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Que tout soit à la joie
Date de parution : 06/06/2019
Éditeurs :
Editions Héloïse D'Ormesson

Que tout soit à la joie

Date de parution : 06/06/2019
Juliette vient de s’installer à Paris. Entre la prépa et les cours de théâtre, elle essaie de trouver sa voie. Mais un beau matin, un scandale vient sonner la fin... Juliette vient de s’installer à Paris. Entre la prépa et les cours de théâtre, elle essaie de trouver sa voie. Mais un beau matin, un scandale vient sonner la fin de l’insouciance et éclabousser sa famille. Des années plus tard, c’est justement ce scandale qu’elle va tenter de démêler à... Juliette vient de s’installer à Paris. Entre la prépa et les cours de théâtre, elle essaie de trouver sa voie. Mais un beau matin, un scandale vient sonner la fin de l’insouciance et éclabousser sa famille. Des années plus tard, c’est justement ce scandale qu’elle va tenter de démêler à travers
l’écriture. Pour dire sa vérité. Celle de cet oncle aimé et admiré. Une résolution qui est loin de faire l’unanimité. Forte du soutien de quelques proches, Juliette, cette fois, ne renoncera pas.

Que tout soit à la joie retrace l’itinéraire d’une femme aspirant à s’affranchir des conventions. À ses côtés, l’esprit d’un homme qui a chu et s’est abîmé dans les mémoires. Qui était cet ecclésiastique respecté, ami des prostituées ? Peut-on être homme de Dieu et homme de chair ?
Les deux parcours s’éclairent et se répondent.
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EAN : 9782350875231
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782350875231
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • gerardmuller 31/08/2023
    Que tout soit à la joie /Emmanuelle de Boysson Juliette, venue d’Alsace où vit sa famille, vient de s’installer à Paris. Elle a dix-neuf ans. Fille de bonne famille, entre la prépa pour Sciences Po et les cours de théâtre, elle essaie de trouver sa voie. Elle fait connaissance de la famille Dumontel, dont Solange, la mère est une amie de sa mère. La famille Dumontel fait partie de ce qu’on appelle les familles « lancées », bourgeoises et quelque peu snobs. Le mari est mort dans un accident d’avion et les quatre enfants font bloc autour de Solange. . Nous sommes dans les années 70 et mai 68 est encore dans toutes les mémoires. Juliette connait ses premières amours et ses premières déceptions. Dans la famille Dumontel, on parle volontiers de philosophie avec Bergson, de littérature avec Kundera et d’astrologie. On aime aller skier à Courchevel et bronzer à Saint-Tropez, dîner chez Lipp ou Ledoyen. Juliette observe leurs regards, brillant tantôt d’une pointe de suffisance, tantôt d’une insolente indifférence qui révèle leur conscience d’être d’un certain milieu, mettant entre eux et les autres une invisible frontière. Ils ont le sentiment de faire partie de l’élite. Pendant ce temps Juliette a l’air d’une provinciale endimanchée face à leur aplomb d’enfants gâtés. Elle se sent comme illégitime en ignorant les codes et les traits d’esprit qui donnent accès aux clubs des Parisiens de bonne famille. Juliette est amoureuse de Jean-Michel Dumontel, le fils doué, polytechnicien. Et l’oncle Paul, frère de sa grand-mère maternelle, prêtre, est son confident, lui que l’on appelle le cardinal Dantec, qui la fait valser entre la Compagnie de Jésus et le jansénisme de Pascal et qui l’encourage déjà à écrire. C’est alors qu’un scandale va éclabousser sa famille : la mort dans des conditions équivoques de l’oncle Paul ! L’événement sonne la fin de l’insouciance et Juliette se lance dans une quête éperdue du bonheur et de l’amour. Des années plus tard, Juliette mariée et devenue mère de famille, rêve toujours de devenir écrivain et va tenter de démêler ce scandale familial à travers l’écriture, essayer de découvrir la vérité concernant cet oncle Paul qu’elle a tant aimé et admiré. Mais explorer le passé de Paul ne fait pas l’unanimité au sein de la famille. Soutenue par son époux, Juliette persiste et tente de faire face à tous les obstacles. Ce roman retrace dans un style sobre l’itinéraire d’une femme aspirant à s’affranchir des conventions quand il s’agit de retracer la vie d’un homme respecté, admiré mais ami des prostituées comme le fut jésus si proche de Marie-Madeleine. Et Juliette de poser la grande question : peut-on être homme de Dieu et homme de chair ? Que tout soit à la joie retrace l'épanouissement d'une femme privilégiée mais aspirant à élargir les horizons étriqués qui lui sont réservés. Une plongée délicieusement nostalgique dans la France des années 1970, qui explore le sujet tabou de l'amour des prêtres. Personnellement, je distinguerai deux parties dans ce roman : une première un peu longue établissant le cadre de vie de familles bourgeoises et une seconde qui débute quand Juliette se consacre entièrement à l’écriture de l’histoire de son oncle Paul, abordant ainsi le vif du sujet. Il faut savoir que Emmanuelle de Boysson est la petite nièce du cardinal Danielou, (Dantec dans le roman) décédé en 1976 dans des lieux que la morale réprouve selon l’expression de l’époque. Que tout soit à la joie /Emmanuelle de Boysson Juliette, venue d’Alsace où vit sa famille, vient de s’installer à Paris. Elle a dix-neuf ans. Fille de bonne famille, entre la prépa pour Sciences Po et les cours de théâtre, elle essaie de trouver sa voie. Elle fait connaissance de la famille Dumontel, dont Solange, la mère est une amie de sa mère. La famille Dumontel fait partie de ce qu’on appelle les familles « lancées », bourgeoises et quelque peu snobs. Le mari est mort dans un accident d’avion et les quatre enfants font bloc autour de Solange. . Nous sommes dans les années 70 et mai 68 est encore dans toutes les mémoires. Juliette connait ses premières amours et ses premières déceptions. Dans la famille Dumontel, on parle volontiers de philosophie avec Bergson, de littérature avec Kundera et d’astrologie. On aime aller skier à Courchevel et bronzer à Saint-Tropez, dîner chez Lipp ou Ledoyen. Juliette observe leurs regards, brillant tantôt d’une pointe de suffisance, tantôt d’une insolente indifférence qui révèle leur conscience d’être d’un certain milieu, mettant entre eux et les autres une invisible frontière. Ils ont le sentiment de faire partie...
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  • Verdure35 04/09/2019
    Très jolie présentation des Edts Heloïse d'Ormesson pour ce texte très personnel de l'auteur, déguisé en roman. En effet, E de Boysson est la petite nièce du Cardinal Danielou (Dantec dans le roman) , jésuite dévoué à sa lourde charge, mais malheureusement décédé en 1976 dans un lieu que la morale réprouve comme on le disait plus ou moins pudiquement à l'époque.Ce qui a donné lieu à des accusations indignées voire moqueuses, en tous cas infamantes pour la famille.(Dieu merci les réseaux sociaux n'existaient pas) Et justement dans ce roman , Juliette , fille de famille de la haute bourgeoisie, arrive à Paris pour y étudier , sans trop savoir quelles matières lui conviendront. Elle touche à tout, tombe amoureuse d'un beau gosse de son milieu, mais elle est une parmi d'autres, elle fantasme donc. Puis elle se marie, a des enfants(un enfant mort-né va la toucher à jamais) . La quarantaine arrive , elle voudrait écrire, le passé de son grand-oncle l'intéresse , elle a des relations, elle va essayer malgré le non formel de sa famille de démontrer que cet ecclésiastique voulait avant tout aider son prochain, même si parfois il s'agissait de dames de petite vertu. L'effort est louable, l'époque bien reconnaissable, grande simplicité d'écriture tout de même.Très jolie présentation des Edts Heloïse d'Ormesson pour ce texte très personnel de l'auteur, déguisé en roman. En effet, E de Boysson est la petite nièce du Cardinal Danielou (Dantec dans le roman) , jésuite dévoué à sa lourde charge, mais malheureusement décédé en 1976 dans un lieu que la morale réprouve comme on le disait plus ou moins pudiquement à l'époque.Ce qui a donné lieu à des accusations indignées voire moqueuses, en tous cas infamantes pour la famille.(Dieu merci les réseaux sociaux n'existaient pas) Et justement dans ce roman , Juliette , fille de famille de la haute bourgeoisie, arrive à Paris pour y étudier , sans trop savoir quelles matières lui conviendront. Elle touche à tout, tombe amoureuse d'un beau gosse de son milieu, mais elle est une parmi d'autres, elle fantasme donc. Puis elle se marie, a des enfants(un enfant mort-né va la toucher à jamais) . La quarantaine arrive , elle voudrait écrire, le passé de son grand-oncle l'intéresse , elle a des relations, elle va essayer malgré le non formel de sa famille de démontrer que cet ecclésiastique voulait avant tout aider son prochain, même si parfois il s'agissait de dames de petite...
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  • antigoneCH 07/07/2019
    Les romans de juin sont sortis cette année en toute discrétion sur les réseaux, tant le battage sur la rentrée littéraire a été fort et précoce… Que tout soit à la joie est de ces romans qui sont sortis en juin, et quel dommage de passer à côté ! Avec sa couverture bien intrigante, à la fois précieuse et surannée, très jolie, je me demandais pour autant de quoi il pouvait bien parler. Nous sommes dans les années 70, Juliette est étudiante sur Paris. Solange Dumontel, une vieille amie de classe de sa mère, a invité la jeune-fille à un goûter-dîner avec ses enfants. Mis à part une cousine, ses grands-parents et son oncle Paul, elle ne connaît personne sur la capitale. Elle accepte donc avec curiosité cette rencontre. Le fils aîné, Jean-Michel, est à Polytechnique. Grand charmeur, il séduit immédiatement Juliette, comme toute la cour des demoiselles qui gravite autour de lui. Elle décide alors, dans l’innocence de sa jeunesse, et son envie de vivre quelque chose d’enthousiasmant, qu’elle est amoureuse. Mais d’autres événements vont bouleverser sa vie, le décès brutal de son grand-père, puis de son oncle tant aimé. Cet ecclésiastique respecté a été retrouvé mort chez une prostituée. Le scandale est énorme et éclabousse toute la famille, persuadée elle que le religieux n’a été surpris que dans une de ses nombreuses œuvres de charité. Le temps passe. Juliette se marie et a des enfants, navigue entre envies d’écriture, de théâtre, et son travail temporaire de formatrice pour adultes. Un jour, lui est donnée enfin l’opportunité d’écrire sur cet oncle, de mettre à jour une vérité qui lui rendrait hommage… mais c’est compter sans l’opposition de sa famille maternelle et les silences de ceux qui savent. J’ai beaucoup aimé cette première plongée dans l’univers un peu feutré et particulier des grandes familles dans laquelle Juliette a du mal à trouver sa place, puis ensuite son parcours de jeune-fille amoureuse, de mère débordée, de femme déterminée à vivre son rêve, et son travail d’écrivain en butte aux difficultés du milieu. Un roman qui a su réveiller mes souvenirs de jeunesse étudiante, mais aussi m’émouvoir, avec son écriture personnelle et fraîche, délicatement séduisante.Les romans de juin sont sortis cette année en toute discrétion sur les réseaux, tant le battage sur la rentrée littéraire a été fort et précoce… Que tout soit à la joie est de ces romans qui sont sortis en juin, et quel dommage de passer à côté ! Avec sa couverture bien intrigante, à la fois précieuse et surannée, très jolie, je me demandais pour autant de quoi il pouvait bien parler. Nous sommes dans les années 70, Juliette est étudiante sur Paris. Solange Dumontel, une vieille amie de classe de sa mère, a invité la jeune-fille à un goûter-dîner avec ses enfants. Mis à part une cousine, ses grands-parents et son oncle Paul, elle ne connaît personne sur la capitale. Elle accepte donc avec curiosité cette rencontre. Le fils aîné, Jean-Michel, est à Polytechnique. Grand charmeur, il séduit immédiatement Juliette, comme toute la cour des demoiselles qui gravite autour de lui. Elle décide alors, dans l’innocence de sa jeunesse, et son envie de vivre quelque chose d’enthousiasmant, qu’elle est amoureuse. Mais d’autres événements vont bouleverser sa vie, le décès brutal de son grand-père, puis de son oncle tant aimé. Cet ecclésiastique respecté a été retrouvé mort chez...
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  • Agathethebook 20/06/2019
    Voici un roman qui porte merveilleusement bien son titre. La vie n’étant pas toujours un long fleuve tranquille, autant décider dès le départ de se placer du bon côté de la rive plutôt que de plonger chaque jour dans le fleuve de la mélancolie. C’est le cas de Juliette, la narratrice. Elle retrace son parcours depuis son arrivée à Paris lorsqu’elle était étudiante, ses désirs d’écriture et de théâtre. À l’image de son grand-oncle, un ecclésiastique renommé, elle déborde d’amour et d’optimisme malgré des épreuves qui vont jalonner sa vie. Jamais elle ne renoncera à ses rêves, et peu importe le temps que cela prendra. [Chère amie taureau, j’ai bien reconnu l’ardeur et l’élan de ce signe du zodiaque que vous mentionnez et que je partage) Du premier amour à la vie de famille, au gré des rencontres et à la croisée des chemins, Juliette petit à petit trouvera sa voie au sein d’un monde qu’elle aime et embellit. J’ai pris beaucoup de plaisir à suivre cette narratrice comme si l’on piochait à chaque chapitre dans le journal intime de sa vie. Juliette n’est ni légère ni mondaine, elle est vive et de bonne humeur, elle aime ses proches, elle tient à ses projets et ne s’encombre pas longtemps des idées et personnes négatives. Juliette a raison, que tout soit à la joie, que l’amour triomphe des peines et des trahisons! Le style est sobre et le ton entraînant, j’ai trouvé ce roman lumineux et sincère. Voici un roman qui porte merveilleusement bien son titre. La vie n’étant pas toujours un long fleuve tranquille, autant décider dès le départ de se placer du bon côté de la rive plutôt que de plonger chaque jour dans le fleuve de la mélancolie. C’est le cas de Juliette, la narratrice. Elle retrace son parcours depuis son arrivée à Paris lorsqu’elle était étudiante, ses désirs d’écriture et de théâtre. À l’image de son grand-oncle, un ecclésiastique renommé, elle déborde d’amour et d’optimisme malgré des épreuves qui vont jalonner sa vie. Jamais elle ne renoncera à ses rêves, et peu importe le temps que cela prendra. [Chère amie taureau, j’ai bien reconnu l’ardeur et l’élan de ce signe du zodiaque que vous mentionnez et que je partage) Du premier amour à la vie de famille, au gré des rencontres et à la croisée des chemins, Juliette petit à petit trouvera sa voie au sein d’un monde qu’elle aime et embellit. J’ai pris beaucoup de plaisir à suivre cette narratrice comme si l’on piochait à chaque chapitre dans le journal intime de sa vie. Juliette n’est ni légère ni mondaine, elle est vive et de bonne humeur, elle aime ses proches,...
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  • leslecturesdemy 06/06/2019
    Une belle découverte. Dans la première partie du roman, Juliette est une jeune fille de bonne famille. Elle étudie à Paris, loin des siens. Plus tard, on la retrouve mariée et mère de famille. Elle devrait être comblée par sa vie mais non. Sa passion? L’écriture. Et l’envie d’écrire devient de plus en plus forte au fur et à mesure des années. Elle décidera d’écrire un roman sur la vie de son grand-oncle, le père Dantec. Mais la rédaction de ce livre va réveiller de vieux secrets de famille… La pression familiale est forte. Mais Juliette essaie de tenir bon. Deux thèmes sont évoqués dans ce roman : l’épanouissement personnel et la sexualité au sein de l’Église. Juliette veut être plus qu’une bonne épouse et mère de famille, elle veut s’émanciper, s’épanouir personnellement. Vivre de sa passion et faire autre chose que « maman-épouse ». Quand je parle de sexualité au sein de l’Eglise, je veux surtout parler du célibat des prêtres. En effet, Juliette veut écrire la biographie de son grand-oncle, qui était prêtre (adoré de tous)… mais retrouvé mort chez une prostituée! De là deux choix s’offraient aux gens : soit ils continuaient à défendre Dantec, soit ils le détestaient. Juliette ne veut qu’une seule chose, connaître la vérité et l’écrire. Je me suis attachée au personnage de Juliette. C’est une personne qui n’aime pas faire de mal et qui fait tout pour que tout le monde soit content. Mais en faisant ça elle se perd… Mais elle change son fusil d’épaule et prends sa vie en main. C’est ce que j’aime chez elle, cette volonté d’enfin vivre la vie qu’elle souhaite. Par contre elle m’a aussi énervé par sa naïveté. Elle fait trop confiance aux gens et ça va lui jouer des tours. La plume de l’auteure est très fluide et agréable à lire. Les mots sont employés avec beaucoup de justesse. C’est le premier livre que je lis d’Emmanuelle de Boysson mais ce ne sera pas le dernier. Je vous conseille vivement de lire ce livre.Une belle découverte. Dans la première partie du roman, Juliette est une jeune fille de bonne famille. Elle étudie à Paris, loin des siens. Plus tard, on la retrouve mariée et mère de famille. Elle devrait être comblée par sa vie mais non. Sa passion? L’écriture. Et l’envie d’écrire devient de plus en plus forte au fur et à mesure des années. Elle décidera d’écrire un roman sur la vie de son grand-oncle, le père Dantec. Mais la rédaction de ce livre va réveiller de vieux secrets de famille… La pression familiale est forte. Mais Juliette essaie de tenir bon. Deux thèmes sont évoqués dans ce roman : l’épanouissement personnel et la sexualité au sein de l’Église. Juliette veut être plus qu’une bonne épouse et mère de famille, elle veut s’émanciper, s’épanouir personnellement. Vivre de sa passion et faire autre chose que « maman-épouse ». Quand je parle de sexualité au sein de l’Eglise, je veux surtout parler du célibat des prêtres. En effet, Juliette veut écrire la biographie de son grand-oncle, qui était prêtre (adoré de tous)… mais retrouvé mort chez une prostituée! De là deux choix s’offraient aux gens : soit ils continuaient à défendre Dantec, soit ils le...
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