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Le voleur de goûter
Serge Quadruppani (traduit par)
Date de parution : 04/10/2018
Éditeurs :
12-21
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Le voleur de goûter

Serge Quadruppani (traduit par)
Date de parution : 04/10/2018

Un retraité poignardé dans un ascenseur, un Tunisien mitraillé au large de Vigàta, une flamboyante prostituée, un colonel nain, une vieille institutrice en chaise roulante... et un voleur de goûter.

Avec...

Un retraité poignardé dans un ascenseur, un Tunisien mitraillé au large de Vigàta, une flamboyante prostituée, un colonel nain, une vieille institutrice en chaise roulante... et un voleur de goûter.

Avec l'apparition d'un enfant au milieu de ce qui faisait déjà le charme de la série des Montalbano - les personnages...

Un retraité poignardé dans un ascenseur, un Tunisien mitraillé au large de Vigàta, une flamboyante prostituée, un colonel nain, une vieille institutrice en chaise roulante... et un voleur de goûter.

Avec l'apparition d'un enfant au milieu de ce qui faisait déjà le charme de la série des Montalbano - les personnages hauts en couleur, la tendresse du regard sur un coin de Sicile — le commissaire gourmet et ronchon va être confronté pour la première fois aux Services secrets, incarnation d'une Italie occulte et malfaisante.

En tentant de sauver un enfant contre la meurtrière raison d'État, Montalbano sera confronté à des choix qui le remettront en cause au plus intime de lui-même, tout en lui donnant une nouvelle et singulière profondeur.


"Le commissaire Salvo Monialbano est de retour... Le policier sicilien créé par Andrea Camilleri qui est devenu le héros littéraire préféré des Italiens a gardé son humour lucide, son goût de la bonne chère et son intelligence désabusée qui lui permet de dénouer le fil des complexes intrigues siciliennes".

LIBÉRATION

 


"Chez Camilleri, l'écriture tient tout. Elle tisse une comédie souvent tragique, cocktail d'argent sale, de sang et de cocasserie, en bref l'histoire quotidienne de la Sicile".

LE FIGARO LITTÉRAIRE

 

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EAN : 9782823816495
Code sériel : 99999
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
12-21
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Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • bookpass 29/05/2023
    Un commissaire Montalbano en proie à de nombreuses contrariétés. Heureusement qu'il sait trouver du réconfort dans la gastronomie sicilienne, qui lui permet de faire baisser la tension et de prendre du recul ! Tout commence par un retraité apparemment sans histoire assassiné dans l'asenceur de son immeuble. Dans le même temps, un tunisien est tué sur bateau de pêche. Mimi Augello lieutenant dans l'équipe de Montalbano s'empare immédiatement de cette enquête. Ce qui exaspère Salvo Montalbano qui est persuadé que Mimi rêve de succès, de notoriété aux dépends du commissaire. N'est-ce pas plutôt le fait que Mimi et Livia s'entendent bien qui exaspèrent notre commissaire ? Sans aucun scrupule Montalbano va faire en sorte que l'enquête sur le bateau de pêche soit traitée par un autre commissariat, désaississant ainsi Mimi Augello. Ainsi rassuré il va pouvoir s'occuper de l'affaire du retraité. Mais rien n'est simple à Vigata. Les enquêtes s'entremêlent, Montalbano s'énervent et devient de plus en plus cynique. J'ai adoré cette enquête de mon cher commissaire Salvo Montalbano. La plume d'Andréa Camilleri est toujours aussi séduisante, exacerbée et drôle. Les dialogues sont croustillants, les personnages aux aspérités fortes, et l'auteur n'a pas peur de nous dépeindre un commissaire parfois exécrable qui a tout du anti héros. Et que dire, des découvertes gastronomiques de Montalbano. Qui n'hésite à mentir pour déguster tranquillement son repas seul dans une trattoria. Un vrai moment de plaisir pour une lecture dépaysante ! Un commissaire Montalbano en proie à de nombreuses contrariétés. Heureusement qu'il sait trouver du réconfort dans la gastronomie sicilienne, qui lui permet de faire baisser la tension et de prendre du recul ! Tout commence par un retraité apparemment sans histoire assassiné dans l'asenceur de son immeuble. Dans le même temps, un tunisien est tué sur bateau de pêche. Mimi Augello lieutenant dans l'équipe de Montalbano s'empare immédiatement de cette enquête. Ce qui exaspère Salvo Montalbano qui est persuadé que Mimi rêve de succès, de notoriété aux dépends du commissaire. N'est-ce pas plutôt le fait que Mimi et Livia s'entendent bien qui exaspèrent notre commissaire ? Sans aucun scrupule Montalbano va faire en sorte que l'enquête sur le bateau de pêche soit traitée par un autre commissariat, désaississant ainsi Mimi Augello. Ainsi rassuré il va pouvoir s'occuper de l'affaire du retraité. Mais rien n'est simple à Vigata. Les enquêtes s'entremêlent, Montalbano s'énervent et devient de plus en plus cynique. J'ai adoré cette enquête de mon cher commissaire Salvo Montalbano. La plume d'Andréa Camilleri est toujours aussi séduisante, exacerbée et drôle. Les dialogues sont croustillants, les personnages aux aspérités fortes, et l'auteur n'a pas peur de nous dépeindre un commissaire parfois exécrable qui a tout du anti héros. Et...
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  • jcjc352 09/10/2022
    Un début fatiguant avec un ascenseur qui monte et descend avec un macchabée dedans et qui enquiquine les locataires qui essaient de ne pas le voir ! Un Montalbano quelque peu survolté qui répond mal poliment à Livia, lance son encrier sur Catarella, s’attrape avec un mouflet avé un pistolet à eau, brutalise verbalement des témoins et extorque des informations de manière honteuse. Le vent de Sicile ! ça énerve ! Et puis Montalbano souffre du syndrome de Peter Pan Pour comprendre Montalbano il faut retenir trois choses Il est amoureux de Livia la génoise qui n’est pas toujours moelleuse, il est de type sanguin, et pour un rien il éclate avec grossièreté et surtout il a un régime alimentaire sicilien. Comme les deux premiers critères échappent à l’entendement restent ses menus Les menus de l’ogre Montalbano -les antipasti en amuse-gueule à grignoter: noix américaines grillées des pois chiches et des graines de courge. - les primi, les premiers plats (à ne pas confondre avec les antipasti, les hors-d’œuvre) De la farine, de la farine et encore de la farine c’est énergétique on comprend donc son comportement atrabilaire les spaghettis à l’encre de seiche. des pâtes aux brocolis spaghettis aux palourdes spaghettis aux clovisses pâtes à la Norma avec les aubergines frites et ricotta salée. Cannolis Les pâtes au crabe pâtes à l’huile et à l’ail, des olives, du caciocavallo pâtes à la ’ncasciata voir recette ici: https://www.ilquadrifoglio-paris.fr/pasta-ncasciata-de-linspecteur-montalbano/ - Les secondi, les deuxièmes plats, de la viande ou du poisson. Du poisson , du poisson et encore du poisson oui il y a beaucoup de mer en Sicile : du germon (thon) à l’aigre-doux paupiettes de thon. du merlan à la sauce aux anchois. sardines a beccafico un demi-kilo de rougets frits à point.(rougets de roche) sardines en saumure thon en boîte sauté de clovisses en chapelure, turbot au four à l’origan et au citron caramélisé. loup farci en sauce au safran koftas :  poisson, oignon, piment, œuf battu, sel, poivre, chapelure, beurre cumin et coriandre. bœuf braisé roulé de veau (brusciuluni) - Les contorni, garnitures de légumes, se servent indépendamment. Le tout à l’huile d’olive même si Camilleri ne le précise pas car ça c’est le régime crétois AAAh « le délicat équilibre entre l’anchois et l’œuf battu » Ah j’oubliai le gâteau au chocolat amer avec sauce à l’orange et la cassata sicilienne glacée. Ah aussi la coucourde (courge) qui lui sert de cerveau L’intrigue ? ah oui… euh … Je vous laisse découvrir ...Mais c’est un très très bon cru.Sous des aspects goguenards Camilleri nous parle des rapports père/fils, père/fils adoptif, homme /femme, amitiés/collègues de travail/supérieurs, immigration, racisme, philosophie bref de tout: il en parle platement (comme Ernaux) et ne s’étend pas mais en dit suffisamment pour nous contenter. Un très bon cru ! Un début fatiguant avec un ascenseur qui monte et descend avec un macchabée dedans et qui enquiquine les locataires qui essaient de ne pas le voir ! Un Montalbano quelque peu survolté qui répond mal poliment à Livia, lance son encrier sur Catarella, s’attrape avec un mouflet avé un pistolet à eau, brutalise verbalement des témoins et extorque des informations de manière honteuse. Le vent de Sicile ! ça énerve ! Et puis Montalbano souffre du syndrome de Peter Pan Pour comprendre Montalbano il faut retenir trois choses Il est amoureux de Livia la génoise qui n’est pas toujours moelleuse, il est de type sanguin, et pour un rien il éclate avec grossièreté et surtout il a un régime alimentaire sicilien. Comme les deux premiers critères échappent à l’entendement restent ses menus Les menus de l’ogre Montalbano -les antipasti en amuse-gueule à grignoter: noix américaines grillées des pois chiches et des graines de courge. - les primi, les premiers plats (à ne pas confondre avec les antipasti, les hors-d’œuvre) De la farine, de...
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  • seb_ply 16/08/2022
    C‘est toujours un plaisir de croiser des boites à livres pendant l’été et encore plus si l‘on déniche un Camilleri que l’on n‘a pas encore lu dedans. On retrouve ici le commissaire Montalbano dans ses oeuvres, avec l‘atmosphère qui va bien. Cette atmosphère propre au maître du polar italien, avec des dialogues savoureux, une intrigue qui donne du fil à retordre et la sacro-sainte nourriture italienne qui a toujours une place à part dans l‘univers de l‘auteur. Un régal du début à la fin.
  • Baluzo 01/01/2022
    Un livre atypique dans la série des Montalbano....classique pour autant par l'humour, la place importante faite aux plaisirs de la table, par l'intelligence fine du commissaire....mais atypique car on découvre des pans non connus de sa vie....la fin de son père et son possible engagement vers le mariage. de quoi faire une lecture incontournable pour tous les amateurs!
  • Herve-Lionel 19/08/2021
    N°1572 - Août 2021 le voleur de goûter – Andrea Camilleri – Fleuve noir. Traduit de l’italien par Serge Quadruppani et Maruzza Loria. Le titre évoque l’enfance, l’école, les cours de récréation. On n’en est cependant pas si loin. Pourtant il s’agit d’une enquête policière où Salvo Montalbano est confronté au meurtre d’un sexagénaire poignardé dans l’ascenseur de son immeuble. Inévitablement la veuve interrogée parle de lettres anonymes, découvre la double vie de son mari avec la marque de l’inévitable mafia . Dans le même temps, il est question d’un marin tunisien tué à bord d’un bateau de pêche sicilien mitraillé par une vedette de la marine tunisienne. Ajoutez à cela du terrorisme, du rapt, de la prostitution, du chantage, de l’adultère et du trafic de matières illicites, sans parler, et pour la première fois des Services secrets, et vous saurez l’intrigue et les rebondissements d’un bon polar. Il fait d’ailleurs montre à cette occasion d’une ruse hors du commun où le bluff tient un grande place pour parvenir à ses fins. J’ai toujours été intrigué par Livia et son éternel éloignement dans le nord de l’Italie. Un peu malgré lui Montalbano aura une image de ce que peut-être la vie durable de couple avec un enfant, le petit François, ce qui n’a pas été sans le perturber quelque peu. Cet attachement soudain de sa compagne à ce petit garçon qui par la suite deviendra officiellement orphelin, est révélateur et génère sans doute chez lui quelque chose comme une obligation de partage de Livia ou chez elle une fibre maternelle inconnue ou volontairement occultée jusque là de la part du commissaire. J’ai toujours été étonné de la solitude de ce policier, sans doute entretenue par lui et que maintenant il souhaite interrompre définitivement en se mariant et en adoptant. Comme toujours, le style fluide fait de ce roman un agréable moment de lecture.N°1572 - Août 2021 le voleur de goûter – Andrea Camilleri – Fleuve noir. Traduit de l’italien par Serge Quadruppani et Maruzza Loria. Le titre évoque l’enfance, l’école, les cours de récréation. On n’en est cependant pas si loin. Pourtant il s’agit d’une enquête policière où Salvo Montalbano est confronté au meurtre d’un sexagénaire poignardé dans l’ascenseur de son immeuble. Inévitablement la veuve interrogée parle de lettres anonymes, découvre la double vie de son mari avec la marque de l’inévitable mafia . Dans le même temps, il est question d’un marin tunisien tué à bord d’un bateau de pêche sicilien mitraillé par une vedette de la marine tunisienne. Ajoutez à cela du terrorisme, du rapt, de la prostitution, du chantage, de l’adultère et du trafic de matières illicites, sans parler, et pour la première fois des Services secrets, et vous saurez l’intrigue et les rebondissements d’un bon polar. Il fait d’ailleurs montre à cette occasion d’une ruse hors du commun où le bluff tient un grande place pour parvenir à ses fins. J’ai toujours été intrigué par Livia et son éternel éloignement dans le nord de l’Italie. Un peu malgré lui Montalbano aura une image de ce que peut-être la vie durable de...
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