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24h de la vie d'une femme suivi de Le Voyage dans le passé
Pierre Malherbet (traduit par)
Date de parution : 03/04/2014
Éditeurs :
12-21

24h de la vie d'une femme suivi de Le Voyage dans le passé

Pierre Malherbet (traduit par)
Date de parution : 03/04/2014
Mrs C. se souvient : cette année-là, elle s’ennuyait sur la Côte d’Azur. Au Casino de Monte Carlo, en face d’elle, un jeune homme étrange jouait et perdait comme on se... Mrs C. se souvient : cette année-là, elle s’ennuyait sur la Côte d’Azur. Au Casino de Monte Carlo, en face d’elle, un jeune homme étrange jouait et perdait comme on se noie, comme on se suicide. Elle avait les moyens de le sauver. Elle le suivit dans un hôtel, pour connaître avec... Mrs C. se souvient : cette année-là, elle s’ennuyait sur la Côte d’Azur. Au Casino de Monte Carlo, en face d’elle, un jeune homme étrange jouait et perdait comme on se noie, comme on se suicide. Elle avait les moyens de le sauver. Elle le suivit dans un hôtel, pour connaître avec lui quelques heures de passion et de folie. Aujourd’hui, le temps a finalement mal cicatrisé cette journée particulière, la plus imprévisible et inoubliable de toute sa vie…
 
Ce texte est suivi de Le voyage dans le passé, une nouvelle retrouvée en intégralité après la mort de Stefan Zweig et publiée en France pour la première fois en 2008. L’amour peut-il résister à une longue séparation, à des trahisons, à l’usure des années ? On y retrouve toute la profondeur de l’auteur et son génie du suspense psychologique.
 
Nouvelle traduction de l’allemand par Pierre Malherbet
 
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EAN : 9782823812596
Code sériel : 15664
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782823812596
Code sériel : 15664
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Nouchkettelitenchaussettes 01/08/2023
    Zweig est sans conteste un de mes auteurs favoris. Ici j’ai donc choisi de découvrir un de ses nombreux ouvrages, et mon avis ne sera pas aussi enthousiaste que pour ses autres romans. Je n’ai pas été emportée par cette histoire. Elle n’avait que peu d’intérêt à mon sens. C’est toujours remarquablement écrit, mais cette femme qui critiquait une autre femme ayant réussi là où elle a “échoué” m’a laissé de marbre. Sans doute ce côté bien-pensance de l’époque où il faut être irréprochable et donc jeter la première pierre. L'avantage est que cette histoire se lit en très peu de temps, mais cette Mrs C. n’a pas su attiser ma sympathie. C’est parce que le narrateur est ouvert et bienveillant qu’elle se confie à lui, mais elle était la première à critiquer Madame Henriette sans la connaître. (c’est d’ailleurs la particularité de ce livre, la plupart des personnages n’ont pas de nom, mais sont anonymes). Pour résumer, une écriture que j’aime toujours autant qui dépeint la société et ses travers, mais une histoire qui n’aura pas su m’intriguer et m’emporter.
  • iliona83 02/01/2022
    Un texte court mais percutant 🥰 Un incident au sein d'une pension de famille, lance un débat entre les résidents d'une pension de famille. Peux t'on tout quitter pour une personne que l'on vient de rencontrer ? Une des femmes, Mme C,  écoute attentivement les arguments sans prendre réellement part au débat. Et pour cause, ces échanges, lui font ressurgir le souvenir d'un événement passé. Elle va finalement se livrer auprès de l'un de ses colocataires. Cette confidence, fait du bout des lèvres, est très intime. Mme C confie en effet le récit des 24 heures qui ont bouleversées sa vie. Ce moment où tout peux basculer d'un côté ou de l'autre. Comme à son habitude, Stefan Sweig nous livre ici un récit poignant et efficace en 123 pages seulement. J'ai d'ailleurs été impatiente d'en connaître le dénouement. L'histoire en elle même nous oblige à la réflexion, et de nombreux thèmes y sont abordés : l'altruisme, la dépendance, le poids des conventions,....
  • Les_plaisirs_des_mots 24/09/2021
    À l'image du Joueur d'échec et de plusieurs autres romans de Stefan Zweig, celui-ci est aussi court que percutant. Ma lecture m'a tout de suite confirmé le sentiment rencontré lors de ma première lecture de cet auteur, c'est à dire que Zweig aime parler des impulsions, de ce qui peut se découvrir au plus profond de nous, insoupçonnable jusqu'alors. Globalement, je pense pouvoir dire que j'ai beaucoup aimé cette lecture. J'étais d'autant plus curieuse que le personnage central de l'histoire est une femme, dont on explore la passion soudaine, inexplicable, brûlante, presque vitale. Même si je ne peux nullement me comparer à cette dame (et désolée mais j'espère que les choses vont continuer ainsi), j'ai eu l'impression de facilement la comprendre, je me suis sentie prise à mon tour par ses sentiments et tourments. Les seuls éléments que j'ai légèrement moins aimés, résident en quelques descriptions que j'ai trouvées un brin longuettes (oui, dans un roman si court, je sais). Je ne dois pas être quelqu'un de très patient à ce niveau-là. Quand on lit un roman qui se veut basé sur l'intensité, tout ce qui n'est pas essentiel, tout du moins à mes yeux, paraît superflu. Surtout lorsque Le joueur d'échec évite aussi brillamment ce petit défaut. Bon, j'arrête de comparer, promis. Pour en revenir à nos moutons, Vingt-quatre heures de la vie d'une femme est un roman qui se lit vite et bien. Il nous parle de passions mais également d'addiction, de l'inflexibilité de certains penchant dans la nature humaine, autant que de la force qui est capable de se décupler face au désespoir. Voilà une phrase bien mystérieuse... je vous laisse le loisir d'en découvrir le sens aux côtés de Monsieur Zweig si le cœur vous en dit ! Quoi qu'il en soit, ce roman signe pour moi la confirmation d'un auteur que je prend plaisir à lire. Je suis étonnée de ne pas avoir fait sa rencontre plus tôt, mais je n'en regrette rien, il m'en reste beaucoup à lire du coup ! Prochaine étape, même auteur mais changement de registre, avec la biographie de Marie-Antoinette.À l'image du Joueur d'échec et de plusieurs autres romans de Stefan Zweig, celui-ci est aussi court que percutant. Ma lecture m'a tout de suite confirmé le sentiment rencontré lors de ma première lecture de cet auteur, c'est à dire que Zweig aime parler des impulsions, de ce qui peut se découvrir au plus profond de nous, insoupçonnable jusqu'alors. Globalement, je pense pouvoir dire que j'ai beaucoup aimé cette lecture. J'étais d'autant plus curieuse que le personnage central de l'histoire est une femme, dont on explore la passion soudaine, inexplicable, brûlante, presque vitale. Même si je ne peux nullement me comparer à cette dame (et désolée mais j'espère que les choses vont continuer ainsi), j'ai eu l'impression de facilement la comprendre, je me suis sentie prise à mon tour par ses sentiments et tourments. Les seuls éléments que j'ai légèrement moins aimés, résident en quelques descriptions que j'ai trouvées un brin longuettes (oui, dans un roman si court, je sais). Je ne dois pas être quelqu'un de très patient à ce niveau-là. Quand on lit un roman qui se veut basé sur l'intensité, tout ce qui n'est pas essentiel, tout du moins à mes yeux, paraît superflu. Surtout lorsque Le joueur d'échec...
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  • LaVieCouleurPink 31/08/2021
    Sublime portrait des femmes, des habitudes vestimentaires et de la vie quotidiennes des femmes mondaines. J’ai adoré ce livre qui dévoile sans prétention les dessous des grands salons et des habitudes de la vie mondaine au travers d’un regard émerveillé et parfois dubitatif.
  • Herrera 15/06/2021
    Sans grande surprise j'ai passé un excellent moment en compagnie du narrateur et de la vieille dame anglaise. Le livre se lit d'une traite. C'est très touchante de voir un auteur du talent de Zweig essayer de décortiquer et de comprendre l'esprit et ma passion féminine. On comprend comment un choix irrationnel peut être naturel et comment la folie devient envisageable. C'est tout aussi agréable de lire un texte où la femme, au centre du récit, n'est point jugée mais expliquée. Bref, ce petit chef-d'oeuvre de Zweig mérite toute sa place dans la littérature classique et ne peut qu'être conseillé. Pour 80 pages, personne n'a d'excuses !
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