Vous parler de mon fils : Le livre de Philippe Besson

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Julliard

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" Je vous demande de vous mettre à notre place. Un instant. Rien qu'un instant. Votre enfant vient vous raconter l'humiliation, la persécution, le bannissement. C'est votre fils, votre fille, il a douze ans, elle en a huit ou quatorze. C'est la chair de votre chair, ce que vous avez de plus précieux au monde. C'est l'être que vous devez protéger, défendre, soutenir, aider à grandir. Et il vient vous avouer cela. Vous y êtes ? Vous la devinez, votre stupéfaction ? votre culpabilité ? votre douleur ? votre colère ? Ça vous envahit, pas vrai ? ça vous submerge, ça vous dépasse, ça vous anéantit. Et ça, ce n'est que le début. Que les toutes premières minutes. "

De (auteur) : Philippe Besson

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Expérience de lecture

Avis des libraires

C'est un crève-cœur, ça fout les nerfs et les frissons. Tous les mots sont à fleur de peau, ultrasensibles, pesés et émouvants. (...) Un signal d'alarme hyper poignant sur le harcèlement, les formes qu'il prend et ses conséquences.
Albin Michel
Tragique et beau à la fois !
De la poésie malgré la tristesse de ce père qui raconte.
La Liste de mes envies
C'est un roman qui est d'utilité publique et qui décortique très bien le harcèlement scolaire et tout ce que cela entoure. Un beau roman, bouleversant.
Librairie Cajelice
Un roman extrêmement bouleversant et d'une grande finesse d'analyse.
AudeBouqine
L'expérience de lecture est âpre, douloureuse. On en sort brisé autant que révulsé, preuve de la puissance dévastatrice de ce tour de force littéraire.
Fnac
Livre de chagrin et de colère, implacable réquisitoire contre la violence ordinaire et la bêtise
Tribune de Genève
Comment Philippe Besson fait-il pour écrire des textes si puissants et si justes sur des drames qui habitent notre quotidien ? |Sandrine Bajos
Le Parisien
Philippe Besson est un romancier de notre époque. Il en sent les mouvements, en vit les soubresauts, les drames. |Jean-Claude Perrier
Livres Hebdo
Un livre de chagrin et de colère, un implacable réquisitoire contre la violence ordinaire et la bêtise|Johanna Rolandeau
24 Heures
Une exploration bouleversante des failles de l'institution scolaire.|Alice Leroy
Entrevue
Philippe Besson trouve les mots justes pour dire cette douleur, cet étau qui enserre les côtes jusqu'à les rompre.|Sébastien Dubos
La Dépêche
L'expérience de lecture est âpre, douloureuse. On en sort brisé autant que révulsé, preuve de la puissance dévastatrice de ce tour de force littéraire|Léonard Desbrières
L'Éclaireur FNAC
Philippe Besson porte son regard sur un terrible fléau en conservant la sensibilité et la justesse qu'on lui connaît. |Alexandre Fillon
Le Télégramme
Un texte poignant. |Michel Litout
L'Indépéndant
Un témoignage en forme de confession. Bouleversant.
La Charente Libre
Un roman choc. |Isabelle de Montvert-Chaussy
Sud-Ouest
Philippe Besson s'attaque au fléau du harcèlement scolaire. Un réquisitoire implacable. |Isabelle Raepsaet
La Voix du Nord
Un récit poignant sur les relations humaines, témoin d'une famille ordinaire, qui voit, impuissante, son quotidien basculer.
Le Républicain
"Dans ce roman incandescent qui nous brûle le cœur et nous ouvre les yeux, le père nous parle de son fils, Philippe Besson nous parle à nous, de nous, nous alerte pour que nous ayons les bons mots, les bons gestes, la bonne attitude, car la noirceur du monde, ça n'arrive pas qu'aux autres."
Madame Figaro
Un livre non seulement délicat et bouleversant, mais impitoyablement éclairant sur une mécanique dévastatrice. Il y a ici, discrète mais patente, une dimension politique qui inscrit ce roman au nombre des œuvres donnant à comprendre l'époque.
Territoires romanesques
Une lecture poignante mais nécessaire sur le deuil et la difficulté à continuer d'avancer après la mort d'un enfant.
Haut Anjou
Un récit qui s'incruste dans notre cruel aujourd'hui. |Jacques Franck
La Libre Belgique
Sur le sujet douloureux du suicide d'un adolescent proie du harcèlement scolaire, Philippe Besson capte les battements d'un fléau destructeur.|Frédérique Bréhaut
Le Maine Libre
Un livre nécessaire sur le harcèlement scolaire en collège, ou comment on passe à côté du pire.
Librairie de Corinne
Un roman puissant et intense, comme un crève cœur. Une lecture bouleversante, percutante, toute en justesse. Qui nous bouscule, nous révolte, nous remue, nous alarme, à bout de souffle, cœur en miettes. Tellement nécessaire.
Librairie l'Alchemist
Une lecture essentielle, qui questionne notre devoir de protection et d'amour.
Librairie de l'Étoile
Quelle justesse et quelle nécessité. Philippe Besson s'empare avec son élégance habituelle d'un fléau de notre société malheureusement toujours actif : le harcèlement scolaire. Il FAUT lire ce livre car chacune de ses pages nous améliore collectivement.
Librairie Les mots et les choses
C'est fort, c'est implacable aussi tant toutes les dynamiques menant au geste fatal sont décortiquées les unes après les autres, la plus puissante étant évidemment le déni, celui du principal du collège, des harceleurs ou de leurs parents... Comment être parent, et comment avoir foi en nos semblables après tout cela ? Puisse ce livre faire évoluer nos consciences sur ce sujet malheureusement trop souvent d'actualité.
Librairie Sensations
Un roman poignant et plein d'émotions sur un grave phénomène de société.
Librairie Sauramps
Un récit tendu porté par une écriture sèche, " à l'os ", pour raconter la douleur indicible de parents dévastés – un roman à la beauté grave – poignant
Librairie La Montée du Soir
Avec une grande justesse, celui-ci nous raconte le deuil de parents dont l'enfant a été victime de harcèlement scolaire. Une tragédie poignante !
Librairie Studio Livres
Dans ce roman poignant, un père endeuillé retrace le calvaire de son fils Hugo, victime de harcèlement scolaire. Philippe Besson y exprime avec une sensibilité rare les thèmes du deuil, de la culpabilité et de l'impuissance parentale face à la violence subie par leur enfant.
Librairie Gibert
Une histoire bouleverstante. Un phénomène de société révoltant. Un texte poignant.
Librairie Tome 7
J'ai versé toutes les larmes de mon corps en lisant ce livre. Accrochez-vous car il est absolument poignant.
Fnac
La voix d'un père qui raconte l'impensable, la perte d'un enfant. Dans son nouveau roman, Philippe Besson pointe du doigt l'impuissance générale face au harcèlement scolaire. Comment vivre après cela ? Un texte poignant et nécessaire.
Librairie Torcatis
Philippe Besson dévoile avec délicatesse et minutie ce " continent ", la géographie tentaculaire, expansionniste, implacable, du harcèlement.|Jacques Lindecker
L'Alsace
Une analyse fine du harcèlement et de la culpabilité de ceux qui restent.|Maïa Sieurin
Libération
Un roman saisissant sur un mal contemporain.|François Lestavel
Paris Match
C'est un livre d'utilité publique, que tous les parents devraient lire.|Coline Chardon
Nice Matin
Un roman qui bouscule, qui interroge.|Stéphane Mena
L'Écho Républicain
Un tsunami émotionnel à lire absolument !
L'île Livre
La magie de la littérature et de l'écrivain. Mettre des mots sur des maux avec une force, une puissance, une justesse qui vous liassent sonnée et complètement bouleversée
Leclerc
Il décortique avec sa délicatesse bouleversante la tragédie contemporaine du harcèlement scolaire.
La Voix du Nord
C'est un réquisitoire d'une infinie justesse contre l'un des fléaux de notre époque.|Nathalie Dupuis
Elle
Avec finesse et empathie, Philippe Besson décortique le phénomène du harcèlement scolaire. Et ça broie le cœur.|I. B.
Avantages
Un roman de notre temps, lucide et sensible.|Philippe Chevilley
Les Échos
Le livre de Philippe Besson est grand.|Anne Crignon
Le Nouvel Obs
Rare sont les personnes pouvant prétendre à une telle qualité d'écriture ! Splendide !
Vivement Dimanche
L'impuissance de ce couple face à la souffrance de leur fils, l'incompétence du personnel de son collège ainsi que l'indifférence des paretns des harceleurs, tout dans ce roman a un goût de réel percutant.
Furet du Nord
EFFROYABLE mais NÉCESSAIRE !! Le harcèlement scolaire, raconté avec justesse & émotions...
Librairie du Théâtre
Le livre CHOC et BOULEVERSANT de cette rentrée littéraire de janvier 2025.
Cultura Bordeaux
Un grand texte de Philippe Besson sur un sujet pourtant pas facile. Il m'étonne une fois encore..
Cédille
Bouleversant et révoltant, ce roman ne peut pas vous laisser indifférent.
Cultura Auxerre
Déchirant et cependant nécessaire.
Rose des vents
La justesse des mots, des sentiments : impeccables, imparables. Philippe Besson n'a pas son pareil pour retranscrire les émotions, aussi fortes, aussi douloureuses soient-elles.|Karine Leroy
Paris-Normandie
Ce livre, fort et engagé, sonne comme un cri d'alarme et s'impose comme une lecture incontournable.|Muriel Mingau
L'écho Républicain
Un texte bouleversant au gré duquel le lecteur, en totale empathie avec ce père endeuillé, ressent impuissance, tristesse, dégoût, colère.|Florence Pitard
Ouest France Dimanche
Un roman dur, tellement simple dans sa construction et son écriture, tellement délicat qu'il fait apparaître encore davantage le tragique du drame qu'il raconte.|Jean-Claude Vantroyen
La tribune de Genève
Un chant d'amour et de deuil, un cri de colère contre une société qui laisse, et pour combien de temps encore, certains enfants saccager tout, jusqu'au néant|Elise Lepine
Le Point
Avec finesse et empathie, Philippe Besson décortique le phénomène du harcèlement scolaire. Et ça broie le cœur. |I. B.
Magazine Avantages
Un monologue qui bouleverse et émeut. |Marion GRENES
La Provence

Avis Babelio

luniversdesgwen

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 5 mois

Le livre de Philippe Besson est à la fois percutant et émouvant, et ne laisse personne indifférent. Après avoir terminé cette lecture, j'étais à la fois triste et en colère, submergée par une avalanche d'émotions. Nous sommes submergés par une remise en question considérable. Et on se demande : 'Qu'est-ce que je ferais si cela arrivait à mon fils, ma fille, mon neveu, mon filleul ? Je pense que tout être humain aurait agi de la même manière que cette maman.' Les victimes de harcèlement sont mises en avant par l'auteur, ces jeunes qui ne peuvent pas se défendre contre leurs agresseurs. Néanmoins, il ne se cantonne pas à cela. Il étudie aussi la souffrance des parents, ces victimes potentielles souvent ignorées, confrontées à leur impuissance. Philippe Besson aborde avec une grande acuité un problème sociétal extrêmement actuel : le harcèlement scolaire. Est-ce que vous saviez que 11 % des adolescents en sont victimes ? Ce chiffre épouvantable témoigne d'un problème qui est encore largement sous-estimé. L'écrivain fait preuve d'une grande habileté dans la description des mécanismes psychologiques qui se développent au sein d'une famille touchée par le drame. Les parents sont confrontés à la culpabilité, aux 'et si' qui les tourmentent, à l'incompréhension, mais aussi à la colère et au ressentiment envers les bourreaux de leur enfant. Une œuvre essentielle nous est livrée par Philippe Besson, avec sa plume juste et puissante, qui nous lance un cri d'alarme contre le harcèlement scolaire et nous incite à la réflexion collective.

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MaggyM

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 5 mois

Le hasard a fait que j'ai lu à la suite deux romans qui traitaient du harcèlement scolaire. Autant le premier m'avait fait rire, autant celui-ci m'a fait pleurer, à chaudes larmes, longtemps... Nous sommes dans la tête de Vincent, père de famille, qui se prépare pour une marche blanche en mémoire d'Hugo, son fils de 14 ans, victime d'un harcèlement féroce au lycée. Entre remémoration des doux moments en famille et des instants de peur viscérale au fur et à mesure que les faits se révélaient à lui, Vincent essaie aussi d'anticiper ce que sera désormais leur vie de famille sans Hugo. Ce roman était d'une tristesse absolue, entrecoupé de moment de pure rage contre la Société en général, et nos institutions en particulier, qui se révèlent incapables d'accompagner les jeunes en détresse grave. Je n'ai pu retenir mes larmes tant le texte sonne juste, tant j'avais envie de prendre dans mes bras ce père déboussolé, qui se culpabilise de ne pas avoir compris assez vite, de ne pas avoir vu assez tôt, de ne pas avoir pu agir, de s'être senti impuissant à chaque instant… Je n'ai pas d'enfant, je ne peux donc que m'imaginer la souffrance atroce ressentie par ce père de famille et dans son champ de vision, celle de sa femme et de son fils cadet. J'ai aussi eu la chance d'être toujours passée au travers des problèmes d'harcèlement (qu'on n'appelait pas encore comme ça au 20e siècle) ou de racket en tout genre. Et pourtant la plume de l'auteur m'a fait ressentir la peine, la colère, la frustration, la panique, la honte et le désarroi de chacun des membres de cette famille jusqu'au plus profond de mon être. Comme un coup de poing, ce roman démontre en creux, notre incompétence collective à nous occuper des vrais problèmes de société. Il devrait être mis entre toutes les mains !

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VIVI29

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 5 mois

Comme vous le savez sans doute, il est ici question dans ce roman, qui reste une fiction, d’un jeune garçon victime de harcèlement au collège. S’il le cache au départ à ses parents, ces derniers finissent par se douter que quelque chose ne va pas pour lui. Hugo finit par se confier un peu et les parents prennent des premières mesures qui ne suffisent hélas pas. Qui ne répondent ni à la détresse de ce garçon, ni à l’urgence de sa situation. Mais ils se sentent impuissants et ne mesurent pas la détresse d’Hugo. Alors après le drame, après la stupéfaction, c’est le temps de la culpabilité, de la douleur, de la colère. Et Philippe Besson relate ces étapes admirablement bien à travers la voix de Vincent, le père d’Hugo. Qui n’a pas vécu à un moment ou un autre le harcèlement, soit pour lui-même, soit pour ses enfants ? Alors impossible de ne pas s’identifier à un moment ou un autre du récit et personnellement ce texte m’a beaucoup parlé. Donc il m’a beaucoup touchée. Emue aussi. Bouleversée forcément. Un récit qui fait écho aussi trop souvent à l’actualité puisque le harcèlement reste un fléau insuffisamment pris en compte par nos institutions et accentué par la force des réseaux sociaux. Car comme l’a relevé l’auteur lors de la rencontre organisée par la librairie @dialogues_brest , vendredi dernier, aujourd’hui le harcèlement n’a aucune limite, il ne s’arrête jamais, c’est 24h sur 24. Pas de pause le week end ou lors des vacances scolaires contrairement à autrefois. Alors forcément son impact est encore plus fort et terrible qu’autrefois. C’est un récit très dur, bouleversant, qui sonne terriblement juste sur un sujet pour lequel il est essentiel de rester vigilant et de parler.

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lulu8723

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 5 mois

Philippe BESSON. Vous parlez de mon fils. J’ai encore les yeux larmoyants. Je viens de lire d’une traite ce magnifique et émouvant récit de Philippe BESSON. C’est un de mes auteurs favoris. Et je ne peux que le remercier d’avoir osé aborder, de façon magistrale le harcèlement scolaire, un mal du siècle et qui empire de jour en jour. Nous pouvons louer le rôle de nos réseaux sociaux : ils sont devenus les porteurs de ce mouvement. Comment une famille, aussi bienveillante soit--elle sur sa progéniture peut-elle passer à côté d’un tel harcèlement ? Je suis en colère, très en colère…. mais impuissante ; Que faire face à cette violence, qui éclate et qui se répand à la vitesse de la lumière... « Un père qui a merdé, oui, c’est exactement ça. », déclare Vincent, le père de Hugo, 14 ans qui , suite au harcèlement, aux humiliations quotidiennes, aux coups, aux injures, etc..., s’est suicidé il y a un mois. Aujourd’hui une marche blanche est organisée pour honorer la mémoire de cet adolescent, à la dérive, qui n’a trouvé que cette unique issue pour mettre un terme à toutes ces offenses. Son père nous narre la descente aux enfers subie par son fils. Il analyse les diverses manifestations , les quolibets, les calomnies, les vols dont a été victime son enfant. Hugo est un jeune garçon, élancé, tendre, doux, pas méchant pour deux sous et sa faiblesse va être source d’ennuis. Face à ses puissants détracteurs, ses bourreaux lui, si faible, ne trouve plus qu’une seule issue. Je suis stupéfaite par la réaction du proviseur de l’établissement scolaire fréquenté. Il ne faut pas faire de vagues, minimiser au maximum les agressions. J’éprouve de la honte. C’est absolument incroyable, invraisemblable. J’ai encore des frissons en pensant aux multiples agressions injustifiées, gratuites pour cet élève. Hier, la victime, c’était Hugo, aujourd’hui, c’est A…, demain, ce sera B…, et ainsi de suite…Et avant Hugo, combien d’enfants se sont donnés la mort pour échapper à leurs bourreaux ? Et si c’était notre enfant ? Quelle serait notre réaction ? Quelle attitude aurions-nous, face à un tel laxisme de l’administration scolaire, de la police lors du dépôt de plaintes, des services sociaux, de la justice, que faire ? Nous ne pouvons pas baisser les bras et laisser quelques gosses faire leur justice dans la cour des écoles, lycées, etc., jouer les caïds. Cette situation est intolérable, inadmissible… La réaction des parents des enfants agresseurs me laisse pantoise ! C’est la faute à Hugo. Ce renversement de situation est monnaie courante ; elle me laisse pantoise et m’interpelle. Il faut entourer nos enfants de bienveillance, les forcer à dénoncer leurs camarades, les détracteurs, les écouter, le faire parler. L’éducation, dès la maternelle est souhaitable. J’ai bientôt quatre vingts ans. J’ai fréquenté l’école primaire, le collège, le lycée, suivi des études à la fac, je n’ai jamais connu de telles brimades, autant de violence. Il est vrai que nous ne possédions pas de téléphones portables, les réseaux sociaux n’existaient pas, nous étions plus attentionnés les uns avers les autres. Notre camaraderie plus franche, une entraide saine. La force des uns cachait la faiblesse des autres. Nous n’avions qu’un objectif, faire honneur à nos parents, acquérir des connaissances pour nous établir au mieux dans la société. Aujourd’hui, c’est le règne du « je m’enfoutisme ». Il faut que nos responsables prennent des sanctions sévères pour punir les agresseurs. Ce n’est pas à l’agressé de changer d’établissement ! ! ! Trop de laxisme, pas de mesures coercitives, pas d’argent, c’est la débacle complète. Réagissez, faites cesser ces morts innocentes qui déchirent, brisent les familles ! Je remercie chaleureusement Philippe BESSON pour ce livre. Ct homme est doté d’une extrême sensibilité. Il traite des faits de société actuels. Il se met dans la peau de son héros, quel que soit le sujet de son roman. J’ai lu quasiment l’intégralité de ses œuvres. Je ne peux que vous les recommander. « Vous parlez de mon fils » devrait être lu par tous, petits et grands. Une leçon de morale pour les prédateurs. Je vais faire lire ce douloureux récit à mon petit fils qui porte le même prénom que le héros de Philippe. Je vous souhaite une bonne journée. Prenez bien soin de vos enfants, petits-enfants et de tous ceux qui vous sont chers. ( 24/03/2025).

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Fiche technique du livre

  • Genres
    Romans , Roman Français
  • EAN
    9782260056300
  • Collection ou Série
  • Format
    Grand format
  • Nombre de pages
    208
  • Dimensions
    205 x 142 mm

L'auteur

Philippe Besson

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Nous sommes ravis de vous accueillir dans notre univers où les mots s'animent et où les histoires prennent vie. Que vous soyez à la recherche d'un roman poignant, d'une intrigue palpitante ou d'un voyage littéraire inoubliable, vous trouverez ici une vaste sélection de livres qui combleront toutes vos envies de lecture.

20,00 € Grand format 208 pages