PRESSE
« Une écriture de plus en plus sûre. Romancière, Mazarine ? sans aucun doute. »
Edmonde Charles-Roux, de l'académie Goncourt
« Bouleversant et un brin troublant. Le livre de Mazarine Pingeot pourra déranger, mais il ne laissera personne indifférent. Pourquoi son livre nous a tourneboulés ? Tout simplement parce qu'il donne la parole à une femme qui a commis l'irréparable : un infanticide. Du fond de sa cellule, elle s'interroge et nous interroge, tout en s'adressant à son mari. Comment en est-elle arrivée là, à cacher sa grossesse et à tuer son enfant ? »
Brigitte Kernel
« Une très grande histoire damour. »
Robert Badinter
« Le dernier chapitre dun grand roman français, celui quorchestra dune main de fer et dun gant de plume, son père. »
Jean-François Kervéan
« Un texte sur la transmission qui impose le respect. Comment grandit-on quand aux yeux du monde on est censé ne pas exister ? »
Anne Diatkine
« Un livre sur son père, tendresse mesurée, fidélité souriante. Une chronique freudienne sur le fond et chardonnienne dans la forme. »
Patrick Besson
« Voici aussi le plus beau chant damour quil nous ait été donné de lire depuis très longtemps. Amour filial, bien sûr, mais en fait les choses sont plus compliquées, car il se double dun amour maternel en éclosion. Paradoxalement, cest dans son premier ouvrage de non-fiction que Mazarine saffirme définitivement comme un écrivain. Un grand écrivain. »
Fouad Laroui
« Lintérêt de ce récit nest pas documentaire : il tient à la sobriété de son expression, en paragraphes ramassés, tendus, sincères
Il se présente sous la forme dun carnet intime à la Annie Ernaux : même sécheresse pour communiquer lémotion. » Frédéric Beigbeder
« La langue de Mazarine Pingeot a mûri. Elle écrit sec, senti, rythmé. »
Marc Lambron
« Avec ce livre en forme de déclaration damour, Mazarine Pingeot cesse de nêtre que "la fille de". Elle devient un écrivain, un vrai. »
Philippe Besson
« Une vraie promesse. »
Marc Lambron, Le Figaro
« Alors ce qu'on peut souhaiter à Mazarine Pingeot, c'est d'accomplir avec la même force et la même liberté que Marguerite Yourcenar "le rêve du père" : devenir un écrivain inoubliable. »
Josyane Savigneau, Le Monde