitimes issus de ces trois familles. Une trilogie fascinante qui s’appuie sur des événements historiques pour nous raconter la colonisation de cette terre du bout du monde, choisie par les anglais pour y implanter un centre pénitentiaire. On ne peut que déplorer le sang versé, la persécution et les injustices dont la population aborigène a été victime, avec la confiscation de ses terres et le piétinement de sa culture et de ses traditions. Le brassage des populations nous permet d’en savoir davantage sur l’histoire de tous ceux qui ont posé le pied sur cette terre, que ce soit les bagnards condamnés à raison, les victimes d’une justice arbitraire, les hommes venus y faire fortune, ou ceux venus dans l’esprit d’apporter leur...

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• LesLecturesdEole 14/05/2021

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  C’est d’un trait que j’aurai lu cette superbe trilogie de Tamara McKinley sur les pionniers d’Australie, et je ne le regrette pas. L’or du bout du monde s’ouvre sur les descendants des personnages que l’on connaissait, presque 80 ans après le premier tome. Ruby, petite-fille de Nell et Billy Penhalligan part dans les pas de sa grand-mère découvrir de nouvelles terres avec son époux James, des bagnards et une Aborigène rencontrée en chemin prénommée Kumali. Harry et Oliver Cadwallader, descendants de Jonathan se retrouvent en Australie après des années de séparation mais les rancunes liées à l’héritage son tenaces. Hina est le descendant tahitien du fils caché que Jonathan a eu voilà bien longtemps avant de retrouver Susan, il s’embarque pour la ruée vers l’or afin de ramener assez d’argent pour épouser la fille qu’il aime. Jessie est une jeune maîtresse d’école immigrée d’Angleterre qui porte également une étrange tâche de naissance héritée de sa grand-mère qui prétendait que son père était un comte. On trouve ici le dénouement de toutes les intrigues menées jusque là. Chaque question trouve sa réponse, parfois heureuse, parfois infiniment triste. On apprend malheureusement ce que nos livres d’Histoire nous enseignent déjà sur le futur des Aborigènes et la boucle semble bouclées alors que le dernier chapitre fait écho au premier chapitre du premier volume. J’ai adoré découvrir en Ruby une femme forte et indépendant, à l’instar de son ancêtre, qui ne se laisse pas faire par un homme et ne se laisse pas aveugler plus que nécessaire par ses sentiments. Avec Kumali, elles forment un beau duo, même si j’aurai apprécié que l’Aborigène soit un peu plus creusée, qu’on en sache plus sur elle. Du côté des Cadwallader, Harry et Oliver m’ont attendri car je connaissais leur difficile enfance mais la fin m’a un poil déçue car on en revient aux affres de la généalogie, qui rend parfois des personnages un peu trop caricaturaux. J’ai également aimé découvrir Hina et Jessie, mais là encore j’aurai aimé en savoir plus sur eux. Cependant, c’est intéressant tout de même que l’autrice ne leur fasse pas vivre de grands drames car après tout, chaque personnage n’a pas vocation à être le héros d’un livre, quand bien même il ferait partie de la même famille. C’est un peu triste que je quitte ces personnages avec qui j’ai vécu de belles aventures à travers le bush australien. Ils m’ont donné envie de visiter ce pays (malgré les araignées et tout ce qui peut tuer un être humain !) avec ses grandes étendues…peut-être un jour, qui sait ?C’est d’un trait que j’aurai lu cette superbe trilogie de Tamara McKinley sur les pionniers d’Australie, et je ne le regrette pas. L’or du bout du monde s’ouvre sur les descendants des personnages que l’on connaissait, presque 80 ans après le premier tome. Ruby, petite-fille de Nell et Billy Penhalligan part dans les pas de sa grand-mère découvrir de nouvelles terres avec son époux James, des bagnards et une Aborigène rencontrée en chemin prénommée Kumali. Harry et Oliver Cadwallader, descendants de Jonathan se retrouvent en Australie après des années de séparation mais les rancunes liées à l’héritage son tenaces. Hina est le descendant tahitien du fils caché que Jonathan a eu voilà bien longtemps avant de retrouver Susan, il s’embarque pour la ruée vers l’or afin de ramener assez d’argent pour épouser la fille qu’il aime. Jessie est une jeune maîtresse d’école immigrée d’Angleterre qui porte également une étrange tâche de naissance héritée de sa grand-mère qui prétendait que son père était un comte. On trouve ici le dénouement de toutes les intrigues menées jusque là. Chaque question trouve sa réponse, parfois heureuse, parfois infiniment triste. On apprend malheureusement ce que nos livres d’Histoire nous enseignent déjà sur le futur...

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• PaulineSUZANNE 20/12/2016

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  Après avoir dévoré le 1er tome de la trilogie, aimé plus ou moins le 2ème... on prend la suite et on continue avec le dernier de celle-ci. L'intrigue avance toujours en Australie mais avec cette fois-ci la ruée vers l'or qui est dans la tête de tous ces arrivistes, et occidentaux venus peupler ce nouveau monde... On prend la même recette que les précédents romans (écriture fluide et simple), les descendants des personnages et on recommence (ou plutôt continue) l'histoire en cours! De nouveaux personnages apparaissent, d'autres reviennent (où il m'a fallu me souvenir de qui il s'agissait et quel était leur rôle) avec de nouvelles intrigues plutôt sympas mais tellement simples: histoires d'amour qui se tissent avec difficulté alors qu'on sait que ça va finir comme ça, ou d'autres qui se terminent sans grande surprise... La ruée vers l'or reprend un pan important de l'histoire australienne mais ce n'est pas non plus ce que je vais retenir le plus. L'épilogue, à mon sens, ne sert à rien. Avis plutôt mitigé pour clore cette saga...