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Retour en absurdie
Christophe Debacq (avec la collaboration de)
Date de parution : 30/10/2014
Éditeurs :
Plon

Retour en absurdie

Christophe Debacq (avec la collaboration de)
Date de parution : 30/10/2014
Après son best-seller Voyages en absurdie, Stéphane De Groodt, véritable phénomène du moment, revient avec la suite de ses chroniques. D’improbables rencontres avec Beethoven, Steve Jobs, Marilyn Monroe, le Mime Marceau, Serge Gainsbourg, Claude François…
Retour en absurdie avec Stéphane De Groodt dont voici quelques perles :
- Même s’il n’a pas l’ouïe de finesse, Beethoven est devenu la coqueluche du tout-Vienne après avoir dit « Tchao tympans »…
-...
Retour en absurdie avec Stéphane De Groodt dont voici quelques perles :
- Même s’il n’a pas l’ouïe de finesse, Beethoven est devenu la coqueluche du tout-Vienne après avoir dit « Tchao tympans »…
- Mime de rien, Marcel Marceau a beaucoup fait parler de lui…
- Oussama me dit qu’il s’est probablement laissé électriser par...
Retour en absurdie avec Stéphane De Groodt dont voici quelques perles :
- Même s’il n’a pas l’ouïe de finesse, Beethoven est devenu la coqueluche du tout-Vienne après avoir dit « Tchao tympans »…
- Mime de rien, Marcel Marceau a beaucoup fait parler de lui…
- Oussama me dit qu’il s’est probablement laissé électriser par un Coran alternatif…
- Serge me demande des nouvelles de Vanessa car tout ce qui touche à Paradis l’atteint…
- Yoko Ono refusait que j’aille au chevet du leadercool dont elle fut la muse. Et quand la muse gueule, on la ramène pas…
- J’ai rencontré Marilyn, la Vénus de Miller…
- Grâce à l’amour de ses fans, Claude François demeure un chanteur mâle heureux…
- J’ai rencontré Charlot afin qu’il me parle de cette époque où le cinéma muait…
- Vu le bruit ambiant, je propose à Yves Saint Laurent de discuter à l’extérieur car le silence est Dior…
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EAN : 9782259229654
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782259229654
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Les_livres_et_nous 16/01/2024
    Avec ces 2 livres on fait un bon dans le temps pour se retrouver dans ces fameuses chroniques qui ont les beaux jours de Stéphane De Groodt sur Canal. On a tous en mémoire la séquence où Nabilla ne comprend pas un traitre mot de ce que SDG et où elle en vient a demander une oreillette pour traduction… Pour Stéphane De Groodt, un mot est une note. Et bien je peux vous dire que lors de la lecture de ces 2 tomes je me suis amusée! Et le petit plus; les mots de l'auteur resonnaient dans ma tête comme une joyeuse ritournelle. J'ai franchement passé un bon moment avec ces lectures. C'est pour moi le digne héritier de Raymond Devos à qui il n'a vraiment plus rien à envier (si ce n'est la longévité 😉)
  • Domichel 06/11/2022
    Trouvé au hasard d'une vente d'occasion, je l'ai saisie, l'occasion de me procurer le deuxième recueil des chroniques de SDG, lui aussi s'appelle Groodt. Je m'étais tant poilé à la lecture du premier opus, que j'avais reçu en cadeau, pas aux puces comme le second, je salivais d'avance comme un mâtin à l'idée de sa promenade matinale, ou vespérale, c'est selon... Et forcément je n'ai pas été déçu, cet homme SDG, a la langue aussi bien pendue que la plume affûtée et se joue des mots comme une infirmière de ses seringues, ça n'a rien à voir je sais, mais c'est pour l'image. En clair si vous voulez savoir ce que j'en pense, et même si vous ne voulez pas, reportez-vous à ma critique du premier volume, je n'ai rien de plus à ajouter. Sinon peut-être que la dernière chronique est un bijou de respect et d'hommages à tous les joueurs de mots qui l'ont inspiré, de Pierre Dac à Raymond Devos ou de Francis Blanche à Pierre Desproges, pour ne citer que les plus récemment disparus, quoique pour certains ça fait un bon moment, mais comme depuis, des humoristes, des vrais, ceux qui font rire, on n'en trouve plus, on est obligé de s'en tenir, et c'est déjà énorme de ces anciens disparus. Et de Stéphane de Groodt, fort heureusement.Trouvé au hasard d'une vente d'occasion, je l'ai saisie, l'occasion de me procurer le deuxième recueil des chroniques de SDG, lui aussi s'appelle Groodt. Je m'étais tant poilé à la lecture du premier opus, que j'avais reçu en cadeau, pas aux puces comme le second, je salivais d'avance comme un mâtin à l'idée de sa promenade matinale, ou vespérale, c'est selon... Et forcément je n'ai pas été déçu, cet homme SDG, a la langue aussi bien pendue que la plume affûtée et se joue des mots comme une infirmière de ses seringues, ça n'a rien à voir je sais, mais c'est pour l'image. En clair si vous voulez savoir ce que j'en pense, et même si vous ne voulez pas, reportez-vous à ma critique du premier volume, je n'ai rien de plus à ajouter. Sinon peut-être que la dernière chronique est un bijou de respect et d'hommages à tous les joueurs de mots qui l'ont inspiré, de Pierre Dac à Raymond Devos ou de Francis Blanche à Pierre Desproges, pour ne citer que les plus récemment disparus, quoique pour certains ça fait un bon moment, mais comme depuis, des humoristes, des vrais, ceux qui font rire, on n'en trouve plus, on...
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  • thierrygibert 01/06/2022
    Stéphane de Groodt est le digne héritier de Raymond Devos: ils ont en commun de jouer avec la langue française, ses sonorités, ses ambiguïtés comme d'un instrument et de nous faire découvrir des voies de traverse insoupçonnées. Des chroniques à savourer lentement comme un plat succulent. Dommage que le courrier du lecteur qui termine le livre soit pas au même niveau, il eût été préférable de terminer sur la magnifique chronique-hommage consacrée à ... Raymond Devos
  • Malice70 11/07/2021
    Je ne connaissais pas cet énergumène et je me suis bidonnée à chaque petit chapitre. Je suis même sûre qu’il vaut mieux lire ses chroniques que les écouter car on doit rater une partie de l’humour à l’oral, tant il y a de jeux de mots à la ligne. La lecture de ce recueil m’a provoqué le même mélange de joie et de fierté intérieure que l’on ressent en lisant du Devos ou des Astérix : j’ai compris la blague, preuve de ma culture ! Maintenant, je vais quand même aller regarder qq sketches de Stéphane de Groodt pour voir l’effet que ça fait quand c’est lui qui raconte… (et histoire de connaître le son de sa voix).
  • Brice_B 16/01/2021
    Les suites sont souvent moins bien, parce qu'elles reposent sur les vestiges de souvenirs agréables. Retour en absurdie offre la même formule que le précédent recueil, ces chroniques de Stéphane De Groodt sur Canal+ qu'on aimait à écouter en essayant de tout comprendre, et qu'on relit avec le même plaisir, prenant dans nos têtes l'intonation du talentueux magicien du verbe, rigolant des bons mots et s'extasiant du génie qu'il fallait pour les trouver. Petit bémol, toutefois, avec cette sélection de faux courriers cloturant l'ouvrage, qui m'a laissé interrogatif et déçu, car finalement pas très drôles. Nous épargnera-t-on une suite ?
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