Et chaque fois, mourir un peu - Livre 2 Trauma(s) : Le livre de Karine Giebel
LE NOUVEAU THRILLER DE KARINE GIEBEL :
Avec
Trauma(s), Karine Giebel met un point final à son roman
Et chaque fois, mourir un peu.
Après des années sur le front sans arme ni gilet pare-balle, après des années à soigner les autres au péril de sa vie sous l'égide de la croix rouge internationale, après avoir pris de plus en plus de risques jusqu'au risque de trop, une autre guerre attend Grégory.
Lors d'une dernière mission en Afghanistan les rôles s'inversent : les humanitaires deviennent des cibles.
Après tous les combats qu'il a menés, Grégory va devoir sauver sa propre vie et celle de ses collègues.
Plongez dans le nouveau thriller de Karine Giebel.
UN ROMAN COUP DE POING :
TRAUMA(S) est la suite du
Blast: Et chaque fois mourir un peu - Livre 1, paru en mars.
Ce roman policier humaniste s'inscrit dans la veine des textes engagés de Karine Giebel, où l'ombre cotoie la lumière avec un personnage principal bouleversant.
L'adaptation télé du best seller
Jusqu'à ce que la mort nous unisse a été multi diffusée sur francetv, et a réuni chaque fois des millions de téléspectateurs.
L'AUTRICE AUX 2 MILLIONS DE LIVRES VENDUS :
Avec plus de 2 millions de livres vendus à travers le monde, Karine Giebel s'est forgée une place à part dans le paysage littéraire français (
Glen Affric,
Ce que tu as fait de moi,
Toutes blessent, la dernière tue,
Meurtres pour rédemption ...).
Son treizième roman est un thriller psychologique bouleversant. Karine Giebel, indétrônable créatrice d'émotions fortes et authentiques, nous plonge au plus profond de l'âme humaine. Les livres de Karine Giebel se sont vendus à plus de 2 millions d'exemplaires en France où elle est considérée comme la reine du roman policier. Chacune de ses parutions est un événement et un
best-seller, elle est traduite dans une dizaine de pays et ses livres sont en cours d'adaptation à la télévision et au cinéma.
Trauma(s), et chaque fois, mourir un peu: Thriller de Karine Giebel. Livre nouveauté 2024.
De (auteur) : Karine Giebel
Expérience de lecture
Avis Babelio
Lolatanev
• Il y a 2 mois
Et chaque fois, affronter le pire, quitter les siens et ne savoir jamais si l’on reviendra, si tout ce qu’on laisse derrière soi sera intact Et chaque fois, côtoyer la mort, les cris, l’effroi, la douleur, la torture, l’injustice Et chaque fois, être confronté à la guerre, aux conflits, aux yeux vitreux , aux âmes errantes, au flot incessant des disparus, des malades, des condamnés Et chaque fois, mourir un peu Ce second opus m’a rappelé pourquoi j’aimais tant Karine, non pas que je l’avais oublié, mais comme elle s’était éloigné de ce que je connaissais d’elle, j’avais peur de perdre le fil. Mais il n’en fut rien. J’ai retrouvé les sensations propres à mes lectures de ses romans, le corps qui se tord de douleur, les doigts déchiquetés, les dents qui claquent, la vue qui se brouille, les larmes qui s’écoulent à chaque battement de paupières, le cœur qui se calque sur mon rythme de lecture : saccadé. Le souffle court. Cette transe unique, cette histoire qui prend vie en moi, dans mon corps. Gregory, je crois que nous avions mal commencé, je voyais en toi cet humanitaire brillant, courageux, ambitieux et prêt à sacrifier sa vie pour les autres sans aucune hésitation, pourtant, je te sentais égoïste, je te voyais sans arrêt quitter ta famille sans vergogne, ou presque, tout était tourné autour de tes missions et bien qu’elles soient poignantes, je te trouvais presque redondant. Et puis ce tome 2 est arrivé. Dans « traumas » je t’ai redécouvert, je t’ai enfin cerné et tu m’as, d’abord, effrayée, pour mieux me toucher, me bouleverser, ensuite. Après avoir eu peur de toi, j’ai eu peur pour toi. Et que dire de Paul, que je pensais secondaire et qui n’est autre que le personnage le plus humain et le plus touchant de tous. Ce roman m’a profondément émue, je n’ai pas su contrôler le flot continu de mes larmes, de mes pleurs bruyants tant la douleur était forte. Et plus d’une fois, j’ai cru mourir, je suffoquais parce que tout me paraissait si réel, si palpable, je pouvais presque toucher Paul, Grégory, Anton, Zina, Chantal, Charlène, Séverine, Antony, Josselin, Fabien.. Ce roman évoque certes la guerre et les humanitaires, mais convoque par dessus tout, ce qu’il peut nous rester d’humanité après avoir vécu ce que l’homme peut faire de pire. Il est d’actualité et terriblement nécessaire. C’est un ouvrage d’une telle intensité qu’il sera parfois difficile à supporter, mais il faut connaître et se confronter à nos plus grandes peurs, à nos traumatismes et ne pas négliger toutes les séquelles de ces derniers. Il interroge la folie qui attend terrée en nous, prête à surgir, à rugir. Lisez-le, (mais soyez conscients de tout ce qu’il peut renfermer avant) parce qu’au bout du tunnel, terrée aussi, subsiste cette flamme qu’on nomme espoir et qui nous est tant essentielle en ces temps incertains. Lire Karine Giebel, c’est se sentir vivant, oui, dans la souffrance et la douleur, mais se sentir plus vivant que nul part ailleurs.
Lolatanev
• Il y a 2 mois
Et chaque fois, affronter le pire, quitter les siens et ne savoir jamais si l’on reviendra, si tout ce qu’on laisse derrière soi sera intact Et chaque fois, côtoyer la mort, les cris, l’effroi, la douleur, la torture, l’injustice Et chaque fois, être confronté à la guerre, aux conflits, aux yeux vitreux , aux âmes errantes, au flot incessant des disparus, des malades, des condamnés Et chaque fois, mourir un peu Ce second opus m’a rappelé pourquoi j’aimais tant Karine, non pas que je l’avais oublié, mais comme elle s’était éloigné de ce que je connaissais d’elle, j’avais peur de perdre le fil. Mais il n’en fut rien. J’ai retrouvé les sensations propres à mes lectures de ses romans, le corps qui se tord de douleur, les doigts déchiquetés, les dents qui claquent, la vue qui se brouille, les larmes qui s’écoulent à chaque battement de paupières, le cœur qui se calque sur mon rythme de lecture : saccadé. Le souffle court. Cette transe unique, cette histoire qui prend vie en moi, dans mon corps. Gregory, je crois que nous avions mal commencé, je voyais en toi cet humanitaire brillant, courageux, ambitieux et prêt à sacrifier sa vie pour les autres sans aucune hésitation, pourtant, je te sentais égoïste, je te voyais sans arrêt quitter ta famille sans vergogne, ou presque, tout était tourné autour de tes missions et bien qu’elles soient poignantes, je te trouvais presque redondant. Et puis ce tome 2 est arrivé. Dans « traumas » je t’ai redécouvert, je t’ai enfin cerné et tu m’as, d’abord, effrayée, pour mieux me toucher, me bouleverser, ensuite. Après avoir eu peur de toi, j’ai eu peur pour toi. Et que dire de Paul, que je pensais secondaire et qui n’est autre que le personnage le plus humain et le plus touchant de tous. Ce roman m’a profondément émue, je n’ai pas su contrôler le flot continu de mes larmes, de mes pleurs bruyants tant la douleur était forte. Et plus d’une fois, j’ai cru mourir, je suffoquais parce que tout me paraissait si réel, si palpable, je pouvais presque toucher Paul, Grégory, Anton, Zina, Chantal, Charlène, Séverine, Antony, Josselin, Fabien.. Ce roman évoque certes la guerre et les humanitaires, mais convoque par dessus tout, ce qu’il peut nous rester d’humanité après avoir vécu ce que l’homme peut faire de pire. Il est d’actualité et terriblement nécessaire. C’est un ouvrage d’une telle intensité qu’il sera parfois difficile à supporter, mais il faut connaître et se confronter à nos plus grandes peurs, à nos traumatismes et ne pas négliger toutes les séquelles de ces derniers. Il interroge la folie qui attend terrée en nous, prête à surgir, à rugir. Lisez-le, (mais soyez conscients de tout ce qu’il peut renfermer avant) parce qu’au bout du tunnel, terrée aussi, subsiste cette flamme qu’on nomme espoir et qui nous est tant essentielle en ces temps incertains. Lire Karine Giebel, c’est se sentir vivant, oui, dans la souffrance et la douleur, mais se sentir plus vivant que nul part ailleurs.
Folledelivress
• Il y a 2 mois
Il y a des livres qui bousculent, qui happent et qui laissent une empreinte indélébile. Ce roman en fait partie. Alors oui, j’ai trouvé quelques longueurs par moment, mais je crois qu’elles étaient nécessaires pour la construction du roman. On y retrouve Grégory, ce médecin qui a toujours mis sa vie entre parenthèses pour sauver celle des autres. Un homme qui, après avoir frôlé la mort tant de fois, se retrouve cette fois en première ligne, pris au piège d’une guerre où il n’est plus un soignant mais une cible. L’écriture de Karine Giebel, tranchante et viscérale, nous plonge dans un enfer où l’adrénaline se mêle au désespoir. On court aux côtés de Grégory, on tremble, on espère. Mais l’espoir, ici, est un luxe fragile. Chaque page est une déflagration, chaque mot un coup porté à l’âme. Ce livre n’est pas seulement un thriller, c’est un cri. Un cri de rage contre la violence du monde, contre l’injustice qui fauche les innocents, contre cette guerre qui ne dit pas son nom mais broie tout sur son passage. Et surtout, c’est une ode à ces hommes et ces femmes qui, malgré tout, continuent de croire en l’humanité. On referme ce livre le cœur serré, épuisé, bouleversé. Parce que Karine Giebel ne raconte pas seulement une histoire. Elle nous la fait vivre. Et survivre. Grégory et Paul, à jamais dans mon cœur !
Folledelivress
• Il y a 2 mois
Il y a des livres qui bousculent, qui happent et qui laissent une empreinte indélébile. Ce roman en fait partie. Alors oui, j’ai trouvé quelques longueurs par moment, mais je crois qu’elles étaient nécessaires pour la construction du roman. On y retrouve Grégory, ce médecin qui a toujours mis sa vie entre parenthèses pour sauver celle des autres. Un homme qui, après avoir frôlé la mort tant de fois, se retrouve cette fois en première ligne, pris au piège d’une guerre où il n’est plus un soignant mais une cible. L’écriture de Karine Giebel, tranchante et viscérale, nous plonge dans un enfer où l’adrénaline se mêle au désespoir. On court aux côtés de Grégory, on tremble, on espère. Mais l’espoir, ici, est un luxe fragile. Chaque page est une déflagration, chaque mot un coup porté à l’âme. Ce livre n’est pas seulement un thriller, c’est un cri. Un cri de rage contre la violence du monde, contre l’injustice qui fauche les innocents, contre cette guerre qui ne dit pas son nom mais broie tout sur son passage. Et surtout, c’est une ode à ces hommes et ces femmes qui, malgré tout, continuent de croire en l’humanité. On referme ce livre le cœur serré, épuisé, bouleversé. Parce que Karine Giebel ne raconte pas seulement une histoire. Elle nous la fait vivre. Et survivre. Grégory et Paul, à jamais dans mon cœur !
Avis des membres
Fiche technique du livre
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- Genres
- Policiers & Thrillers , Thrillers
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- EAN
- 9782385771379
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- Collection ou Série
- Récamier Noir
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- Format
- Livre numérique
-
- DRM
- Filigrame numérique
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