Omerta

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• reg32 29/03/2024

  Signaler
  La vérité... douloureuse, inacceptable, et effroyable! Voilà ce que va découvrir le personnage principal de ce roman noir qu'on n'a pas envie de lâcher une fois commencé. La plume toujours bien affutée d'un de mes auteurs favoris nous entraîne dans les bas-fonds de la pègre new-yorkaise et le final est à la hauteur de cette balade qui n'a rien de bucolique! Bravo RJ!
• Nanoulecture 29/12/2023

  Signaler
  Imaginez un matin, vous vous levez pour démarrer une nouvelle journée ordinaire dans votre petite vie ordinaire, lorsque vous recevez un coup de fil qui va tout faire basculer en quelques secondes. Comment réagiriez-vous ? C'est là la situation de John Harper, journaliste désabusé victime du syndrome de la page blanche. Lorsque sa vieille tante l'appelle pour le sommer de revenir à New-York, malgré ses hésitations, il sent qu'il n'a pas le choix. Là-bas l'attend un véritable film de gangsters : deux camps s'affrontent dans une terrible guerre de territoires, son père qu'il pensait mort ressurgit, un terrible coup se prépare la veille de Noël et John se retrouve mêlé à tout ça sans le vouloir. C'était un roman sympathique, un bon divertissement, mais sans plus. J'ai assez bien aimé la tension qui augmente au fil des pages, car on sait qu'il va se passer quelque chose de décisif et on a hâte de voir comment ça va se dérouler. L'auteur maintient un certain rythme dans son écriture, les débuts de chapitres sont écrits avec des phrases percutantes, descriptives, des phrases nominales qui assènent les faits. C'est bien, il y a de la tension, les personnages sont tangibles, on a pas envie de les croiser dans la rue. Cependant, les réactions de John Harper sont restées un bon moment très fades. Jusqu'à presque la moitié du roman, le personnage faisait l'autruche, refusait de voir ce qu'il se passait autour de lui. Il y avait sans cesse un jeu du chat et de la souris "dis-moi tout", puis "non ne me dis rien je ne veux rien savoir". Il faut se décider à un moment donné ! C'est un roman très visuel, peu original car l'on retrouve les codes des histoires de gangs, de mafia et de guerres de territoire, mais il suffit à faire passer un agréable moment, autant que faire se peut avec ce genre de sujet. Malgré quelques petits détails, l'on ne s'ennuie pas et la tension et maintenue jusqu'au bout. Imaginez un matin, vous vous levez pour démarrer une nouvelle journée ordinaire dans votre petite vie ordinaire, lorsque vous recevez un coup de fil qui va tout faire basculer en quelques secondes. Comment réagiriez-vous ? C'est là la situation de John Harper, journaliste désabusé victime du syndrome de la page blanche. Lorsque sa vieille tante l'appelle pour le sommer de revenir à New-York, malgré ses hésitations, il sent qu'il n'a pas le choix. Là-bas l'attend un véritable film de gangsters : deux camps s'affrontent dans une terrible guerre de territoires, son père qu'il pensait mort ressurgit, un terrible coup se prépare la veille de Noël et John se retrouve mêlé à tout ça sans le vouloir. C'était un roman sympathique, un bon divertissement, mais sans plus. J'ai assez bien aimé la tension qui augmente au fil des pages, car on sait qu'il va se passer quelque chose de décisif et on a hâte de voir comment ça va se dérouler. L'auteur maintient un certain rythme dans son écriture, les débuts de chapitres sont écrits avec des phrases percutantes, descriptives, des phrases nominales qui assènent les faits. C'est bien, il y a de la tension, les personnages sont tangibles, on a pas...

  Lire la suite

  En lire moins
• LudivineBon 20/10/2023

  Signaler
  Lire un R.J. Ellory c’est comme regarder un Tarantino, on ne peut pas être déçu. Et tout comme un Tarantino, l’histoire se termine en apothéose sur les dernières pages. Omerta ne fait pas exception. Ce roman dense relate les (més)aventures de John Harper entre le jour où sa tante qu’il n’a pas vu depuis longtemps le contacte depuis New-York jusqu’à la veille de Noël. Entre ces deux dates ? Pas beaucoup plus d’une semaine ! Mais un sacré paquet d’emmerdes que cet écrivain/journaliste un peu raté n’avait vraiment pas prévues ! Pourquoi ? Parce que son père, Edward Bernstein, qu’il croyait mort, est un patron de la pègre New-yorkaise et qu’il est sur un lit d’hôpital entre la vie et la mort. Pas facile à assumer, surtout qu’en on découvre petit à petit les magouilles de son paternel et que les seules personnes auxquelles on peut faire confiance sont les propres hommes à tout faire dudit parrain. Bref, pas facile. Harper revient à New-York est va très vite être embarqué dans une affaires de territoires qui le dépasse ! Qui dépasse tout le monde ! D’un côté Walt Freiberg homme de confiance de Bernstein et la mystérieuse Cathy Hollander, de l’autre Ben Marcus, l’autre parrain. Au milieu, Harper bien sûr, mais aussi l’inspecteur Duchaunak qui essaie de faire entendre raison à son patron pour agir avant qu’il ne soit trop tard. Et Harper dans tout ça ? Soit il est vraiment crétin, soit il fait bien semblant car il ne semble vraiment pas comprendre ce qui ne tourne pas rond ! Mais finalement c’est surtout ça qui nous pousse à lire et à tourner les pages pour savoir jusqu’où l’auteur va nous emmener ! C’est réussi, on dévore, on découvre et on apprécie cette lecture au cœur d’un système mafieux où on assassine pour dissimuler, pour protéger, ou tout simplement parce que c’est naturel. Une très bonne lecture dans un style toujours agréable. Une fin qui frôle le parfait ! On s’explique et on met les points sur les i ! Captivant. Lire un R.J. Ellory c’est comme regarder un Tarantino, on ne peut pas être déçu. Et tout comme un Tarantino, l’histoire se termine en apothéose sur les dernières pages. Omerta ne fait pas exception. Ce roman dense relate les (més)aventures de John Harper entre le jour où sa tante qu’il n’a pas vu depuis longtemps le contacte depuis New-York jusqu’à la veille de Noël. Entre ces deux dates ? Pas beaucoup plus d’une semaine ! Mais un sacré paquet d’emmerdes que cet écrivain/journaliste un peu raté n’avait vraiment pas prévues ! Pourquoi ? Parce que son père, Edward Bernstein, qu’il croyait mort, est un patron de la pègre New-yorkaise et qu’il est sur un lit d’hôpital entre la vie et la mort. Pas facile à assumer, surtout qu’en on découvre petit à petit les magouilles de son paternel et que les seules personnes auxquelles on peut faire confiance sont les propres hommes à tout faire dudit parrain. Bref, pas facile. Harper revient à New-York est va très vite être embarqué dans une affaires de territoires qui le dépasse ! Qui dépasse tout le monde ! D’un côté Walt Freiberg homme de confiance de Bernstein et la mystérieuse Cathy Hollander, de...

  Lire la suite

  En lire moins
• Kaetxa 02/10/2023

  Signaler
  John Harper, journaliste au Miami Herald, est un trentenaire tranquille. Ses articles couvrent l'événement annuel : la pêche au gros des nantis locaux. Il s'est tout de même essayé à l'écriture d'un livre il y a quelques années mais, depuis, l'inspiration lui manque. Jusqu'au jour où sa routine est bousculée par un appel de New York. Sa tante maternelle lui demande de venir de toute urgence, alors qu'ils ne sont sont ni vus ni parlés de longue date. Il hésite mais devant son insistance, se rend dans la Grosse Pomme. Et y découvre que le père qu'il n'a pas connu et soit disant mort, est à l'hôpital entre la vie et la mort. Et les jours passant, au fil desquels il apprend des vérités par les uns, aussitôt contestées par les autres. Son père serait le big chef de la pègre locale. Difficile à encaisser ! Un long, très long, trop long récit sur les clans new yorkais, qui se battent pour leurs territoires respectifs. Qui parlent pendant des pages et des pages. Avec même parfois des états d'âme ! C'est du pur Ellory mais trop lent pour moi.
• OliverMoreauxAuteur 07/09/2023

  Signaler
  Encore un très bon moment avec RJ Ellory. Des personnages bien campés dans un NY de l’an 2000, un héros pigeon magnifique et un flic torturé. Bref, tous les ingrédients pour un long polar mafieux au dénouement inattendu. Les apparences sont parfois trompeuses et c’est tant mieux.