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J'ai 30 ans dans mon verre - adapté aux enfants DYS ou dyslexiques - Dès 7 ans
Nico
Collection : Dyscool
Date de parution : 13/07/2017
Éditeurs :
Nathan

J'ai 30 ans dans mon verre - adapté aux enfants DYS ou dyslexiques - Dès 7 ans

Nico

,

Collection : Dyscool
Date de parution : 13/07/2017
Les livres qui donnent envie de lire aux enfants dys !
° Résumé du livre
Nico, un super héros avec zéro super pouvoir mais de supers histoires !
Tous les copains ont toujours le plus grand âge dans leur verre, jusqu'au jour où...
° Résumé du livre
Nico, un super héros avec zéro super pouvoir mais de supers histoires !
Tous les copains ont toujours le plus grand âge dans leur verre, jusqu'au jour où Nico joue un tour à sa bande !

° Les livres papier Dyscool proposent des best-sellers de la littérature de jeunesse , accessibles...
° Résumé du livre
Nico, un super héros avec zéro super pouvoir mais de supers histoires !
Tous les copains ont toujours le plus grand âge dans leur verre, jusqu'au jour où Nico joue un tour à sa bande !

° Les livres papier Dyscool proposent des best-sellers de la littérature de jeunesse , accessibles aux enfants dyslexiques et à tous les enfants atteints de troubles de la lecture.

° Une conception permettant de compenser les difficultés de déchiffrage et de compréhension :
- La mise en page est adaptée : longueur des lignes , travail sur la police , place de l'illustration , interlettrage, intermots et interlignages agrandis, texte ferré à gauche, pagination doublée pour respecter les unités de sens par double page.
- Les phrases complexes réecrites en phrases courtes et simples (Sujet + Verbe + Complément ), chronologiques et sans incise. 
- Les mots à graphie complexe ou longs sont remplacés, les mots et expressions complexes sont expliqués, les figures de style sont rendues explicites ou remplacées.
- Les personnages sont explicitement nommés.
- Un choix de papier mat et ivoire, plus reposant pour les yeux.


Les livres Dyscool sont testés par des orthophonistes et par des enfants atteints de troubles de la lecture.
Sticker DYSCOOL amovible.


 
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EAN : 9782092576410
Façonnage normé : INTEGRA
Nombre de pages : 64
Format : 140 x 185 mm
EAN : 9782092576410
Façonnage normé : INTEGRA
Nombre de pages : 64
Format : 140 x 185 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Analire 24/08/2017
    Ce petit ouvrage jeunesse aurait pu passer pour un ouvrage jeunesse comme les autres. Or, il a une particularité qui lui est propre et qui devrait en intéresser un certain nombre. En effet, ce livre est le fruit d’un partenariat avec Dyscool, une filiale des éditions Nathan, qui propose des livres adaptés aux enfants dyslexiques. La police est lisible, le texte aéré et le vocabulaire simplifié. Des codes couleurs sont ajoutés pour permettre aux enfants de mieux se repérer notamment avec les personnages. Certains mots de vocabulaire jugés trop complexes sont définis en bas de page ; et d’autres mots stylistiquement problématiques sont mis en avant (comme « débarrasser », avec ses deux r et ses deux s, qui posent problème même aux adultes). Pour en revenir à l’histoire même : Nico et ses copains mangent tout les jours à la cantine, et au moment de débarrasser les assiettes, ils jouent au jeu des verres. La personne qui a le plus petit chiffre au fond de son verre débarrasse. Manque de chance, c’est Nico qui se retrouve à chaque fois de corvée. Pour tenter de pallier à cela, Nico va ruser et imaginer un plan démoniaque… En lisant cette histoire, on est obligé de retomber un instant en enfance. En effet, qui n’a jamais regardé l’âge qu’il avait au fond de son verre ? Moi, en tout cas, je l’ai fait maintes fois ; et c’est avec une pointe de nostalgie que j’ai donc lu l’histoire de Nico et de ses copains. Pour les plus jeunes, cette petite histoire peut leur perdre de les responsabiliser davantage, notamment en leur apprenant l’entraide, la solidarité envers les camarades, mais également les bonnes manières. Une histoire marrante, qui fera échos aux plus jeunes comme aux plus âgés, mais de manière différente. Le gros point positif, c’est que tout le monde pourra se marrer, puisqu’il est adapté aux enfants dyslexiques.Ce petit ouvrage jeunesse aurait pu passer pour un ouvrage jeunesse comme les autres. Or, il a une particularité qui lui est propre et qui devrait en intéresser un certain nombre. En effet, ce livre est le fruit d’un partenariat avec Dyscool, une filiale des éditions Nathan, qui propose des livres adaptés aux enfants dyslexiques. La police est lisible, le texte aéré et le vocabulaire simplifié. Des codes couleurs sont ajoutés pour permettre aux enfants de mieux se repérer notamment avec les personnages. Certains mots de vocabulaire jugés trop complexes sont définis en bas de page ; et d’autres mots stylistiquement problématiques sont mis en avant (comme « débarrasser », avec ses deux r et ses deux s, qui posent problème même aux adultes). Pour en revenir à l’histoire même : Nico et ses copains mangent tout les jours à la cantine, et au moment de débarrasser les assiettes, ils jouent au jeu des verres. La personne qui a le plus petit chiffre au fond de son verre débarrasse. Manque de chance, c’est Nico qui se retrouve à chaque fois de corvée. Pour tenter de pallier à cela, Nico va ruser et imaginer un plan démoniaque… En lisant cette histoire, on est...
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  • Ziliz 03/12/2015
    « Dura lex, sed lex », disait-on en Latinie. En français ça donne : « La loi est dure, mais c'est la loi. » Un exemple : t'as 12 ans dans ton verre Duralex, j'en ai 30, j'ai gagné, c'est toi qui seras de corvée à la cantine. Si ton verre a la lose, c'est pas de bol (un Duralex aussi, le bol). La loi est dure, mais c'est la loi, CQFD. Je n'ai jamais joué à ça à la cantine, faute de l'avoir fréquentée en primaire, mais chez mes grands-parents le 1e janvier avec mes cousin(e)s, si. Et comme par hasard, c'est les mêmes qui gagnaient à ce jeu et à la Bonne Paye, aux 1 000 Bornes, au Monopoly, avant que billets et cartes valdinguent et que les filles se tirent les cheveux pendant que les garçons sautaient sur les lits parce qu'ils avaient le poil trop court (on n'était pas en mode beatnik, dans la famille, malgré l'époque). Bref, tout ça pour dire qu'on peut tricher au jeu de l'âge dans les verres, et c'est vraisemblablement ce qui arrive à Nico, qui se retrouve toujours désigné pour aider la dame de cantine. Mais avec un peu de ruse, il devrait pouvoir s'en sortir... Roman amusant qui fait forcément écho chez les enfants : vacherie, vengeance, arroseur arrosé, etc. Par contre, j'ai trouvé rude que Nico se fasse piéger comme ça. J'ai lu d'autres romans de cette série il y a quelques années, j'ai oublié si Samuel, Farid, Leo, Pierrick sont vraiment SES copains, et si Nico est leur victime attitrée et durable(x) comme ici...« Dura lex, sed lex », disait-on en Latinie. En français ça donne : « La loi est dure, mais c'est la loi. » Un exemple : t'as 12 ans dans ton verre Duralex, j'en ai 30, j'ai gagné, c'est toi qui seras de corvée à la cantine. Si ton verre a la lose, c'est pas de bol (un Duralex aussi, le bol). La loi est dure, mais c'est la loi, CQFD. Je n'ai jamais joué à ça à la cantine, faute de l'avoir fréquentée en primaire, mais chez mes grands-parents le 1e janvier avec mes cousin(e)s, si. Et comme par hasard, c'est les mêmes qui gagnaient à ce jeu et à la Bonne Paye, aux 1 000 Bornes, au Monopoly, avant que billets et cartes valdinguent et que les filles se tirent les cheveux pendant que les garçons sautaient sur les lits parce qu'ils avaient le poil trop court (on n'était pas en mode beatnik, dans la famille, malgré l'époque). Bref, tout ça pour dire qu'on peut tricher au jeu de l'âge dans les verres, et c'est vraisemblablement ce qui arrive à Nico, qui se retrouve toujours désigné pour aider la dame de cantine. Mais avec un peu de ruse, il...
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  • zagzaguel 30/01/2015
    Qui n'a jamais regarder au fond de son verre à la cantine pour connaître son âge? C'est à partir de ce souvenir qu'Hubert Ben Kemoun a écrit cette petite histoire: Nico et ses copains vont à la cantine, et celui qui est le moins âgé dans son verre se verra de corvée pour débarrasser la table entière. Oui mais voilà, c'est Nico qui tout les jours se retrouve avec un verre ayant le plus petit chiffre... Il doit y avoir un truc. Et comment faire pour changer cela? Ce livre fait partie de la série des Nico, un héros très proche des lecteurs visé, car comme eux, il se trouve dans les même situations. L'auteur aborde avec malice et bienveillance les tracas des enfants à l'école primaire. J'utilise ce petit roman illustré pour démarrer l'année en CE1. A lire en autonomie à partir de 7 ans
  • zazimuth 19/09/2012
    Nico est de « corvée » à la cantine pour aider à débarrasser tous les jours... car il perd au jeu des verres. A chaque table, les enfants comparent les chiffres dans le fond de leur verre et celui qui a le plus petit a perdu. Mais cela fait plus d'une semaine que Nico perd systématiquement... Il y a un truc. Un beau livre où le héros trouve une manière intelligente et civique de résoudre la question.
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