Un roman tout en délicatesse pour raconter les émois, les rêves et l’intrusion du drame chez une génération insouciante.
Psychologies magazine
De sa plume délicate, l'auteur s'inspire de faits réels pour disséquer la fin de l’insouciance adolescente dans la langueur de juillet 1985. L’écriture, épurée, est bouleversante.
Claire Lefebvre / La Voix du Nord
Une chronique sensible et prenante d'un passage brutal à l'âge adulte.
Philippe Chevilley / Les Echos
"Un soir d'été" possède le charme suranné propre au style de Philippe Besson. Et à sa façon de peindre un drame par petites touches, le rendant d'autant plus cruel.
Nathalie Dupuis / ELLE
Philippe Besson s'inspire d'une histoire vécue pour construire un récit fait de pudeur, d'émotions, de tendresse et de pleurs.
Madame Figaro
Une œuvre toujours aussi émouvante qui fixe, comme une succession de Polaroïds, ces instantanés qui racontent des vies simples et désarçonnées.
Sébastien Dubos / La Dépêche du Midi
Un texte magnifique.
S.B. / Le Parisien
Philippe Besson ne cesse jamais, dans ses livres les plus ardents, les plus déchirants — comme c'est le cas ici —, de revenir "sur la privation insupportable de l'autre".
Jacques Lindecker / L'Alsace
Un récit lumineux sur la fin de l'insouciance.
La Tribune
Insouciance, frivolité, joie... et de la mélancolie.
Le Quotidien
Un garçon disparaît en Ré.
Charline Guerton-Delieuvin / Libération
Philippe Besson émeut de sa plume élégante, qui exprime beaucoup en peu de mots. Son récit intense et mélancolique ne s’oublie pas et son évocation d’une génération rappelle combien tout a changé. La nostalgie est ici à son meilleur.
Anne Michelet / Femina
Philippe Besson écrit comme le soleil frappe un éclat de verre, rendant à la lumière ce qui était brisé.
Elise Lépine / Le Point
Mémoire d’une parenthèse solaire bientôt assombrie, Philippe Besson signe quarante ans après les faits le plus saganien de ses romans. Avec son don d’offrir refuge aux troubles naissants, d’encapsuler de son écriture fluide la vulnérabilité des êtres et les regards qui se cherchent, il restitue les contours précis de l’insouciance dont on découvre la grâce lorsqu’elle s’évapore, séchée par une tragédie.
Frédérique Bréhaut / Le Courrier de l'Ouest
De sa plume si particulière, il dissèque avec justesse ce moment où la vie bascule et nous fait entrer dans l'âge adulte.
Télé Loisirs
Un soir d'été est une bouteille à la mer, un casse-tête terrifiant dont le
dénouement que l'on croit invariablement détenir à mi-lecture, désarme implacablement. Philippe Besson suture la nostalgie avec ce qu'il y a de plus doux et d'amer, tout en questionnant formidablement notre rapport aux autres.
Marie Jouvin / Ouest France
La plume élégante de Philippe Besson mise sur la sincérité dans ce
récit doux-amer. Doux comme des vacances adolescentes, amer
comme l’entrée brutale dans l’âge adulte.
Laëtitia Déprez / Courrier picard
En véritable orfèvre des émotions, il décrit à merveille les sensations de l'adolescence.
Gala
L'écriture, épurée, est bouleversante.
L'Ardennais
Tant de romans ont été écrits sur la fin de l’adolescence. Celui de Besson a une saveur particulière, grâce à un ingrédient, le mystère, qui se marie si bien aux souvenirs, mais ne s’évapore pas comme eux, emportés par le vent du passé.
Pierre Vavasseur / Le Parisien
Un roman/souvenir mélancolique dont la force réside, plus encore que dans les événements relatés, dans les états d’âme et d’époque déposés sur chaque page.
Le Devoir
Difficile de trouver plume plus délicate que celle de Philippe Besson pour raconter, dans ce roman très autobiographique, les émois et tourments des jeunes gens. Remuant
I.B. / Avantages
Un roman magnifique, une exploration de ces événements qui s’imposent à vous et vous changent à jamais.
La Semaine de Nancy
Poignant et romanesque.
Le Soir
Laisser le réel s’estomper pour qu’y entre la littérature : une belle idée parfaitement mise en œuvre dans ce roman qui regarde en face un drame et le dépasse en devenant un objet littéraire de grande qualité.
La Dépêche du Midi