Les douze d'Aritsar - Roman Fantasy

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Caperuzalexane 07/01/2024

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  Cela faisait un moment que ce livre dormait dans ma bibliothèque. Le synopsis paraissait un peu bateau mais l'univers très original pour le coup ! Et quelle ne fut pas ma surprise lors de cette lecture. Je n'ai vraiment pas été déçue. J'ai adoré l'univers fantastique de ce roman, le fantastique africain m'a vraiment subjuguée. Les personnages sont si purs.. ils ont chacun une âme qui m'a touchée. Leurs relations ne sont faites que d'amour, il n'y a jamais de vices. Le résumé me semblait bateau alors que je n'ai jamais rien vu venir. L'histoire est très bien construite et j'ai été surprise à chaque révélation. J'attends la suite avec impatience !!
• Milie_Baker 19/08/2023

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  Tarisaï n'est née que pour accomplir une chose : tuer l'empereur d'Aritsar. Élevée par sa mère dans la froideur, la discipline et son objectif de meurtre bien en tête, la jeune femme ne connaît ni le libre-arbitre, ni la vérité sur ses origines. Alors le jour où elle se retrouve dans le palais pour devenir faire partir du célèbre cercle des onze, les plus proches conseillés de l'empereur, toutes ses certitudes s'écroule et elle ne sait plus qui croire ou quoi faire. Persuadée de pouvoir éviter le terrible destin décidé à sa naissance, Tarisaï va tout faire pour rester maître de ses choix et aider au mieux le peuple d'Aritsar, laissé de côté depuis bien trop longtemps. Un premier tome avec beaucoup de rebondissements, de personnages très intéressants, forts avec des qualités et des histoires très différentes. Une très bonne surprise !
• LudivineBon 16/08/2023

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  Tarisaï n’est pas une jeune fille comme les autres. Elle vit dans une villa que personne ne voit. Sa mère a fait exaucé deux de ses vœux auprès d’un alagbato devenu ehru. Son premier vœu était de créer une villa où elle pourrait élever sa fille en toute discrétion. Pour son deuxième souhait, La Dame, comme tout le monde l’appelle, a demandé que Melu le ehru lui fasse un enfant. Bien que contre nature, de cette union naquit Tarisaï. Comme dernier souhait, La Dame aussi insensible que perfide, demanda à Tarisaï de tuer le fils de l’Empereur, Ekundayo, dit Dayo et futur Empereur. Tarisaï n’a alors que 11 ans. A cet âge on ne mesure pas l’importance de ce souhait. Tarisaï devra aimer Dayo pour le tuer plus facilement. Aimer Dayo c’est entrer dans son Conseil. 11 êtres choisis dans le royaume pour entourer le prince. Ils seront douze à régner. Mais ils doivent d’abord apprendre et se former, chacun dans une spécialité, chacun avec un don, un bienfait qui les rend unique. Celui de Tarisaï, c’est de manipuler les souvenirs. Elle ne le sait pas encore mais ce don va l’emmener bien au-delà des exigences de La Dame. Elle sera envoyé à la sélection du conseil afin d’aimer Dayo. Mais elle aura toujours en elle le souhait à exaucer. Sera-t-elle assez forte pour résister à son destin ? Elle a désormais 16 ans, a été consacrée mais devra faire les bons choix pour protéger Dayo et se libérer de l’emprise de sa mère et libérer son père. Une fresque féerique dans laquelle se mêle habilement croyances et surnaturel. On est plongé dans un monde à la fois merveilleux et dangereux ou la vie de Tarisaï va prendre une autre dimension. C’est plaisant à lire, riche en personnages et prenant. On découvre petit à petit les origines de ce royaume et ceux du Conseil. Une belle lecture. Un premier tome réussi. Hâte de lire la suite des aventures de Tarisaï, Woo-in, Kathleen, Sanjeet, Kirah, Dayo et tous les autres.Tarisaï n’est pas une jeune fille comme les autres. Elle vit dans une villa que personne ne voit. Sa mère a fait exaucé deux de ses vœux auprès d’un alagbato devenu ehru. Son premier vœu était de créer une villa où elle pourrait élever sa fille en toute discrétion. Pour son deuxième souhait, La Dame, comme tout le monde l’appelle, a demandé que Melu le ehru lui fasse un enfant. Bien que contre nature, de cette union naquit Tarisaï. Comme dernier souhait, La Dame aussi insensible que perfide, demanda à Tarisaï de tuer le fils de l’Empereur, Ekundayo, dit Dayo et futur Empereur. Tarisaï n’a alors que 11 ans. A cet âge on ne mesure pas l’importance de ce souhait. Tarisaï devra aimer Dayo pour le tuer plus facilement. Aimer Dayo c’est entrer dans son Conseil. 11 êtres choisis dans le royaume pour entourer le prince. Ils seront douze à régner. Mais ils doivent d’abord apprendre et se former, chacun dans une spécialité, chacun avec un don, un bienfait qui les rend unique. Celui de Tarisaï, c’est de manipuler les souvenirs. Elle ne le sait pas encore mais ce don va l’emmener bien au-delà des exigences de La Dame. Elle...

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• UnLivreDansMaValise 23/07/2023

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  Pour une paix durable, 12 royaumes africains ont uni leurs forces sous une seule bannière : celle du Rayon, avec à sa tête un empereur et 11 conseillers, qui une fois désignés vont vivre tous ensemble pour gouverner et servir leur chef suprême. Mais quand arrive le temps de constituer un nouveau conseil pour Dayo, le fils de l’empereur qui se préparer à prendre la tête d’Aritzar, une malédiction resurgit : la Dame est bien décidée à faire échouer ce projet en utilisant Tarisaï, sa propre fille comme une arme. Ce premier tome de fantasy dans des paysages africains est une belle réussite ! L’intrigue des Douze d’Aristar autour du pouvoir permet d’aborder des sujets personnels : devons-nous suivre le chemin choisi par nos parents ou une autre voie que l’on préfère ? Peu à peu, le roman dévoile des pans d’histoire de chaque protagoniste. Comment ne pas s’attacher à la personnalité de Sanjeet, le colosse ou de Kirah qui guérit avec ses chants ? Entre lumière et ombre, chacun apprend à vivre avec ses forces et ses faiblesses.
• Sophielit 20/07/2023

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  C’est la couverture qui m’a tout de suite intriguée et le résumé est particulièrement efficace : « Elle était née pour le tuer… mais elle a promis de le protéger. » Et là on se dit que ça tombera forcément dans la romance un peu facile, mais… du tout ! En fait, ce livre est vraiment dans une classe à part. À la fois pour le contexte et la culture africaine qui y est mise de l’avant, ce qui est rare dans les romans de fantasy pour ados, puis par la complexité de son intrigue, qui offre une quantité de nuances, tant dans l’évolution du récit que des personnages.