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L'assassin des cathédrales
Date de parution : 31/10/2012
Éditeurs :
12-21

L'assassin des cathédrales

Date de parution : 31/10/2012

Les pilleurs d’église sont prêts à tout pour ratisser les trésors dont regorgent les nombreux édifices bretons. Mais lors du sac de la cathédrale Saint Corentin de Quimper, ils ont...

Les pilleurs d’église sont prêts à tout pour ratisser les trésors dont regorgent les nombreux édifices bretons. Mais lors du sac de la cathédrale Saint Corentin de Quimper, ils ont commis une grave erreur en s’en prenant à Eugénie de Rosmadec. Agressée à coups de calice dans le secret de...

Les pilleurs d’église sont prêts à tout pour ratisser les trésors dont regorgent les nombreux édifices bretons. Mais lors du sac de la cathédrale Saint Corentin de Quimper, ils ont commis une grave erreur en s’en prenant à Eugénie de Rosmadec. Agressée à coups de calice dans le secret de la sacristie, la vieille fille est laissée pour morte. Le clan Rosmadec est sur le pied de guerre et c’est Clémence, jeune peintre professionnel et détective amateur, qui est chargée de débusquer les coupables. La jeune femme quitte ses pinceaux et ses amis peintres de Pont-Aven - Paul Gauguin, Paul Sérusier, Émile Bernard...- pour une enquête qui la mènera au cœur de la pègre parisienne, dans le repaire du mystérieux M.M., criminel sans foi ni loi et de son âme damnée, le Professeur…

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EAN : 9782264053282
Code sériel : 4356
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782264053282
Code sériel : 4356
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Sharon 11/01/2014
    Mon problème avec ce livre est simple : je ne parviens pas à croire en son héroïne, Clémence de Rosmandec. Elle est une excellente détective, capable de résoudre tous les mystères. Je paraphrase, peu ou prou, ce que les journaux ont dit d’elle. Sauf que là, quand elle arrive joyeusement en Bretagne avec les siens et apprend de sa petite soeur Albertine l’agression qu’a subi sa tante Eugénie, elle n’a pas du tout envie d’enquêter. Je la comprends : après tout, sa tante a simplement été laissée pour morte, Clémence ne se mettra quand même pas martel en tête pour trouver ses agresseurs. Enfin, si, elle le fera, sinon il n’y aurait pas d’intrigues, mais c’est bien pour vous faire plaisir. Le sujet est intéressant, riche : les pillages des églises, des cathédrales même, les motivations des uns et des autres auraient pu être davantage approfondis. D’aucuns me diront que le seul profit guide les voleurs, tout comme l’amour de l’art pousse les collectionneurs à accumuler ses objets sacrés. Pas besoin d’aller plus loin. Je ne me satisfais pas de la simplicité. La dimension religieuse m’a semblé escamotée – comme si tous les croyants étaient aussi névrosées qu’Eugénie de Rosmandec. La violence des crimes commis ne suscite pas d’émotion démesurée, pour ne pas dire que ces égorgements et autres éventrations n’étaient pas traités avec une certaine platitude. D’ailleurs, vu le nombre de morts dans cette intrigue, je me suis demandée pourquoi Eugénie n’avait pas succombé elle aussi. Bon sang, mais c’est bien sûr : parce qu’elle est la tante de l’héroïne ! Et les longueurs dans le roman ! Je ne parle pas de l’intrigue principale, qui, si l’on s’en tient à elle et à elle seule, est plutôt bien menée. Non, je vous parle de ses intrigues amoureuses secondaires, aussitôt crées, aussitôt abandonnées pour certaines d’entre elles – j’en ai compté plus d’une demi-douzaine. Je n’ai garde de vous parler des rappels des enquêtes précédentes, pas toujours utiles, des souvenirs des personnages, pas toujours liés à l’action. Je n’oublie pas les nombreuses explications sur l’histoire religieuse bretonne ou normande, parfois accueillies avec indifférence – si même ceux à qui elles sont destinées ne sont pas intéressés, où allons-nous ? Je garde pour la fin les nombreuses allusions à la peinture, les rencontres nombreuses avec des peintres et finalement, l’interrogation de Clémence : qui est-elle ? La peintre épanouie qu’elle souhaite devenir, une détective, une future femme mariée ? Dommage qu’un cinquième tome ne lui permette pas à ce jour de répondre à ses interrogations.Mon problème avec ce livre est simple : je ne parviens pas à croire en son héroïne, Clémence de Rosmandec. Elle est une excellente détective, capable de résoudre tous les mystères. Je paraphrase, peu ou prou, ce que les journaux ont dit d’elle. Sauf que là, quand elle arrive joyeusement en Bretagne avec les siens et apprend de sa petite soeur Albertine l’agression qu’a subi sa tante Eugénie, elle n’a pas du tout envie d’enquêter. Je la comprends : après tout, sa tante a simplement été laissée pour morte, Clémence ne se mettra quand même pas martel en tête pour trouver ses agresseurs. Enfin, si, elle le fera, sinon il n’y aurait pas d’intrigues, mais c’est bien pour vous faire plaisir. Le sujet est intéressant, riche : les pillages des églises, des cathédrales même, les motivations des uns et des autres auraient pu être davantage approfondis. D’aucuns me diront que le seul profit guide les voleurs, tout comme l’amour de l’art pousse les collectionneurs à accumuler ses objets sacrés. Pas besoin d’aller plus loin. Je ne me satisfais pas de la simplicité. La dimension religieuse m’a semblé escamotée – comme si tous les croyants étaient aussi névrosées qu’Eugénie de Rosmandec. La...
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