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Golem - Le tueur de Londres
Date de parution : 03/01/2018
Éditeurs :
Archipoche

Golem - Le tueur de Londres

Date de parution : 03/01/2018
Londres, 1880. Dans le quartier de Limehouse, qui jouxte Whitechapel, où sévira quelques années plus tard Jack l'éventreur, des prostituées sont sauvagement assassinées. Le film adapté du roman sort simultanément en France.
Londres, 1880. Huit ans avant que Jack l’E ventreur sé visse à Whitechapel, la peur avait un autre nom...Alors que les corps de deux prostituées ont été dé couverts... Londres, 1880. Huit ans avant que Jack l’E ventreur sé visse à Whitechapel, la peur avait un autre nom...Alors que les corps de deux prostituées ont été dé couverts dans le quartier voisin de Limehouse, la rumeur se ré pand qu’un Golem, figure mythique de la tradition hébraïque, erre... Londres, 1880. Huit ans avant que Jack l’E ventreur sé visse à Whitechapel, la peur avait un autre nom...Alors que les corps de deux prostituées ont été dé couverts dans le quartier voisin de Limehouse, la rumeur se ré pand qu’un Golem, figure mythique de la tradition hébraïque, erre dans les rues de la ville en quê te de nouvelles victimes.Ce qui n’empêche pas une troupe de thé a tre de continuer à se produire dans les cabarets. Parmi les comé diens, Elizabeth et Dan Leno, adepte du travestissement.Lors d’un spectacle, John Cree, bourgeois é rudit et é crivain insatisfait, tombe sous le charme d’Elizabeth, qu’il épouse. Quelque temps plus tard, on retrouve le corps sans vie de John. Son journal intime révè le qu’il serait le mystérieux Golem. Mais sa femme semble, elle aussi, dissimuler bien des secrets...Ce roman a été adapté à l’écran par le ré alisateur Juan Carlos Medina, avec Olivia Cooke et Bill Nighy. Un film qui a reç u le Prix du jury du festival du film policier de Beaune en mars 2017.
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EAN : 9782377351169
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 274
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782377351169
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 274
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Little_stranger 17/01/2021
    Ce livre n'est plus tout jeune (il est sorti en 1999 chez 10/18), mais je suis aussi une grande fan de séries télévisées et surtout celles de Grande Bretagne et des pays du Nord. Il se trouve que le roman a été porté à l'écran et devrait être diffusé prochainement : "The limehouse Golem" (titre original du livre) et que j'ai bien aimé la bande annonce., donc CQFD, je lis le roman, le fait qu'ils se passe à l'ère victorienne contribuant à mon délice. 1880 : dans le quartier de Withechapel, dans une zone nommée Limehouse (logements insalubres, individus dangereux, morbidité très élevée, prostitution ...), un tueur particulièrement sanglant assassine une prostituée, un juif érudit et une famille entière. Nous lisons ce qui semble être son journal intime, tandis qu'à la British Library, on croise Karl Marx, Georges Gissing ... On découvre le milieu de la pantomime, le music hall et un interprète célèbre de l'époque, Dan LENO et une de ses partenaires occasionnelles, Elisabeth Cree. Elisabeth qui se réinvente après la mort de sa mère, bigote,femme aux moeurs légères autrefois. Elisabeth à la moralité singulière, acharnée à survivre dans un monde masculin, qui finira pendue. J'ai appris beaucoup de choses par le biais de ce roman sans m'en apercevoir : Peter ACKROYD est un érudit et il sait transmettre avec bonheur ses connaissances. Ce roman m'a fait penser à certains bons romans de S. KING et au réalisme d'E. ZOLA. Le golem (fou - stupide ou cocon en hébreu) qui hante les bas fonds de Londres dans ce roman, est un être d'argile créé pour réaliser les désirs de son maître. Il ne pense pas. Issu du folklore juif, le golem a la particularité d'avoir écrit sur son front ou sa main, EMET qui veut dire "vérité". Il suffit d'enlever la première lettre pour obtenir le mot MET qui veut dire "mort" et détruire ainsi le golem qui redevient poussière. On ne sait qui est le golem en fait dans ce roman : l'assassin, la ville de Londres, la politique sociale inexistante ... Un livre hanté ...Ce livre n'est plus tout jeune (il est sorti en 1999 chez 10/18), mais je suis aussi une grande fan de séries télévisées et surtout celles de Grande Bretagne et des pays du Nord. Il se trouve que le roman a été porté à l'écran et devrait être diffusé prochainement : "The limehouse Golem" (titre original du livre) et que j'ai bien aimé la bande annonce., donc CQFD, je lis le roman, le fait qu'ils se passe à l'ère victorienne contribuant à mon délice. 1880 : dans le quartier de Withechapel, dans une zone nommée Limehouse (logements insalubres, individus dangereux, morbidité très élevée, prostitution ...), un tueur particulièrement sanglant assassine une prostituée, un juif érudit et une famille entière. Nous lisons ce qui semble être son journal intime, tandis qu'à la British Library, on croise Karl Marx, Georges Gissing ... On découvre le milieu de la pantomime, le music hall et un interprète célèbre de l'époque, Dan LENO et une de ses partenaires occasionnelles, Elisabeth Cree. Elisabeth qui se réinvente après la mort de sa mère, bigote,femme aux moeurs légères autrefois. Elisabeth à la moralité singulière, acharnée à survivre dans un monde masculin, qui finira pendue. J'ai appris beaucoup de choses par...
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  • SaveurLitteraire 06/04/2020
    Un résumé qui me susurre le nom du terrible Jack l’Éventreur et me promet un meurtrier encore plus sordide qui aurait sévi quelques années avant ? La perspective de me balader dans le Londres victorien et ses bas-fonds ? Comment refuser de goûter à Golem, le tueur de Londres dans de pareilles conditions ? Je dois vous prévenir que mon avis a deux phases : l’une de la première lecture, et l’autre intervenant après avoir vu l’adaptation cinématographique. Car, oui, l’avis a évolué entre ces deux instants ! Cette première lecture fut particulièrement difficile car les chapitres, tantôt courts, tantôt très longs, alternent entre les points de vue d’Elizabeth, celui de son époux, celui du Golem, et celui de la police. Là où c’est devenu très vite une bataille, c’est lorsque je me suis rendue compte que les chapitres ne suivaient pas forcément l’ordre chronologique. Voilà de quoi vous dire qu’il vaut mieux être pleinement éveillé(e) pendant la lecture de ce petit pavé ! Car certains chapitres sont étalés en de longs paragraphes, provoquant un résultat qui peut en arrêter plus d’un(e). Mon intérêt pour les meurtres sordides commis à travers ces pages et la sensation qu’une révélation éclatante finirait bien par sortir m’ont poussé à finir. Malgré la lecture bien difficile, j’ai eu raison de lire jusqu’au bout. Pourquoi ? S’il y a relativement peu d’action au fil des chapitres, le dernier quart m’a… bluffé. Quand surgit enfin de l’ombre le visage du prédécesseur de Jack l’Éventreur, je ne peux que rester sur, pardonnez-moi l’expression, mes deux globes inférieurs ! Peu d’indices tendaient à cette révélation. Voilà de quoi redorer l’image du bouquin à mes yeux fatigués. Vous vous en doutez peut-être, malgré une fin orchestrée de main de maître, il y a quand même eu la déception des trois quarts du roman… et c’est là qu’intervient brusquement l’adaptation. Je l’ai regardé, et j’en suis ressortie réconciliée avec le livre. Certes, je connaissais le nom du Golem, mais le film m’a permis de mettre des images sur de longs chapitres pas toujours évidents à suivre. Je vous fais mention de mes déceptions et de mon changement d’avis, mais il faut aussi que je vous dise que Peter Ackroyd a quand même magnifiquement réussi à m’immerger dans les bas-fonds du Londres victorien, le monde du spectacle et la place de la femme. Un peu de meurtres, une grande balade dans un Londres disparu mais rempli de vestiges… Verdict ? Je vous recommande de vous laisser tenter, même s’il y a des longueurs, un certain manque d’action, beaucoup de personnages. Essayez, pour Londres, pour l’écriture d’une plume talentueuse, et pour les nombreux caméos de personnes ayant réellement existé à cette époque !Un résumé qui me susurre le nom du terrible Jack l’Éventreur et me promet un meurtrier encore plus sordide qui aurait sévi quelques années avant ? La perspective de me balader dans le Londres victorien et ses bas-fonds ? Comment refuser de goûter à Golem, le tueur de Londres dans de pareilles conditions ? Je dois vous prévenir que mon avis a deux phases : l’une de la première lecture, et l’autre intervenant après avoir vu l’adaptation cinématographique. Car, oui, l’avis a évolué entre ces deux instants ! Cette première lecture fut particulièrement difficile car les chapitres, tantôt courts, tantôt très longs, alternent entre les points de vue d’Elizabeth, celui de son époux, celui du Golem, et celui de la police. Là où c’est devenu très vite une bataille, c’est lorsque je me suis rendue compte que les chapitres ne suivaient pas forcément l’ordre chronologique. Voilà de quoi vous dire qu’il vaut mieux être pleinement éveillé(e) pendant la lecture de ce petit pavé ! Car certains chapitres sont étalés en de longs paragraphes, provoquant un résultat qui peut en arrêter plus d’un(e). Mon intérêt pour les meurtres sordides commis à travers ces pages et la sensation qu’une révélation éclatante finirait bien...
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  • eowyntara 08/04/2018
    Après un début qui me paraît un peu confus – on change souvent de mode de narration et il faut bien situé tous les personnages – j’ai super bien accroché à l’histoire. Mais il est intéressant de passer par différents documents pour lire l’histoire : extraits de journaux, de minutes du procès d’Elizabeth… Bien qu’on sache dès la lecture de la quatrième de couverture qui est le Golem, il y a beaucoup de mystère qui entoure John et Elizabeth. Leur relation paraît bien étrange et… tout s’explique à la fin (mais j’avoue m’en être doutée un peu avant). Il y a aussi certains passages qui me semblent confus mais ils s’expliquent aussi plus tard dans le récit. Par contre, à l’inverse, j’ai trouvé que d’autres passages sont des digressions barbantes qui n’apporte rien à l’histoire (certains détails sur les études de Karl Marx et George Gissing). (la suite sur mon blog)
  • fanfan50 16/03/2018
    J'ai déjà lu ce livre à sa sortie et je l'avais aimé. A ma demande auprès de Babelio , Archipoche me l'a envoyé. A l'époque, je n'avais pas noté le nom du traducteur. Ici dans la présente édition, je vois que c'est Bernard Turle. Il y a quelques maladresses de traduction mais bon, assez peu du reste. Par contre, que de titres de chansons de l'époque et de sketchs de P'tit Victor - on en perd le fil ! En plus, difficile de traduire quand il y a de l'humour dedans et c'est pourquoi il se risque à un mélange franglais : ainsi page 208 "si je voudrais jouer l'un des jeunes héros de Babes in the Wood de cette saison-là. - Voudrais-je ? - Woodriez-vous ? - Oh que voui !" Le livre est souvent assez confus dans le déroulement de l'intrigue car il mêle le passé et le présent sans cesse. On sait qu'il va y avoir une condamnation à mort par pendaison dès les premières lignes - ensuite reste à savoir pourquoi ? Qu'est-ce qui l'a menée à cette fin funeste. Qu'a-t-elle fait pour mériter cela à une époque où tout était sévèrement puni... L'auteur nous balade dans les bas quartiers de Londres à la fin du 19ème siècle. Une véritable cour des miracles d'où émergent deux personnages intéressants : Dan Leno, un as de la pantomine et Lisbeth de Lambeth, le sobriquet d'une jeune femme issue des bas fonds qui va faire un assez beau mariage et puis va être sévèrement jugée pour le meurtre de son mari empoisonné à l'arsenic. La fin de ce roman est très déroutante et de plus immorale. A l'histoire de ces deux travestis, se superpose celle des meurtres de Limehouse : des prostituées, un vieil érudit dans sa pension, et une famille entière dans son logis. Ces meurtres selon la rumeur populaire seraient l'oeuvre du Golem de Limehouse. "Nos ancêtres voyaient dans le golem un homoncule, un être de matière, créé par magie, une poignée d'argile dotée de vie dans le laboratoire d'un sorcier. C'est une chose épouvantable qui, selon nos légendes immémoriales, se maintiendrait en vie en ingérant l'esprit ou l'âme des vivants." L'auteur nous prouve qu'il n'en est rien et que c'est plus simple qu'on ne pense ! On n'est pas dans de la fantasy et c'est plus que réel. Très sombre et très glauque. En tout cas, je ne me suis pas ennuyée une seconde et ma relecture m'a autant plu que la première fois.J'ai déjà lu ce livre à sa sortie et je l'avais aimé. A ma demande auprès de Babelio , Archipoche me l'a envoyé. A l'époque, je n'avais pas noté le nom du traducteur. Ici dans la présente édition, je vois que c'est Bernard Turle. Il y a quelques maladresses de traduction mais bon, assez peu du reste. Par contre, que de titres de chansons de l'époque et de sketchs de P'tit Victor - on en perd le fil ! En plus, difficile de traduire quand il y a de l'humour dedans et c'est pourquoi il se risque à un mélange franglais : ainsi page 208 "si je voudrais jouer l'un des jeunes héros de Babes in the Wood de cette saison-là. - Voudrais-je ? - Woodriez-vous ? - Oh que voui !" Le livre est souvent assez confus dans le déroulement de l'intrigue car il mêle le passé et le présent sans cesse. On sait qu'il va y avoir une condamnation à mort par pendaison dès les premières lignes - ensuite reste à savoir pourquoi ? Qu'est-ce qui l'a menée à cette fin funeste. Qu'a-t-elle fait pour mériter cela à une époque où tout était sévèrement puni... L'auteur nous balade dans les bas quartiers...
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  • amanline 10/03/2018
    Quand j'ai refermé ce roman, je me suis sentie un peu déçue, je m'attendais à un roman un peu plus captivant, à la hauteur des critiques de couvertures. Mais cela ne tient qu'à moi, et mes habitudes de lectures, il reste dans son ensemble un bon livre.
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