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Puisque c'est ça la vie
Collection : Romans
Date de parution : 05/11/2009
Éditeurs :
le cherche midi

Puisque c'est ça la vie

Collection : Romans
Date de parution : 05/11/2009

L'horreur familiale

Le drame est dans le quotidien et la banalité.

Une mère hostile, un père soumis, un grand-père exhibitionniste et avide de respectabilité, la loi du silence des femmes, une démarche...

Le drame est dans le quotidien et la banalité.

Une mère hostile, un père soumis, un grand-père exhibitionniste et avide de respectabilité, la loi du silence des femmes, une démarche initiatique pour entrer dans la vie.

Puisque c’est ça la vie est le récit à vif des vingt premières années...

Le drame est dans le quotidien et la banalité.

Une mère hostile, un père soumis, un grand-père exhibitionniste et avide de respectabilité, la loi du silence des femmes, une démarche initiatique pour entrer dans la vie.

Puisque c’est ça la vie est le récit à vif des vingt premières années de la narratrice au cours des années 1960 dans un milieu petit-bourgeois d’une préfecture de province du Nord de la France, un témoignage annonciateur des libérations de la fin du siècle dernier. Ceux qui les ont vécues y retrouveront le non-dit et le poids des tabous de l’époque, les plus jeunes y découvriront les fêlures de la fin des Trente Glorieuses.

Un texte au burin, impitoyable. Une leçon pour rester debout.

Retrouvez Michèle Lajoux sur son site internet : www.michelelajoux.com

 

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EAN : 9782749116013
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 300
Format : 140 x 220 mm
EAN : 9782749116013
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 300
Format : 140 x 220 mm

Ils en parlent

Une belle écriture, juste et sensible, pour une histoire touchante.  Lyliane Mosca, L'Est Eclair.

Dans son ouvrage, l'auteur nous livre le récit des vingt premières années de sa vie au coeur d'un milieu petit-bourgeois, entourée d'une mère hostile et violente, d'un père veule et d'un grand-père maternel exhibitionniste et avide de respectabilité. Un tableau qui peut effrayer. l'écriture reflète d'ailleurs très bien ce malaise. Le style, brut, porte le poids des interdits... et de la famille. Une sorte de rite initiatique - incontournable - pour entrer dans la vie qui n'épargne personne, surtout pas le lecteur.  Nathalie Waroux, La Voix du Nord.

Un témoignage annonciateur des libérations de la fin du siècle dernier. Ceux qui les ont vécues y retrouveront le non-dit, le poids des tabous de l'"poque, les jeunes y découvriront les fêlures de la fin des Trente Glorieuses. Un texte au burin, impitoyable. Une leçon pour rester debout.  F ! mag.

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Lefso 30/03/2011
    J'aime beaucoup la couverture du livre. Le contraste du rose de la police d'écriture avec le gris de la photo et la petite fille (qui pourrait être moi à son âge) dans le coin formé par deux murs de briques. J'ai beaucoup été marquée par ce livre, de par mon enfance (pendant 9 mois, je me suis appelée Jérôme) mais aussi de par le fait que je suis maman maintenant. Cependant, certaines choses dans ce livre, même si elles sont vraies sonnent faux dans la tête d'une petite fille de 3 ans. En effet, l'auteur a bâti son livre comme une narration, faisant d'Angeline la narratrice. Mais qu'a donc à raconter un bébé de quelques mois ... Passé outre ce léger problème (et il faut penses que le bébé finit toujours par grandir), on retrouve l'ambiance ouvrière de la fin des années 60 où les sujets étaient traités différemment qu'aujourd'hui : les abus sexuels sur enfant, la contraception, la belle-famille, la guerre ou encore l'homosexualité. Ce roman est une suite chronologique d'évènements dont Angeline est le témoin. Le style de l'auteure est froid, distant, comme si elle racontait les faits à propos d'une étrangère, faisant encore plus ressortir la solitude d'Angeline, de plus en plus résolue à son sort. Ce même style monocorde montre comment cette même Angeline accepte la culpabilité, comme si, il n'y avait que ça à faire. Jusqu'à son entrée à l'internat, elle subit sa vie, sa mère, sa famille. Elle voudrait parfois (souvent ?) ne pas être née. D'ailleurs, elle adore jouer à ne pas être née. Le jour où elle aura été oubliée une fois de trop, elle se rebellera (un peu) mais malgré cela et bien qu'elle ait d'autres options, elle essaiera jusqu'au bout du livre de se faire aimer par sa mère, alors que, nous, spectateurs extérieurs, nous voyons que c'est une tache impossible.J'aime beaucoup la couverture du livre. Le contraste du rose de la police d'écriture avec le gris de la photo et la petite fille (qui pourrait être moi à son âge) dans le coin formé par deux murs de briques. J'ai beaucoup été marquée par ce livre, de par mon enfance (pendant 9 mois, je me suis appelée Jérôme) mais aussi de par le fait que je suis maman maintenant. Cependant, certaines choses dans ce livre, même si elles sont vraies sonnent faux dans la tête d'une petite fille de 3 ans. En effet, l'auteur a bâti son livre comme une narration, faisant d'Angeline la narratrice. Mais qu'a donc à raconter un bébé de quelques mois ... Passé outre ce léger problème (et il faut penses que le bébé finit toujours par grandir), on retrouve l'ambiance ouvrière de la fin des années 60 où les sujets étaient traités différemment qu'aujourd'hui : les abus sexuels sur enfant, la contraception, la belle-famille, la guerre ou encore l'homosexualité. Ce roman est une suite chronologique d'évènements dont Angeline est le témoin. Le style de l'auteure est froid, distant, comme si elle racontait les faits à propos d'une étrangère, faisant encore plus ressortir la solitude d'Angeline, de...
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