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Le jour le plus long
6 Juin 1944
France-Marie Watkins (traduit par)
Collection : Ce Jour-Là
Date de parution : 24/11/2003
Éditeurs :
Robert Laffont

Le jour le plus long

6 Juin 1944

,

France-Marie Watkins (traduit par)
Collection : Ce Jour-Là
Date de parution : 24/11/2003

Le 6 Juin 1944 eut lieu la plus formidable opération militaire de tous les temps. À partir des plages de Normandie, l'opération " Overlord " - le plan de libération...

Le 6 Juin 1944 eut lieu la plus formidable opération militaire de tous les temps. À partir des plages de Normandie, l'opération " Overlord " - le plan de libération de la France par les Alliés - assenait à l'Allemagne nazie un coup dont elle ne se relèverait pas.
Avec une...

Le 6 Juin 1944 eut lieu la plus formidable opération militaire de tous les temps. À partir des plages de Normandie, l'opération " Overlord " - le plan de libération de la France par les Alliés - assenait à l'Allemagne nazie un coup dont elle ne se relèverait pas.
Avec une remarquable minutie, Cornelius Ryan fait le récit haletant du débarquement et de sa préparation. De l'état-major de Rommel au QG de la 7e armée, d'Omaha-Beach à Sainte-Mère-Église, l'auteur nous emporte avec passion dans le tourbillon des événements.

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EAN : 9782221101315
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 288
Format : 153 x 240 mm
EAN : 9782221101315
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 288
Format : 153 x 240 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Aurelien38 13/11/2023
    Le jour le plus long, connu par le film du même nom nous replace au jour J, le 6 juin 1944, moment du débarquement des alliés sur les côtes Normandes. Dans cet ouvrage, Cornelius Ryan s'attache à nous raconter cette histoire en 3 parties : l'Attente avec la mise en place de la défense des côtes par Rommel, les préparatifs au débarquement et le contexte, la Nuit avec le largage des parachutistes dans les premières heures du 6 juin et enfin la Journée avec le débarquement des hommes sur les plages. Ryan donne la parole aux soldats et témoins qu'il a pu interroger 20 ans après les faits pour essayer d'être au plus proche de la réalité. Un ouvrage d'un format assez surprenant : à la fois roman, témoignage et roman historique. Cornelius Ryan parvient à nous entrainer aux côtés des hommes qui ont affronter le 6 juin. J'ai trouvé la première partie un peu longue, elle met en place le contexte mais sans trop de rythme. Au contraire j'ai apprécié la seconde partie qui remet bien en lumière les enjeux et les difficultés de la Airborne Américaine. L'ouvrage est très précis et l'auteur cherche à expliquer les faits et le pourquoi. Cependant, on a du mal à savoir ce qui est romancé, notamment dans les témoignages de ce qui ne l'est pas. C'est plaisant d'avoir des citations des différents acteurs, toutefois on a du mal à retenir les noms et vraiment suivre leurs parcours avant et pendant la journée. L'ouvrage reste particulièrement marquant nous plongeant très fidèlement dans l'enfer de cette journée et des morts, parfois violentes, parfois évitables, regrettables mais qui ont malheureusement eu lieu. Le point de vue de plusieurs soldats allemands est très intéressant mais aurait pu être plus détaillé. Ryan aurait du faire un ouvrage encore plus conséquent avec tous ces témoignage et cette richesse aujourd'hui en péril. je recommande aux amateurs de la deuxième guerre mondiale et du D Day mais aussi à ceux qui veulent en savoir plus sur cette journée.Le jour le plus long, connu par le film du même nom nous replace au jour J, le 6 juin 1944, moment du débarquement des alliés sur les côtes Normandes. Dans cet ouvrage, Cornelius Ryan s'attache à nous raconter cette histoire en 3 parties : l'Attente avec la mise en place de la défense des côtes par Rommel, les préparatifs au débarquement et le contexte, la Nuit avec le largage des parachutistes dans les premières heures du 6 juin et enfin la Journée avec le débarquement des hommes sur les plages. Ryan donne la parole aux soldats et témoins qu'il a pu interroger 20 ans après les faits pour essayer d'être au plus proche de la réalité. Un ouvrage d'un format assez surprenant : à la fois roman, témoignage et roman historique. Cornelius Ryan parvient à nous entrainer aux côtés des hommes qui ont affronter le 6 juin. J'ai trouvé la première partie un peu longue, elle met en place le contexte mais sans trop de rythme. Au contraire j'ai apprécié la seconde partie qui remet bien en lumière les enjeux et les difficultés de la Airborne Américaine. L'ouvrage est très précis et l'auteur cherche à expliquer les faits et le...
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  • MarieVictoria 25/08/2023
    Un 5/5 pour ce récit plus que nécessaire, indispensable. Une description presque minute par minute de l’un des événements majeurs de la Seconde Guerre. De la préparation de l’attaque à la libération des villages occupés en passant par l’invasion des plages, c’est un témoignage et un travail de recherche inestimables que nous livre Cornelius Ryan. Le patriotisme incroyable de tous ces hommes, leur témérité, leur sang-froid, leur dévouement et leur courage m’ont laissés sans voix. C’est un véritable hommage aux soldats, ces acteurs en première ligne avec pour objectif commun la libération de tout un pays, de tout un peuple. Tous les hommes qui ont pu être identifiés sont nommés, rendant le récit d’autant plus réel et important pour que jamais ils ne soient oubliés. J’admire et encourage évidemment cette révérence à tous ces guerriers qui ont combattus et vaincus, certains au péril de leur vie.
  • Lamifranz 18/06/2022
    "Le jour le plus long", dans la mémoire collective, c'est d'abord un film de 1962, un des plus coûteux de tous les temps, ayant mobilisé des dizaines d'acteurs de premier plan américains, anglais, allemands, canadiens et français, des centaines de figurants, des décors, des effets spéciaux, des reconstitutions de bataille comme on en n'avait jamais vu auparavant. Le film retrace de façon chronologique toutes les phases du débarquement depuis la préparation la veille (5 juin 1944) jusqu'au soir du jour J (6 juin 1944). Le scénario du film est directement inspiré d'un livre de Cornélius Ryan, paru en 1959, intitulé également "Le jour le plus long". Ce titre viendrait d'une citation du feld-maréchal Rommel à son aide de camp, trois mois avant le débarquement : " Croyez-moi, Lang, les premières vingt-quatre heures de l'invasion seront décisives... Pour les Alliés, comme pour l'Allemagne, ce sera le jour le plus long." Cornelius Ryan (1920-1974) est un journaliste irlando-américain. Le travail de recherche qu'il a effectué est donc un travail d'investigation journalistique, et non pas un travail d'historien, cette remarque est importante, car elle peut expliquer quelques approximations, voire quelques entorses à la vérité historique, qui n'entament en rien le sérieux de l'entreprise, ni l'honnêteté du projet. Cette enquête, pendant neuf ans, lui fera sillonner l'Europe, questionner une cinquantaine de correspondants de guerre et plus d'un millier de survivants du jour J. Pour ce faire, il bénéficiera de l'aide (intéressée) du Reader's Digest, contre une exclusivité de publication (c'est de bonne guerre, si je peux dire). De cette masse énorme de documentation, Cornelius Ryan tire un ouvrage stupéfiant de vie et de réalisme. Il n'a pas besoin de rajouter du pathétique aux témoignages édifiants qu'il recueille, tous camps confondus. Le découpage chronologique qu'il adopte, enchaînant une série ininterrompue de "tranches de vie", est déjà cinématographique, les scénaristes d'Hollywood auront à fignoler le détail, mais le canevas du film est déjà tout trouvé. Le fait que Ryan soit journaliste et non pas historien lui permet d'avoir une approche "au plus près" des participants (civils et militaires), et de nous faire partager leur émotion. Le livre d'ailleurs donne une place prépondérante aux sentiments des combattants, la peur, le sang, les blessures et la mort, la camaraderie... ce que le film, dans sa dimension épique et, c'est le cas de le dire, hollywoodienne, n'a pas voulu montrer de façon aussi réaliste. Dans la somme de témoignages et d'études sur la Seconde Guerre Mondiale, "Le jour le plus long" fait partie des incontournables. Son succès n'a jamais été mis en cause et le livre est constamment réédité. Signalons que l'auteur a écrit deux autres monuments sur le même modèle : "La dernière bataille : la chute de Berlin" (1966) qui relate les derniers jours de la capitale du Reich en mai 1945, et "Un pont trop loin" (1974) sur l'opération Market Garden aux Pays-Bas (région d'Arnhem), à l'automne 1944. A mettre en bonne place dans votre bibliothèque si vous êtes amateur (amatrice) d'Histoire, et plus encore de celle de la Seconde Guerre Mondiale. Et même si vous n'êtes pas ce type de lecteur, vous trouverez je pense, j’espère, je suis sûr, un intérêt certain à lire ce livre, ne serait-ce que pour le côté humain qu'il développe... Enfin les plus férus en Histoire, les plus ferrés sur le reportage journalistique se réfèreront sans faire de manières vers ces autres auteurs qui appliquent une méthode similaire : Dominique Lapierre et Larry Collins (« Paris brûle-t-il », sur la libération de Paris, « Ou tu porteras mon deuil » sur la vie d’El Cordobès et la Guerre d’Espagne, « O Jérusalem » sur la naissance d’Israël, et « Cette nuit la liberté » sur Gandhi et la naissance de l’Inde moderne.) Plus deux chefs-d’œuvre individuels : pour le premier « La cité de la joie », un reportage bouleversant sur les bidonvilles de Calcutta, pour le second « Fortitude », un roman sur fond historique, (le leurre concernant l’endroit exact du débarquement), à lire, pourquoi pas, en complément du « Jour le plus long » … "Le jour le plus long", dans la mémoire collective, c'est d'abord un film de 1962, un des plus coûteux de tous les temps, ayant mobilisé des dizaines d'acteurs de premier plan américains, anglais, allemands, canadiens et français, des centaines de figurants, des décors, des effets spéciaux, des reconstitutions de bataille comme on en n'avait jamais vu auparavant. Le film retrace de façon chronologique toutes les phases du débarquement depuis la préparation la veille (5 juin 1944) jusqu'au soir du jour J (6 juin 1944). Le scénario du film est directement inspiré d'un livre de Cornélius Ryan, paru en 1959, intitulé également "Le jour le plus long". Ce titre viendrait d'une citation du feld-maréchal Rommel à son aide de camp, trois mois avant le débarquement : " Croyez-moi, Lang, les premières vingt-quatre heures de l'invasion seront décisives... Pour les Alliés, comme pour l'Allemagne, ce sera le jour le plus long." Cornelius Ryan (1920-1974) est un journaliste irlando-américain. Le travail de recherche qu'il a effectué est donc un travail d'investigation journalistique, et non pas un travail d'historien, cette remarque est importante, car elle peut expliquer quelques approximations, voire quelques entorses à la vérité historique, qui n'entament en rien le sérieux de l'entreprise, ni...
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  • MarieCzar 21/01/2022
    Suite à la recommandation de Christophe Lambert dans "La Brèche", j'ai lu "Le Jour le plus long". C'est la deuxième fois que je suis la recommandation de cet auteur et à nouveau je ne suis pas déçue. (La 1ère fois, c'était pour "Un homme de guerre" de Thomas Taylor sur l'inclassable Orde Wingate.) Je n'ai pas vu le film, je ne suis pas friande de films ou de romans de guerre. Mais "Le Jour le plus long" est autre chose. Ce n'est pas un documentaire (bien qu'ultra documenté) ni un roman (bien que très rythmé) mais un récit sur les premières 24 heures du Débarquement. Au lieu de parler des grands mouvements, comme on joue à Risk, Cornelius Ryan nous fait vivre le Débarquement, presque minute par minute, à travers les centaines de destins d'hommes sur le terrain, grâce aux témoignages qu'il a soigneusement compilés. Militaires ou civils, Alliés ou Allemands, sans aucun jugement, il narre les événements petits et grands qui ont fait le Débarquement de Normandie. La peur, la tétanie, le vomi, mais aussi le courage, la volonté, la débrouillardise et parfois un panache à la limite de la folie de tous ces jeunes gens engagés dans une bataille si décisive et si sanglante. Je sais, comme tout le monde, à quoi correspond le Débarquement, mais je n'avais pas idée de l'ampleur humaine et matérielle de cette opération. Cornelius Ryan réussit le tour de force, en un récit dense et sincère, à nous faire vivre le Débarquement.Suite à la recommandation de Christophe Lambert dans "La Brèche", j'ai lu "Le Jour le plus long". C'est la deuxième fois que je suis la recommandation de cet auteur et à nouveau je ne suis pas déçue. (La 1ère fois, c'était pour "Un homme de guerre" de Thomas Taylor sur l'inclassable Orde Wingate.) Je n'ai pas vu le film, je ne suis pas friande de films ou de romans de guerre. Mais "Le Jour le plus long" est autre chose. Ce n'est pas un documentaire (bien qu'ultra documenté) ni un roman (bien que très rythmé) mais un récit sur les premières 24 heures du Débarquement. Au lieu de parler des grands mouvements, comme on joue à Risk, Cornelius Ryan nous fait vivre le Débarquement, presque minute par minute, à travers les centaines de destins d'hommes sur le terrain, grâce aux témoignages qu'il a soigneusement compilés. Militaires ou civils, Alliés ou Allemands, sans aucun jugement, il narre les événements petits et grands qui ont fait le Débarquement de Normandie. La peur, la tétanie, le vomi, mais aussi le courage, la volonté, la débrouillardise et parfois un panache à la limite de la folie de tous ces jeunes gens engagés dans une bataille si...
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  • Polomarco 11/04/2021
    Le débarquement allié du 6 juin 1944 en Normandie, comme si vous y étiez. Pendant neuf ans, Cornelius Ryan a recueilli plus de mille témoignages, allemands, américains, anglais, français, pour raconter l'histoire du Jour J. Ou plutôt pour illustrer la grande Histoire par des petites histoires qui, ajoutées et coordonnées les unes aux autres, constituent une sorte de puzzle très complet. Toutes les anecdotes et tous les faits relatés donnent en effet du Jour J une vision d'ensemble et détaillée à la fois : ainsi, au sérieux de la documentation, se joint le caractère vivant du récit. L'ensemble se lit donc comme un roman, avec un intérêt soutenu, même si chacun connaît la fin de l'histoire, avant de l'avoir lue. On apprend que les critères de choix du Jour J étaient un clair de lune tardif, pour permettre aux dix-huit mille hommes de l'infanterie parachutiste d'atterrir par nuit noire, et une marée basse peu après l'aube, pour que les obstacles construits par les Allemands soient visibles (page 58). On découvre qu'il y avait vingt-et-un convois vers les plages "américaines" d'Utah et d'Omaha, et trente-huit vers celles, "anglo-canadiennes", de Gold, Juno et Sword, représentant cinq mille navires, appuyés par neuf mille avions (page 178). Trois parties composent l'ouvrage : l'attente, la nuit, la journée. Au fil de ces vingt-quatre heures, des anecdotes font vivre chaque moment avec réalisme et intensité. La plupart des personnages sont cités à plusieurs reprises. Dans cette galerie de portraits, des personnages majeurs et connus côtoient d'humbles soldats, qui ne sont pas passés à la postérité : on passe ainsi d'Eisenhower, Commandant en chef des Armées alliées, à qui revenait l'ordre de déclencher l'Opération Overlord, au Major Werner Puskat, qui, le premier, découvrit, de son bunker dominant la plage d'Omaha Beach, l'incroyable spectacle de l'armada du Débarquement ; le livre s'ouvre et se referme par ailleurs sur le feld-maréchal Erwin Rommel, qui avait déclaré que le premier jour de l'invasion serait le jour le plus long... Un film du même nom est tiré du livre. Une fois le livre lu, il faut donc voir le film. Et surtout, se rendre sur place et visiter l'un des nombreux cimetières militaires. A Colleville, juste au-dessus de la plage d'Omaha la sanglante, où 2.500 soldats américains moururent le 6 juin 1944, les tombes qui s'étendent presque à perte de vue, nous invitent à rendre hommage à ces héros de la Liberté. Le débarquement allié du 6 juin 1944 en Normandie, comme si vous y étiez. Pendant neuf ans, Cornelius Ryan a recueilli plus de mille témoignages, allemands, américains, anglais, français, pour raconter l'histoire du Jour J. Ou plutôt pour illustrer la grande Histoire par des petites histoires qui, ajoutées et coordonnées les unes aux autres, constituent une sorte de puzzle très complet. Toutes les anecdotes et tous les faits relatés donnent en effet du Jour J une vision d'ensemble et détaillée à la fois : ainsi, au sérieux de la documentation, se joint le caractère vivant du récit. L'ensemble se lit donc comme un roman, avec un intérêt soutenu, même si chacun connaît la fin de l'histoire, avant de l'avoir lue. On apprend que les critères de choix du Jour J étaient un clair de lune tardif, pour permettre aux dix-huit mille hommes de l'infanterie parachutiste d'atterrir par nuit noire, et une marée basse peu après l'aube, pour que les obstacles construits par les Allemands soient visibles (page 58). On découvre qu'il y avait vingt-et-un convois vers les plages "américaines" d'Utah et d'Omaha, et trente-huit vers celles, "anglo-canadiennes", de Gold, Juno et Sword, représentant cinq mille navires, appuyés par neuf mille avions...
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