Service Action - Cible Sierra

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• fredbologsen 27/08/2023

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  J'ai beaucoup aimé la série du "Bureau des légendes", sauf la dernière saison, et le changement de scénariste a dû fortement y contribuer. Alors quand j'ai trouvé ce livre de "Victor K", "Cible Sieraé, je me suis dit pourquoi pas. Dui moins, au début, car au fur et à mesure, j'ai eu tendance à dire...pourquoi, et à toutes les sauces. Si l'on considère ce roman comme une façon d'entrer dans le monde fermé de la DGSE, d'y découvrir certains de ses codes, façons de faire, de parler, d'agir, son organisation, effectivement, "ça el fait", comme dirait l'autre. Si l'on cherche une histoire dense, au style soutenu et surprenant, alors..."ça le fait pas", toujours comme complèterait l'autre. J'ai eu l'impression que tous les membres de la DGSE ont les yeux couleur acier, sont taillés dans ce même acier, tant mentalement que physiquement, et qu'on ne trouve dans ce service que des clones... A "l'exception" de l'héroïne, le lieutenant Coralie Desnoyers, pas trop "mal gaulée" de sa personne, la preuve elle tape dans l'oeil du président de la République qui va lui demander d'éliminer une cible, ennemie de la France, même si elle est américaine. Si la colonelle n'est pas trop portée sur le poussage de fonte, comme nombre de ses collègues que "Victor K" nous présente souvent comme des brutes épaisses et qui semblent avoir été abrités sous de larges parasols quand le Bon Dieu a distribué sur terre la psychologie, le dialogue et autres qualités de ce genre, elle se caractérise cependant par une certaine habilité dans les sports extrêmes, y compris l'escalade. Et par son instinct. Bon pourquoi pas un peu de tendresse dans ce monde de brutes, oui mais elle ne pouvait pas avoir que des qualités, allons donc, en plus une femme chef d'unité à la DGSE; du coup on va lui trouver u!n "défaut", et ce sera sur le plan sexuelle, la colonelle ayant que les "pratiques" peu banales. mais chut, je n'en dirai rien. Cela m'a fait penser à une chanson des années 80 de Marie Paule Belle, "La parisienne", "je ne suis pas nymphomane, on me blâme, on me blâme", et 'je n'ai qu'un seul défaut c'est le sexe". Quant à l'histoire, je reconnais un style soutenu, et un dénouement très... politiquement correct. Sorti de là....Ou de ça...J'ai beaucoup aimé la série du "Bureau des légendes", sauf la dernière saison, et le changement de scénariste a dû fortement y contribuer. Alors quand j'ai trouvé ce livre de "Victor K", "Cible Sieraé, je me suis dit pourquoi pas. Dui moins, au début, car au fur et à mesure, j'ai eu tendance à dire...pourquoi, et à toutes les sauces. Si l'on considère ce roman comme une façon d'entrer dans le monde fermé de la DGSE, d'y découvrir certains de ses codes, façons de faire, de parler, d'agir, son organisation, effectivement, "ça el fait", comme dirait l'autre. Si l'on cherche une histoire dense, au style soutenu et surprenant, alors..."ça le fait pas", toujours comme complèterait l'autre. J'ai eu l'impression que tous les membres de la DGSE ont les yeux couleur acier, sont taillés dans ce même acier, tant mentalement que physiquement, et qu'on ne trouve dans ce service que des clones... A "l'exception" de l'héroïne, le lieutenant Coralie Desnoyers, pas trop "mal gaulée" de sa personne, la preuve elle tape dans l'oeil du président de la République qui va lui demander d'éliminer une cible, ennemie de la France, même si elle est américaine. Si la colonelle n'est pas trop portée sur le poussage de fonte, comme...

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• evergreen13 18/08/2023

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  Nom de code : Athéna Le bureau des légendes est l'une de mes séries favorites : je ne pouvais donc passer à côté de ce thriller d'espionnage écrit par un ex de la DGSE qui permet au lecteur « d'en connaître » un peu plus sur cet organe du renseignement extérieur français et plus particulière sur le « service action » chargé d'exécuter (au sens propre comme au figuré) des opérations clandestines. Ce livre est le premier d'une trilogie (jusqu'à présent) : il s'agit essentiellement d'une mise en place pour « le futur ». L'auteur nous fait rencontrer le lieutenant-colonel Desnoyers, Coralie de son prénom. Elle fait partie de l'élite des chasseurs-alpins (nous faisons connaissance avec elle sur la face nord des Grandes Jorasses qu'elle tente en solo). Accessoirement, elle est également tireur d'élite, du genre à collectionner les trophées. En août 2020, elle et son groupe sont appelés en soutien à Beyrouth lors de la visite présidentielle suite à l'explosion dramatique qui a rasé toute une partie de la capitale libanaise. En une fraction de seconde, elle doit prendre une décision qui va sauver la vie du président. Très vite, remarquée pour ses qualités exceptionnelles, et après une formation et un entrainement accélérés mais très durs, elle va être propulsée, par la volonté de Jupiter mais aussi en raison de la guéguerre entre l'Armée et la DGSE, à la tête du Service Action (qu'elle récupère assez éprouvé par plusieurs échecs, dont la perte de quatre agents au Niger) : nom de code Athéna. J'ai beaucoup aimé ce thriller d'espionnage (l'un de mes sous-genres de prédilection !) qui nous fait pénétrer au coeur du service le plus secret de la DGSE. le fait que l'auteur ait choisi une femme pour le diriger est plutôt bienvenu car en regardant sur le Net l'organigramme de l'institution, j'ai vu essentiellement des noms masculins… Côté action, pas de temps mort, le rythme est soutenu, plusieurs « affaires » sont sur le feu et Athéna ne dort pas beaucoup. Je me suis beaucoup amusée avec les passages concernant Jupiter (c'est tellement lui que j'entendais sa voix en lisant les dialogues !). Un seul petit bémol : il concerne le style d'écriture, très « militaire » autrement dit, pas mal d'acronymes (mais ils sont toujours expliqués)… J'ai hâte de lire la suite ! Nom de code : Athéna Le bureau des légendes est l'une de mes séries favorites : je ne pouvais donc passer à côté de ce thriller d'espionnage écrit par un ex de la DGSE qui permet au lecteur « d'en connaître » un peu plus sur cet organe du renseignement extérieur français et plus particulière sur le « service action » chargé d'exécuter (au sens propre comme au figuré) des opérations clandestines. Ce livre est le premier d'une trilogie (jusqu'à présent) : il s'agit essentiellement d'une mise en place pour « le futur ». L'auteur nous fait rencontrer le lieutenant-colonel Desnoyers, Coralie de son prénom. Elle fait partie de l'élite des chasseurs-alpins (nous faisons connaissance avec elle sur la face nord des Grandes Jorasses qu'elle tente en solo). Accessoirement, elle est également tireur d'élite, du genre à collectionner les trophées. En août 2020, elle et son groupe sont appelés en soutien à Beyrouth lors de la visite présidentielle suite à l'explosion dramatique qui a rasé toute une partie de la capitale libanaise. En une fraction de seconde, elle doit prendre une décision qui va sauver la vie du président. Très vite, remarquée pour ses qualités exceptionnelles, et après une formation et un...

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• Breizh29livres 22/05/2023

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  La DGSE. Quatre lettres et un puissant parfum de mystère. Un univers clairement à part, qui possède ses règles, ses codes et son langage. L'unité Service Action innove : pour la première fois de son histoire une femme en prend la tête. Le lieutenant-colonel Coralie Desnoyers alias Athéna. Chasseur alpin, sniper d'élite et mélomane. Mais avant cela, rien ne lui sera épargné. Elle va déguster. Missions réelles ou exercices ? A elle d'apprécier. Force, détermination, endurance et volonté. Rien de moins pour espérer asseoir une position que certains sont loin de se réjouir la voir occuper. Un récit intense et sous tension qui soulève légèrement le voile sur un des plus opaques services de l'Etat.
• The_schild 15/03/2022

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  J'ai toujours aimé les romans d'espionnage, LE CARRE m'a accompagné durant de nombreuses années. J'ai donc sauté sur l'occasion de lire ce roman d'un auteur français. Pourquoi trois étoiles ? L'histoire pourrait vraiment être très bien si l'auteur n'avait pas glissé des passages relatifs à la sexualité du personnage principale, je trouve qu'il va un peu trop loin en décrivant certaines scènes, certes peu nombreuses, mais ce types de scènes n'a pas sa place dans un roman d'espionnage...