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Les Annales du Disque-Monde
La huitième fille
Patrick Couton (traduit par)
Date de parution : 05/05/2011
Éditeurs :
Pocket

Les Annales du Disque-Monde

La huitième fille

,

Patrick Couton (traduit par)
Date de parution : 05/05/2011

Sentant venir sa mort prochaine, le mage Tambour Billette organise la transmission de ses pouvoirs, de son bourdon, de son fonds de commerce. Nous sommes sur le Disque-Monde. La succession...

Sentant venir sa mort prochaine, le mage Tambour Billette organise la transmission de ses pouvoirs, de son bourdon, de son fonds de commerce. Nous sommes sur le Disque-Monde. La succession s'y effectue de huitième fils en huitième fils. Logique. Ainsi opère le mage. Puis il meurt. Or, il apparaît que...

Sentant venir sa mort prochaine, le mage Tambour Billette organise la transmission de ses pouvoirs, de son bourdon, de son fonds de commerce. Nous sommes sur le Disque-Monde. La succession s'y effectue de huitième fils en huitième fils. Logique. Ainsi opère le mage. Puis il meurt. Or, il apparaît que le huitième fils est cette fois... une fille. Stupeur, désarroi, confusion : jamais on n'a vu pareille incongruité. Trop tard, la transmission s'est accomplie au profit de la petite Eskarina...

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EAN : 9782266211833
Code sériel : 5672
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 240
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266211833
Code sériel : 5672
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 240
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Plumerousse 11/04/2024
    Si comme moi vous lisez la saga du Disque Monde dans l'ordre et que vous quittiez Deuxfleurs et Rincevent à regret, ne regrettez plus ! Les nouvelles têtes de cette "non-suite", Mémé et Esk, forment un duo tout aussi drôle et attachant. J'ai pris un très grand plaisir à suivre leurs aventures truculentes dans ce tome 3, qui est mon préféré pour le moment. Le récit est moins absurde sans rien perdre en humour (surtout dans les dialogues !), moins de péripéties donc plus simple à suivre, bref : j'ai adoré. :)
  • Maylen 05/03/2024
    « 𝘖ù 𝘪𝘭 𝘦𝘴𝘵 𝘤𝘦 𝘧𝘪𝘤𝘩𝘶 𝘣𝘪𝘣𝘭𝘪𝘰𝘵𝘩é𝘤𝘢𝘪𝘳𝘦 ? 𝘐𝘭 𝘯'𝘢𝘶𝘳𝘢𝘪𝘵 𝘫𝘢𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘥û 𝘭𝘢𝘪𝘴𝘴𝘦𝘳 𝘴𝘦 𝘧𝘰𝘳𝘮𝘦𝘳 𝘶𝘯𝘦 𝘔𝘢𝘴𝘴𝘦 𝘊𝘳𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦. » Terry Pratchett était-il lui-même mage (ou sorcier, va savoir) ? Dans sa boule de cristal, a t’il deviné qu’il existerait Babelio qui créerait une masse critique, ou Babelio s’est-il inspiré de La huitième fille pour créer son légendaire « recevoir un livre gratuit en échange de votre critique » ? Au-delà de la masse de matériaux fissiles qui déclenche une réaction nucléaire, qui du livre ou du papier est apparu en premier ? Enfin ! j'entrevois l'Humour avec un grand H de Terry Pratchett dont on parle tant ! Il faut dire, 𝘓𝑒 𝑝𝘦𝑢𝘱𝑙𝘦 𝘥𝑢 𝑡𝘢𝑝𝘪𝑠 ou 𝘙𝑜𝘶𝑏𝘭𝑎𝘳𝑑 ne sont pas ses plus grandes réussites. Mais revenons à nos chèvres. Humour, dites-vous ? Bien plus que cela dirais-je, c’est aussi l’art des doubles sens, de l’apprentissage du monde et surtout de la critique de notre société. C’est aussi le néologisme ou l’art d’inventer des mots. Ces mots qui font écho à d’autres : Têtologie pour la tautologie, le C'hulagen pour C’thulhu en référence à Lovecraft, Sourcellerie, Jométrie, l’annaloguie, il y en a tellement ! Mais dites-moi, est ce que Pratchett ne détiendrait pas le record de citations ? j’avais l’impression d’en lire une bonne à chaque page. Bon reprenons, ce livre se lit moins pour son aventure que pour l’engagement féministe de son auteur. Un garçon ne peut pas devenir sorcier tout comme une fille ne peut pas devenir mage, c’est contre nature. Encore aujourd’hui, dans nombre de chaumières, tu ne joueras pas à la poupée mon fils et tu ne feras pas de la mécanique ma fille. Terminons sur la têtologie. J’adore ! C’est peut-être l’art de tourner en rond dans sa tête ? Un pléonasme, non ? non ? Plutôt l’art de la persuasion alors, la vérité est certainement ailleurs dans la petite pyramide de verre qui renfermait des étoiles et la grande A’Tuin. J’en passe et des meilleures, j’ai trouvé un maitre, je m’incline bien bas, cher Terry ! « 𝘖ù 𝘪𝘭 𝘦𝘴𝘵 𝘤𝘦 𝘧𝘪𝘤𝘩𝘶 𝘣𝘪𝘣𝘭𝘪𝘰𝘵𝘩é𝘤𝘢𝘪𝘳𝘦 ? 𝘐𝘭 𝘯'𝘢𝘶𝘳𝘢𝘪𝘵 𝘫𝘢𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘥û 𝘭𝘢𝘪𝘴𝘴𝘦𝘳 𝘴𝘦 𝘧𝘰𝘳𝘮𝘦𝘳 𝘶𝘯𝘦 𝘔𝘢𝘴𝘴𝘦 𝘊𝘳𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦. » Terry Pratchett était-il lui-même mage (ou sorcier, va savoir) ? Dans sa boule de cristal, a t’il deviné qu’il existerait Babelio qui créerait une masse critique, ou Babelio s’est-il inspiré de La huitième fille pour créer son légendaire « recevoir un livre gratuit en échange de votre critique » ? Au-delà de la masse de matériaux fissiles qui déclenche une réaction nucléaire, qui du livre ou du papier est apparu en premier ? Enfin ! j'entrevois l'Humour avec un grand H de Terry Pratchett dont on parle tant ! Il faut dire, 𝘓𝑒 𝑝𝘦𝑢𝘱𝑙𝘦 𝘥𝑢 𝑡𝘢𝑝𝘪𝑠 ou 𝘙𝑜𝘶𝑏𝘭𝑎𝘳𝑑 ne sont pas ses plus grandes réussites. Mais revenons à nos chèvres. Humour, dites-vous ? Bien plus que cela dirais-je, c’est aussi l’art des doubles sens, de l’apprentissage du monde et surtout de la critique de notre société. C’est aussi le néologisme ou l’art d’inventer des mots. Ces mots qui font écho à d’autres : Têtologie pour la tautologie, le C'hulagen pour C’thulhu en référence à Lovecraft, Sourcellerie, Jométrie, l’annaloguie, il y en a tellement ! Mais dites-moi, est ce que Pratchett ne...
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  • Jabberwoky 28/06/2023
    Oh que j’aime cet auteur ! Je le savais, hein, puisque j’ai découvert le Discworld vers 15 ans il y a 20 ans, mais a la relecture, c’est vraiment… Disons que ça fait du bien de lire quelque chose de hautement divertissant ET très intelligent. L’histoire en elle-même n’est pas dure à suivre, et je nous trouve loin du côté fouillis des tomes précédents : Esk est la première fille à qui un bâton magique, normalement réservés aux Mages (mâles par définition), est donné à la naissance, par erreur (enfin, peut-être). Elle devra donc être la première Mage féminine du Discworld. Scandale, on ne mélange pas les Mages et les Sorcières, qui se méprisent d’ailleurs cordialement (par contre on ne nous dit pas qui sont les serviettes et qui sont les torchons dans cette analogie) Évidemment, péripéties, opposants, adjuvants, bref, à la fin, on s’aperçoit que, oui, une fille peut être un(e) mage, une sorcière acariâtre et un Archancelier arrogant peuvent s’entendre comme larrons en foire, et en réalité il n’y a pas matière à s’opposer, si on y regarde de plus près et qu’on tord le cou aux préjugés. Premier message, flagrant : le sexisme, c’est débile, et les gens qui s’y accrochent sont avant tout ridicules. Sauf que contrairement a ce qui se fait en général, cette morale ne nous est pas imposée de face, elle nous est a chaque ligne suggérée, a peine esquissée, au travers de milles et un exemples, blagues ou retournement de situation. Je rappelle que c’est sorti en 1987, époque lointaine si il en est, ou le féminisme ne faisait pas vendre, et ou le mot « mansplaining » n’avait même pas été pensé - et pourtant on a une scène génialissime qui illustre le concept avec brio (écrite par un homme avant les années 90 : je suis un peu amoureuse de lui a titre lointain et posthume). Mais si c’était la seule leçon a retenir du bouquin, il serait moins génial. Parce que en plus de ça, on a tout un tas d’autres pistes de réflexion sur la nature humaine, notamment a travers les enseignements de Mémé en têtologie. Parce que Mémé, elle connait les gens. Qu’est-ce que cela veut dire, avoir de l’influence ? est-ce que l’effet placebo fait tout ? est-ce que l’uniforme d’une sorcière est chapeau-balais-robe-noire parce que les sorcières portent toutes ça, ou est-ce que les sorcières portent toutes ça parce que c’est l’uniforme des sorcières ? est-ce que la divination c’est du pipeau ? pourquoi on y croit ? et est-ce que on y croit réellement ? Et avoir du pouvoir, ça veut dire quoi ? Est-ce que les animaux sont plus bêtes que nous ? Est-ce que ne pas faire de magie, alors qu’on pourrait en faire, c’est pas ça, le vrai pouvoir ? Mais si oui, ça veut dire quoi exactement ? Sommes nous aussi éphémères et ridicules que les petites fourmis sur les toits de l’Université, qui triment pour construire une pyramide en sucre qui sera balayée au prochain orage ? J’ai presque envie de le relire juste pour être certaine que je me suis posée toutes les bonnes questions. Oh que j’aime cet auteur ! Je le savais, hein, puisque j’ai découvert le Discworld vers 15 ans il y a 20 ans, mais a la relecture, c’est vraiment… Disons que ça fait du bien de lire quelque chose de hautement divertissant ET très intelligent. L’histoire en elle-même n’est pas dure à suivre, et je nous trouve loin du côté fouillis des tomes précédents : Esk est la première fille à qui un bâton magique, normalement réservés aux Mages (mâles par définition), est donné à la naissance, par erreur (enfin, peut-être). Elle devra donc être la première Mage féminine du Discworld. Scandale, on ne mélange pas les Mages et les Sorcières, qui se méprisent d’ailleurs cordialement (par contre on ne nous dit pas qui sont les serviettes et qui sont les torchons dans cette analogie) Évidemment, péripéties, opposants, adjuvants, bref, à la fin, on s’aperçoit que, oui, une fille peut être un(e) mage, une sorcière acariâtre et un Archancelier arrogant peuvent s’entendre comme larrons en foire, et en réalité il n’y a pas matière à s’opposer, si on y regarde de plus près et qu’on tord le cou aux préjugés. Premier message, flagrant : le sexisme, c’est débile, et les gens qui...
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  • MaggyM 24/04/2023
    Nouvelle incursion dans le Disque-Monde en compagnie de Mémé Ciredutemps que je découvre et d'Esk, mage féminin en devenir. C'est toujours particulièrement réjouissant de se plonger dans cet univers un peu loufoque, souvent très drôle et particulièrement inventif. Ce troisième tome est le premier de la série qui sera consacré aux sorcières. Il était un peu moins drôle que les précédents et l'intrigue en elle-même un peu moins trépidante. Mais c'est normal, il s'agissait aussi de poser un univers. Le fil parodique de fond est résolument féministe, confrontant les traditions patriarcales des mages avec les compétences non encore maîtrisées d'une petite fille à qui un mage a transmis son bourdon (par erreur, certes, mais que voulez-vous? Ce qui est fait est fait !). Je me suis à nouveau beaucoup amusée durant ma lecture et me réjouis de dénicher le tome suivant.
  • LeslecturesdeVeronique 12/01/2023
    8/100 Terry Pratchett, « La huitième fille » - Les annales du disque-monde. Tome 3 » J’ai décidé l’an dernier de lire entièrement les Annales du disque Monde, ayant beaucoup apprécié la lecture aléatoire de quelques tomes. J’ai donc évidemment repris au début et voici le 3ème tome que j’ai adoré ! La tradition veut que juste avant sa mort, un mage en intronise un autre : le huitième fils d’un huitième fils. Sauf que le mage Tambour Billette commet une erreur : le bébé est une fille ! C’est trop tard ! La transmission a eu lieu ! Le père demande de l’aide à la sorcière du village : Mémé Ciredutemps. Celle-ci est catégorique : on n’a jamais vu ça : une fille peut être sorcière, mais pas mage ! Peu importe, elle prend l’enfant sous son aile et l’initie à la sorcellerie. Mais bientôt, les catastrophes s’enchainent et le grand voyage jusqu’à l’Université des mages débute avec son lot d’aventures ! Tout est génial dans les romans de Pratchett : la richesse de cet univers créé, la truculence des personnages - j’adore particulièrement Mémé Ciredutemps -, les noms des lieux et des personnages, les rebondissements et évidemment l’humour. Je suis admirative aussi de la beauté de la langue et on comprend que le traducteur de Pratchett, Patrick Couton, ait obtenu le Grand Prix de l’Imagination 1998. Bref, c’est très rapidement que je vais lire le tome suivant : « Mortimer ». 8/100 Terry Pratchett, « La huitième fille » - Les annales du disque-monde. Tome 3 » J’ai décidé l’an dernier de lire entièrement les Annales du disque Monde, ayant beaucoup apprécié la lecture aléatoire de quelques tomes. J’ai donc évidemment repris au début et voici le 3ème tome que j’ai adoré ! La tradition veut que juste avant sa mort, un mage en intronise un autre : le huitième fils d’un huitième fils. Sauf que le mage Tambour Billette commet une erreur : le bébé est une fille ! C’est trop tard ! La transmission a eu lieu ! Le père demande de l’aide à la sorcière du village : Mémé Ciredutemps. Celle-ci est catégorique : on n’a jamais vu ça : une fille peut être sorcière, mais pas mage ! Peu importe, elle prend l’enfant sous son aile et l’initie à la sorcellerie. Mais bientôt, les catastrophes s’enchainent et le grand voyage jusqu’à l’Université des mages débute avec son lot d’aventures ! Tout est génial dans les romans de Pratchett : la richesse de cet univers créé, la truculence des personnages - j’adore particulièrement Mémé Ciredutemps -, les noms des lieux et des personnages, les rebondissements et évidemment l’humour. Je...
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