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Le Cabinet du Dr Leng, Pendergast #21
Sebastian Danchin (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 19/10/2023
Éditeurs :
L'Archipel

Le Cabinet du Dr Leng, Pendergast #21

,

Sebastian Danchin (traduit par)
Collection : Suspense
Date de parution : 19/10/2023
La suite attendue de La Chambre des curiosités, le grand succès de Preston & Child.
Une machine à remonter le temps…
L’inspecteur Pendergast est désemparé. Sa pupille Constance Greene est parvenue à retourner dans le New York des années 1880 pour sauver sa sœur avant qu’elle...
Une machine à remonter le temps…
L’inspecteur Pendergast est désemparé. Sa pupille Constance Greene est parvenue à retourner dans le New York des années 1880 pour sauver sa sœur avant qu’elle serve de cobaye au sinistre Dr Leng, l’ancêtre de Pendergast devenu son pire ennemi.
Un serial killer surgi du passé…
Mais la...
Une machine à remonter le temps…
L’inspecteur Pendergast est désemparé. Sa pupille Constance Greene est parvenue à retourner dans le New York des années 1880 pour sauver sa sœur avant qu’elle serve de cobaye au sinistre Dr Leng, l’ancêtre de Pendergast devenu son pire ennemi.
Un serial killer surgi du passé…
Mais la machine qui a permis à Constance de remonter le cours du temps est hors d’usage. Comment Pendergast peut-il dès lors l’aider à déjouer les plans du premier tueur en série ayant sévi à Manhattan ?
La protégée de Pendergast en danger de mort !
Avec ce suspense mettant à nouveau en scène leur célèbre inspecteur, Preston & Child renouent avec l’univers fantastique et les personnages qui ont fait le succès de leur best-seller La Chambre des curiosités.

« Tout simplement génial ! » Lisa Gardner

« Pendergast est l’agent du FBI le plus séduisant, le plus intelligent, le plus redoutable… et le plus effrayant jamais imaginé. » Suspense Magazine
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EAN : 9782809847581
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 504
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782809847581
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 504
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • chris973 09/04/2024
    Le dernier ouvrage de nos duettistes nous dévoilaient, enfin, les vrais rapports entre Pendergast et sa « pupille ». (...Sans un mot, Pendergast se leva, l'attira à lui, et déposa un baiser sur sa bouche en guise de bonne nuit. Alors que leurs lèvres se séparaient, elle hésita un instant avant de se lover contre sa poitrine ... »A la fin de La cité hantée Constance utilisant la machine à remonter le temps s'échappe vers le 19ème siècle pour aller sauver son petit frère et sa grande sœur. Dans la lettre d'adieu qu'elle laissait à l'inspecteur, Constance  écrivait : « … puisque je ne puis vous avoir tel que je le voudrais, autant ne pas vous avoir du tout. ...Merci de ne pas chercher à me suivre … Je vous aime » C'est dans ces dispositions que s'ouvre le nouvel Opus. On y retrouve tous les personnages bien connus. Tout d'abord Coldmoon qui réussit à se libérer de l'emprise de Pendergast et rejoint, enfin, sa nouvelle affectation à Denver. Dès son arrivée son nouveau chef ne le laisse pas respirer et lui affecte une mission : retrouver l'assassin d'un vieil homme, sculpteur à ses heures de répliques d'objets sacrés de sa tribu (Lakotas). Pendant ce temps là, à New-York au Muséum d'Histoire Naturelle que l'on connaît bien un conservateur est retrouvé, dans un grand congélateur dans lequel on conserve les corps de grands animaux morts  (suicide, meurtre?): il s'agit d'un conservateur (normal me direz-vous dans un congélateur) L'enquête est confié au lieutenant d'Acosta, lequel n'est pas au mieux de sa forme. Problème de couple : sa femme Laura a été promue capitaine et est maintenant affectée aux milieux artistiques. Le couple bat de l'aile et d'ailleurs Laura finira par quitter le domicile conjugal pour rejoindre celui de ses parents. Par ailleurs le lieutenant est très affecté par l'état de santé de son ami Pendergast. Celui-ci reste sous le coup de la disparition de Constance. Solution ? Pendergast charge Proctor de trouver un scientifique de haut niveau capable de remettre en état la machine à remonter le temps ; il n'a en effet, qu'une idée en tête, rejoindre Constance ! Nous allons donc suivre, simultanément, plusieurs enquêtes ; celles -ci s'enchaînent de façon très rapides et sont très agréables à lire. Par ailleurs on notera que les auteurs ont abandonné le catalogue des marques qu'ils utilisaient abondamment (trop à mon goût) pour ne conserver que quelques références françaises. Bien entendu on retrouve le coté fantastique et l'on voudrait tant y croire. Pendergast retrouvera sur son chemin le docteur Leng. Je me suis même demandé si ce livre n'était pas dans les tuyaux depuis l'écriture du « Cabinet des curiosités » En tout cas c'est l'un des meilleurs livres que j'ai lu de cette série. Le dernier ouvrage de nos duettistes nous dévoilaient, enfin, les vrais rapports entre Pendergast et sa « pupille ». (...Sans un mot, Pendergast se leva, l'attira à lui, et déposa un baiser sur sa bouche en guise de bonne nuit. Alors que leurs lèvres se séparaient, elle hésita un instant avant de se lover contre sa poitrine ... »A la fin de La cité hantée Constance utilisant la machine à remonter le temps s'échappe vers le 19ème siècle pour aller sauver son petit frère et sa grande sœur. Dans la lettre d'adieu qu'elle laissait à l'inspecteur, Constance  écrivait : « … puisque je ne puis vous avoir tel que je le voudrais, autant ne pas vous avoir du tout. ...Merci de ne pas chercher à me suivre … Je vous aime » C'est dans ces dispositions que s'ouvre le nouvel Opus. On y retrouve tous les personnages bien connus. Tout d'abord Coldmoon qui réussit à se libérer de l'emprise de Pendergast et rejoint, enfin, sa nouvelle affectation à Denver. Dès son arrivée son nouveau chef ne le laisse pas respirer et lui affecte une mission : retrouver l'assassin d'un vieil homme, sculpteur à ses heures de répliques d'objets sacrés de sa tribu (Lakotas). Pendant ce temps là, à...
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  • LightandSmell 04/03/2024
    À noter que j’ai lu le dernier tome publié (pour le moment) de la série, soit le 21ème, avant le premier. Je le précise pour ceux qui aimeraient attendre d’avoir lu les précédents pour aller plus loin dans mon avis mais aussi pour signaler que mon ressenti peut être influencé par ma méconnaissance totale des personnages et de l’univers. Cela ne m’a heureusement aucunement gênée dans ma lecture ayant d’emblée accroché aux plumes combinées de Douglas Preston et Lee Child. J’ai trouvé le style percutant, agréable et surtout facile à lire, ce qui m’a permis de tourner les pages même quand je ne savais pas trop à quelle sauce les auteurs allaient manger leurs personnages. Et tant mieux parce que j’ai adoré l’alternance entre le présent, où sont menées deux enquêtes en apparence indépendantes l’une de l’autre, et le passé dans le New York des années 1880 où une femme semble bien déterminée à sauver les siens et à se venger de l’objet de tous ses tourments. Et pour cela, elle n’a pas hésité à voyager dans le temps dans un univers parallèle. Rapidement, j’ai développé un attrait particulier pour les focus dans le passé, adorant le New York poussiéreux dans lequel nous plongent les auteurs, celui des laissés-pour-compte, de ceux qui sont exploités, voire bien pire. Mais je reconnais que les deux périodes sont bien équilibrées et suscitent, chacune à leur manière, leur part de questionnement, de mystère, de tension et de révolte. Pour ma part, j’ai apprécié d’en apprendre plus sur les Lakotas, leur us et coutumes, que ce soit grâce à une enquête au spectre plus large qu’on pourrait le penser ou à un personnage que j’ai pris plaisir à suivre. De la même manière, j’ai aimé toucher du doigt la psychiatrie adepte du bistouri des années 1880, a fortiori quand plane l’ombre machiavéliquement intelligente du Dr Leng. Je dois dire que ce tome m’a donné très envie d’apprendre à mieux découvrir cette figure sombre qui met ses savoirs et ses compétences au service d’une cause qui lui semble noble, mais qui se révèle dans les faits aussi immonde que radicale. On ne peut pas nier qu’il n’a pas tort sur un point, mais on peut regretter que sa lucidité sur l’espèce humaine ne le conduise pas à vouloir chercher une solution plus humaniste, ou du moins, plus pacifiste… Ce personnage fait partie de ces antagonistes qu’on garde longtemps en tête car fait des plus durs matériaux, il mêle âpre détermination, intelligence rare, coeur de stratège et absence d’émotions. Un mélange détonant et particulièrement dangereux comme pourront en attester Constance et l’inspecteur Pendergast. N’ayant pas lu les autres tomes de la série, Pendergast reste un personnage étonnamment mystérieux pour moi, celui-ci n’étant pas du genre expressif. Je n’ai donc pu le juger qu’à travers le regard empreint de respect des personnages le côtoyant, de leur admiration et de la dévotion qu’il suscite chez eux. Assez d’éléments pour me permettre de le considérer avec déférence et curiosité. Quant à Constance, j’ai trouvé intéressant le décalage entre la perception négative que certains personnages ont d’elles et ce qu’elle m’a donné à voir. Bien que parfois impulsive et manquant de mesure, j’ai admiré la détermination avec laquelle elle tente de sauver les siens du pire, de panser les douleurs d’autrefois et de réparer les injustices du passé, même si ce n’est pas de son passé à proprement parler. En effet, chose originale pour une série policière, on nous parle ici de voyage dans le temps et de multivers. Moi qui adore les voyages dans le temps mais qui me pose toujours 10000 questions sur l’effet papillon, j’ai apprécié de laisser mon cerveau en pause. Ainsi, puisqu’on parle de mondes parallèles, une action dans le passé dans un monde parallèle n’a aucune influence sur notre monde. Reste toutefois à arriver à regagner notre monde et ça, comme vous le verrez, ce n’est pas une mince affaire ! J’ai d’ailleurs aimé suivre tous les enjeux dans le présent autour du (re)montage de la machine à voyager dans le temps de Pendergast détruite après que Constance, sa pupille, l’a « empruntée ». Je suis en outre curieuse de remonter le fil de la série pour découvrir la relation complexe et unique semblant lier ces deux intéressants et mystérieux personnages. En conclusion, en plus du style assuré et entraînant du duo Douglas Preston/Lee Child, de personnages marquants et pour certains mystérieux, et d’enquêtes où rien ne semble laissé au hasard, j’ai aimé l’introduction d’éléments de science-fiction qui viennent ajouter une belle aura de tension à un récit qui n’en manquait déjà pas. Les amateurs de thrillers dans lesquels les enjeux dépassent le cadre de notre réalité, tout en s’insérant dans un contexte historique précis et bien ancré, devraient apprécier Le cabinet du Dr Leng. Un tome qui finit d’ailleurs sur une fin incitant grandement à se jeter sur une suite dont j’attends avec impatience la sortie. D’ailleurs, le point positif d’avoir commencé la série par la fin est que j’ai une vingtaine de tomes à dévorer pour patienter. D’habitude, cela tend à me faire râler, ici, je vois cela comme l’opportunité de me lancer dans une série qui a le potentiel de devenir l’une de mes séries chouchous. Je remercie les éditions de l’Archipel de m’avoir envoyé Le cabinet du Dr Leng de Douglas Preston et Lee Child en échange de mon avis.À noter que j’ai lu le dernier tome publié (pour le moment) de la série, soit le 21ème, avant le premier. Je le précise pour ceux qui aimeraient attendre d’avoir lu les précédents pour aller plus loin dans mon avis mais aussi pour signaler que mon ressenti peut être influencé par ma méconnaissance totale des personnages et de l’univers. Cela ne m’a heureusement aucunement gênée dans ma lecture ayant d’emblée accroché aux plumes combinées de Douglas Preston et Lee Child. J’ai trouvé le style percutant, agréable et surtout facile à lire, ce qui m’a permis de tourner les pages même quand je ne savais pas trop à quelle sauce les auteurs allaient manger leurs personnages. Et tant mieux parce que j’ai adoré l’alternance entre le présent, où sont menées deux enquêtes en apparence indépendantes l’une de l’autre, et le passé dans le New York des années 1880 où une femme semble bien déterminée à sauver les siens et à se venger de l’objet de tous ses tourments. Et pour cela, elle n’a pas hésité à voyager dans le temps dans un univers parallèle. Rapidement, j’ai développé un attrait particulier pour les focus dans le passé, adorant le New York poussiéreux dans lequel...
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  • MilleetunepagesLM 02/03/2024
    Le commentaire de Cathy : Quel plaisir de retrouver Pendergast dans ce nouvel opus, ce roman est une suite directe de " La cité hantée " que j’ai eu la chance de lire précédemment. Nous retrouvons l'inspecteur Pendergast complètement désemparé après la disparition de sa pupille Constance Greene. Celle-ci, grâce à une machine à remonter le temps, est parvenue à retourner dans le New York des années 1880 pour sauver sa sœur avant qu'elle ne serve de cobaye au sinistre Dr Leng, l'ancêtre de Pendergast devenu son pire ennemi. La machine ayant explosé après le passage de Constance, Pendergast est bien décidée à la remettre en état, il espère rejoindre sa pupille pour l’aider à déjouer les plans du premier tueur en série ayant sévi à Manhattan. Lorsque j’avais fini le roman " La cité hanté, j’avais ressenti comme un vide au fond de moi, une envie de plus au vu des événements qui avaient eu lieu. En commençant la lecture de ce nouvel opus, je ne pouvais qu’être ravie de reprendre l’histoire au moment où tout est parti en vrille. Constance est un personnage qui, depuis toujours, m’a fait me questionner sur qui elle était, ayant commencé la série des enquêtes de Pendergast en cours de route, je pensais avoir manqué certains éléments à son sujet. Ce roman m’a permis d’en apprendre beaucoup sur elle, sur ce qui a fait qu’elle soit différente, différence que j’avais noté dès mes premières lectures, son histoire fait froid dans le dos et au vu des risques qu’elle prend en retournant dans le New-York de 1880, je n’ai pas fini d’avoir peur pour elle. J’ai été captivée par ce roman et surtout par ce changement de cap qu’ont effectué les auteurs, le côté voyage dans le temps, danger, révélations sur Constance m’a énormément plus. Cette fin prend aux tripes, j’ai hâte de connaître la suite, je viens de passer un excellent moment de lecture.Le commentaire de Cathy : Quel plaisir de retrouver Pendergast dans ce nouvel opus, ce roman est une suite directe de " La cité hantée " que j’ai eu la chance de lire précédemment. Nous retrouvons l'inspecteur Pendergast complètement désemparé après la disparition de sa pupille Constance Greene. Celle-ci, grâce à une machine à remonter le temps, est parvenue à retourner dans le New York des années 1880 pour sauver sa sœur avant qu'elle ne serve de cobaye au sinistre Dr Leng, l'ancêtre de Pendergast devenu son pire ennemi. La machine ayant explosé après le passage de Constance, Pendergast est bien décidée à la remettre en état, il espère rejoindre sa pupille pour l’aider à déjouer les plans du premier tueur en série ayant sévi à Manhattan. Lorsque j’avais fini le roman " La cité hanté, j’avais ressenti comme un vide au fond de moi, une envie de plus au vu des événements qui avaient eu lieu. En commençant la lecture de ce nouvel opus, je ne pouvais qu’être ravie de reprendre l’histoire au moment où tout est parti en vrille. Constance est un personnage qui, depuis toujours, m’a fait me questionner sur qui elle était, ayant commencé la série des enquêtes de Pendergast en...
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  • Wyoming 12/02/2024
    Sous plusieurs aspects, cet ouvrage est un succès car les auteurs ont installé deux, voire trois intrigues, dans des univers différents, la principale portée par la célèbre pupille de Pendergast, Constance, qui est parvenue à retourner dans le passé, fin décembre 1880, dans un New-York bien différent que celui que l'on fréquente habituellement au XXIe siècle, notamment dans les autres romans du célèbre duo. Ici, Constance a voyagé vers le passé pour tenter de changer les destinées tragiques de sa soeur aînée, Mary, de son jeune frère, Joe, tout en rencontrant son propre double, âgée de seulement 9 ans. Les trois enfants sont donc les victimes potentielles du Dr Leng, à la recherche à cette époque d'un élixir de jouvence pouvant lui permettre de prolonger très significativement son existence. Bien sûr, la lecture de certains tomes précédents afférents au même sujet est un atout significatif pour mieux comprendre l'histoire, mais non déterminant pour apprécier les arcanes et les richesses de l'intrigue. Le livre est réussi car l'aspect fantastique n'est pas omniprésent et la plongée dans la société newyorkaise de la fin du dix-neuvième siècle est très réaliste, mêlant à la fois la vie des rues, celles des institutiions financières et les us et coutume des couches sociales les plus aisées au sein desquelles Constance parvient à s'infiltrer. Bien évidemment, ce voyage dans le passé ne peut atteindre le niveau de celui concocté par le Roi Stephen avec la volonté de son héros de changer le cours des événements d'un certain 22.11.63... Mais, l'intrigue est bien ficelée et le lecteur se laisse emporter au fil des cahots des fiacres et calèches qui sillonnent à l'époque aussi vien la 5ème avenue que des ruelles peu recommandables. Parallèlement, Preston et Child évoquent une enquête relative à deux meurtres, l'un du côté de Denver, l'autre au sein du célèbre Museum d'Histoire Naturelle de New-York, héros déjà bien connu d'autres opus des deux auteurs, dont le tout premier, le magistral Relic. Ces deux enquêtes aboutissent à une dénouement sans doute trop facile et pourraient probablement rebondir dans un prochain tome. Les dialogues, aussi bien dans le passé que dans le présent, sont très efficaces, avec un humour aiguisé que le lecteur exigent peut apprécier au fil des pages. L'action, toutefois, n'est pas suffisamment au rendez-vous à mon goût, seules les dernières pages introduisant un véritable suspense qui peut réjouir le lecteur. Celui-ci comprend d'ailleurs, à mesure qu'il approche de la fin que le dénouement sera pour un autre tome puisque le présent se termine par la mention : A SUIVRE... Malgré des invraisemblances, pas forcément du côté fantastique, car en la matière tout doit être possible, l'intérêt est captivé et j'ai trouvé cet opus bien équilibré et nettement meilleur que les dernières publications des deux auteurs toujours très bien documentés et faisant savamment partager au lecteur des informations qui, sans être de premier plan, apportent un plus incontestable à l'ensemble. Donc, très envie de revenir vers le cabinet du Dr Leng et de pénétrer ses mystères.Sous plusieurs aspects, cet ouvrage est un succès car les auteurs ont installé deux, voire trois intrigues, dans des univers différents, la principale portée par la célèbre pupille de Pendergast, Constance, qui est parvenue à retourner dans le passé, fin décembre 1880, dans un New-York bien différent que celui que l'on fréquente habituellement au XXIe siècle, notamment dans les autres romans du célèbre duo. Ici, Constance a voyagé vers le passé pour tenter de changer les destinées tragiques de sa soeur aînée, Mary, de son jeune frère, Joe, tout en rencontrant son propre double, âgée de seulement 9 ans. Les trois enfants sont donc les victimes potentielles du Dr Leng, à la recherche à cette époque d'un élixir de jouvence pouvant lui permettre de prolonger très significativement son existence. Bien sûr, la lecture de certains tomes précédents afférents au même sujet est un atout significatif pour mieux comprendre l'histoire, mais non déterminant pour apprécier les arcanes et les richesses de l'intrigue. Le livre est réussi car l'aspect fantastique n'est pas omniprésent et la plongée dans la société newyorkaise de la fin du dix-neuvième siècle est très réaliste, mêlant à la fois la vie des rues, celles des institutiions financières et les us et...
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  • Louloubook83 26/12/2023
    Une suite très attendue et une découverte pour ma part, il s’agit de ma toute première lecture de Preston Child et je dois dire que j’ai particulièrement apprécié. Une double enquête, deux temporalités, les premiers ingrédients sont là pour me plaire, j’aime beaucoup ce type de romans. L’histoire est prenante et le profil des protagonistes interessant pour autant c’était vraiment dommage de ne pas avoir lu le précédent. Parfois les suites peuvent se lire de manière indépendante, c’est possible ici mais on rate bon nombre de références au précédent roman ce qui gâche quand même un peu, pas trop l’intrigue par elle-même, mais plus la compréhension des personnages et surtout la complexité de la personnalité de Pendergast. En ce qui concerne l’enquête et plus particulièrement l’aspect voyage dans le temps, j’ai regretté l’aspect assez linéaire, le manque de rebondissements, j’aurais aimé plus de période dans le passé, plus d’action. Est ce que je lirai la suite? Certainement mais il faudra au préalable que je fasse moi aussi un petit voyage dans le temps pour remonter au cabinet des curiosités et tout reprendre depuis le début et mieux apprécier ces enquêtes.
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