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Phèdre
Date de parution : 30/10/2018
Éditeurs :
Pocket

Phèdre

Date de parution : 30/10/2018
LES GRANDS TEXTES DU XVIIe SIÈCLE
 
Phèdre est un tourbillon de folie amoureuse et de sang. Des divinités invisibles égarent les héros de Racine, les jetant dans la fureur...
Héritière d'une lignée...
LES GRANDS TEXTES DU XVIIe SIÈCLE
 
Phèdre est un tourbillon de folie amoureuse et de sang. Des divinités invisibles égarent les héros de Racine, les jetant dans la fureur...
Héritière d'une lignée maudite, Phèdre devrait aimer le prince Thésée, son mari. Elle brûle au contraire pour son beau-fils Hippolyte d'une fièvre qui...
LES GRANDS TEXTES DU XVIIe SIÈCLE
 
Phèdre est un tourbillon de folie amoureuse et de sang. Des divinités invisibles égarent les héros de Racine, les jetant dans la fureur...
Héritière d'une lignée maudite, Phèdre devrait aimer le prince Thésée, son mari. Elle brûle au contraire pour son beau-fils Hippolyte d'une fièvre qui la ronge, la conduit au délire et au crime. Plongée dans « l'inimaginable enfer » de la jalousie, elle prépare la mise à mort de ce jeune dieu qui en aime une autre...
« Quels vers ! écrivait André Gide. Y eut-il jamais, dans aucune langue humaine, rien de plus beau ? »

@ Disponible chez 12-21
L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE

 
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EAN : 9782266289276
Code sériel : 12533
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 96
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266289276
Code sériel : 12533
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 96
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • CloeClooo 02/05/2023
    Un classique ! Et les classiques, justement, j'ai toujours du mal à me lancer dans leur lecture. Mais là, j'avoue que ce dernier était une belle découverte, avec un style agréable et une histoire passionnante de passions impossibles. On se laisse embarquer !
  • iz43 20/04/2023
    Pièce écrite en 5 actes en 1677 en alexandrins. Pièce sublime dans la forme. Très beau texte. Mythologie grecque comme sujet, cela ne peut qu'être dramatique. Parce que les Dieux s'amusent, tourmentent les pauvres humains qui ne sont plus que des jouets dans leurs mains. Les épreuves pleuvent sur leurs épaules, le destin est cruel. Phèdre. Femme de Thésée. Le héros qui a vaincu le minotaure et abandonné Arianne la fille du roi Minos qui l'avait aidé et aimé. Héros qui part en guerre quand cela lui chante et trompe sa femme aussi souvent. Phèdre fille de Minos et de Pasiphae et donc sœur d'Arianne. Phèdre belle mère d'Hippolite , fils de Thésée né d'une autre union. Thésée est annoncé mort. Phèdre qui aime passionnément Hippolite peut enfin lui révéler ses sentiments. Mais le jeune homme en aime une autre en secret. Coup de tonnerre. Coup de théâtre. Thésée revient en chair et en os. Phèdre tremble de sa trahison, de sa passion incestueuse. Prise au pied du mur, voilà qu'elle annonce à Thésée que le jeune homme a essayé de la séduire. Thésée (que je ne supporte pas) ne cherche pas à comprendre et fonce dans le tas comme d'habitude. Le fils est aussi maudit. La fin... Pièce écrite en 5 actes en 1677 en alexandrins. Pièce sublime dans la forme. Très beau texte. Mythologie grecque comme sujet, cela ne peut qu'être dramatique. Parce que les Dieux s'amusent, tourmentent les pauvres humains qui ne sont plus que des jouets dans leurs mains. Les épreuves pleuvent sur leurs épaules, le destin est cruel. Phèdre. Femme de Thésée. Le héros qui a vaincu le minotaure et abandonné Arianne la fille du roi Minos qui l'avait aidé et aimé. Héros qui part en guerre quand cela lui chante et trompe sa femme aussi souvent. Phèdre fille de Minos et de Pasiphae et donc sœur d'Arianne. Phèdre belle mère d'Hippolite , fils de Thésée né d'une autre union. Thésée est annoncé mort. Phèdre qui aime passionnément Hippolite peut enfin lui révéler ses sentiments. Mais le jeune homme en aime une autre en secret. Coup de tonnerre. Coup de théâtre. Thésée revient en chair et en os. Phèdre tremble de sa trahison, de sa passion incestueuse. Prise au pied du mur, voilà qu'elle annonce à Thésée que le jeune homme a essayé de la séduire. Thésée (que je ne supporte pas) ne cherche pas à comprendre et fonce dans le tas comme d'habitude. Le fils est aussi maudit. La fin vous l'imaginez bien est tragique et magnifique. Un pur régal de se replonger dans les passions et tourments de la mythologie.
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  • evergreen13 19/04/2023
    Tragiques destins Créée en 1677, Phèdre est considérée comme le chef d’œuvre de Racine. Il faut reconnaître que cette tragédie en cinq actes est exceptionnelle par la densité de sa dramaturgie et la beauté de ses vers. Le décor est celui de l’Antiquité Grecque (Racine situe l’action à Trézène) et les personnages sont issus de la mythologie. Les principaux, tels Thésée (au nombre de ses exploits, la mise à mort du Minotaure dans le labyrinthe du palais de Cnossos) ou Phèdre « fille de Minos et de Pasiphaé » (son grand-père n’est autre qu’Hélios le dieu du Soleil) portent le fardeau d’une lourde hérédité, baignée dans le sang. Comme souvent dans ces tragédies, tout repose sur des malentendus, des confusions : au début de la pièce, on apprend la mort de Thésée. Une mort aux conséquences multiples, notamment politiques, car Thésée est roi d’Athènes, mais plus encore, personnelles pour Phèdre son épouse, et Hippolyte son fils, né d’un précédent mariage. Car Phèdre aime secrètement son beau-fils Hippolyte, d’un amour interdit (« D'un incurable amour remèdes impuissants ! » )… Lui, aime Aricie qui l’aime en retour mais pourrait prétendre au trône d’Athènes… Tous les éléments sont réunis pour que le... Tragiques destins Créée en 1677, Phèdre est considérée comme le chef d’œuvre de Racine. Il faut reconnaître que cette tragédie en cinq actes est exceptionnelle par la densité de sa dramaturgie et la beauté de ses vers. Le décor est celui de l’Antiquité Grecque (Racine situe l’action à Trézène) et les personnages sont issus de la mythologie. Les principaux, tels Thésée (au nombre de ses exploits, la mise à mort du Minotaure dans le labyrinthe du palais de Cnossos) ou Phèdre « fille de Minos et de Pasiphaé » (son grand-père n’est autre qu’Hélios le dieu du Soleil) portent le fardeau d’une lourde hérédité, baignée dans le sang. Comme souvent dans ces tragédies, tout repose sur des malentendus, des confusions : au début de la pièce, on apprend la mort de Thésée. Une mort aux conséquences multiples, notamment politiques, car Thésée est roi d’Athènes, mais plus encore, personnelles pour Phèdre son épouse, et Hippolyte son fils, né d’un précédent mariage. Car Phèdre aime secrètement son beau-fils Hippolyte, d’un amour interdit (« D'un incurable amour remèdes impuissants ! » )… Lui, aime Aricie qui l’aime en retour mais pourrait prétendre au trône d’Athènes… Tous les éléments sont réunis pour que le destin se joue des personnages, car l’acte 3 voit le retour de Thésée, bien vivant. Dès lors, le sort de Phèdre et d’Hippolyte semble scellé, ni l’un ni l’autre ne peut échapper à la fatalité… Magnifique.
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  • Mouche307 07/04/2023
    Il faudrait relire une bonne tragédie antique de temps en temps, histoire de remettre en perspective les aléas du monde. Celle-ci est sans doute la plus célèbre et la plus aboutie. Tout y est, parfaitement à sa place, parfaitement agencé. Phèdre d'abord, la fille de Minos et de Pasiphaé, ni tout à fait innocente, ni tout à fait coupable. Thésée, longtemps cru mort, revenu à Trézène pour trouver sa femme éplorée et son fils alarmé. Oenone, la servante traitresse pour sauver sa maîtresse. Hippolyte au coeur pur, qui ne peut pas trahir. Aricie, l'innocence même, vouée au sacrifice. Et sur eux tous, bien sûr, plane l'ombre des dieux, Vénus et Neptune en tête, dont le passe temps favori est de nouer autour des mortels des liens inextricables, que seule la mort peut défaire et dont souffriront encore ceux qui doivent survivre. Le tout est servi par des alexandrins parfaits, capables d'émouvoir et de susciter comme il se doit terreur et pitié, quels que soient l'époque et le moment de lecture.
  • NathalieBC 28/02/2023
    Pour les besoins du boulot, j'ai relu Phèdre. J'ai autant aimé que la première fois et peut-etre davantage. En fait, le personnage de Phèdre ne m'intéresse pas plus que ça. Pour moi, c'est Hippolyte le véritable héros. Vraiment le pauvre, qu'est-ce qu'il prend: enfant, il subit les méchancetés d'une affreuse belle-mère qui pousse ses enfants à usurper son trône. Jeune adulte, il subit l'amour de cette même belle-mère, la colère de son père et l'interdiction d'aimer la jeune Pallantide, Aricie, sous prétexte qu'elle est issue d'une famille ennemie. Avouez que c'est trop. Et bien non, il faut encore qu'il endure la calomnie, l'injustice, l'exil et la colère de Neptune. J'ai le seum pour ces jeunes amoureux. Quant à Phèdre, en vrai, je m'en fous.
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