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Les infortunes de la vertu
Date de parution : 13/02/2014
Éditeurs :
12-21

Les infortunes de la vertu

Date de parution : 13/02/2014

Quelles infortunes pour la vertueuse Justine ! Sans défense, elle se retrouve jetée malgré elle sur la pente du vice. Et ce n’est certainement pas au couvent qu’elle trouvera le...

Quelles infortunes pour la vertueuse Justine ! Sans défense, elle se retrouve jetée malgré elle sur la pente du vice. Et ce n’est certainement pas au couvent qu’elle trouvera le salut : car entre les murs, où la débauche et la luxure sont les seuls mots d’ordre, les moines se...

Quelles infortunes pour la vertueuse Justine ! Sans défense, elle se retrouve jetée malgré elle sur la pente du vice. Et ce n’est certainement pas au couvent qu’elle trouvera le salut : car entre les murs, où la débauche et la luxure sont les seuls mots d’ordre, les moines se livrent à des pratiques redoutables pour expier leurs désirs…

Mis à jour par Apollinaire, ce premier manuscrit offre la version condensée et originelle du plus grand chef-d’œuvre de Sade.

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EAN : 9782823812480
Code sériel : 399
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782823812480
Code sériel : 399
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Chri 04/03/2024
    Vous ne voyez pas votre enfermement ? Vous répétez et répétez encore, mais c'est à votre tour, maintenant, d'être entraîné.e dans la répétition infernale de ce simple conte. Lieu de prédilection des crimes en série. Mais à quelle répétition pensez-vous ? Ce conte n'a rien de spécifiquement sexuel. Tout n'est que compulsion, ou accumulation d'argent et de chair fraîche, indifféremment. Bouffer l'autre, l'envahir, et se laisser bouffer. Point de plaisir ici, de rythme, ni de surprise, le temps se remplit jusqu'à se noyer. Tentera t’on de se justifier, de se fonder ? Sophie contre les sophismes ne fait pas la différence, ou peut-être dans une autre vie, laquelle ? Qui est Sophie, qui est Juliette ? Je me suis laissé cueillir, dans une chute religieusement athée.
  • trust_me 30/11/2023
    Les infortunes de la vertu est un conte philosophique écrit par Sade en 1787, pendant son emprisonnement à la bastille. Il y aura deux variations postérieures à cette première mouture. La seconde date de 1791 et s’intitule Justine ou Les malheurs de la vertu. La dernière est publiée en 1797 sous le titre La nouvelle Justine ou les Malheurs de la vertu. Chaque nouvelle version gagne en épaisseur et en détails sordides. Il faut dire que la pauvre Justine en subit des outrages. Contrairement à sa sœur Juliette, libertine et immorale, elle souhaite par-dessus tout rester vertueuse. Dénuée de toutes ressources suite au décès de ses parents, elle va successivement tomber entre les mains d’un marchand cruel, d’une mère maquerelle, d’un adepte de la luxure parricide, d’un chirurgien sadique, de prêtres libidineux amateurs d’orgies et d’un faux-monnayeur esclavagiste. Rien que ça ! A chaque rencontre, la jeune femme creuse un peu plus le sillon de l’infortune, à chaque rencontre elle veut mettre en application une forme de vertu (pudeur, pitié, honnêteté, bienfaisance) et s’en trouve punie. Le texte se répète de façon mécanique et le lecteur sait d’avance qu’en sortant d’une terrible épreuve Justine va plonger la tête la première dans une nouvelle séquence encore plus traumatisante. Le message est clair, la vertu est une soumission à Dieu et aux hommes qui n’apporte dans son sillage que le malheur. Cette redondance dans les situations rend la lecture monotone et sans surprise, à tel point que l'on finit par ne plus éprouver la moindre compassion à l'égard de cette cruche de Justine dont l'obstination à vouloir le bien exprime une candeur godiche. Devant tant de naïveté et de manque de lucidité face aux réalités d'un monde sans pitié pour les vertueux, le lecteur n'a qu'une seule envie, lancer avec force et conviction un tonitruant : Voyons Justine, un peu de vice, que diable ! Les infortunes de la vertu est un conte philosophique écrit par Sade en 1787, pendant son emprisonnement à la bastille. Il y aura deux variations postérieures à cette première mouture. La seconde date de 1791 et s’intitule Justine ou Les malheurs de la vertu. La dernière est publiée en 1797 sous le titre La nouvelle Justine ou les Malheurs de la vertu. Chaque nouvelle version gagne en épaisseur et en détails sordides. Il faut dire que la pauvre Justine en subit des outrages. Contrairement à sa sœur Juliette, libertine et immorale, elle souhaite par-dessus tout rester vertueuse. Dénuée de toutes ressources suite au décès de ses parents, elle va successivement tomber entre les mains d’un marchand cruel, d’une mère maquerelle, d’un adepte de la luxure parricide, d’un chirurgien sadique, de prêtres libidineux amateurs d’orgies et d’un faux-monnayeur esclavagiste. Rien que ça ! A chaque rencontre, la jeune femme creuse un peu plus le sillon de l’infortune, à chaque rencontre elle veut mettre en application une forme de vertu (pudeur, pitié, honnêteté, bienfaisance) et s’en trouve punie. Le texte se répète de façon mécanique et le lecteur sait d’avance qu’en sortant d’une terrible épreuve Justine va plonger la tête la première dans...
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  • bfauriaux 08/01/2023
    Pour etre franc,je n'ai pas été emballé.J'avais choisi ce livre pour la réputation sulfureuse de l'auteur et j'ai ete decu.Le livre a mal vieilli.Aujourd'hui il parâit mievre et n'a pas supporte les ravages dutemps.Je vous laisserai juge de cet ouvrage mais pour ma part il ne m'a pas emballé.
  • Harryetnanc 14/02/2020
    Ce que j’ai aimé : J’aurais tellement aimé lui foutre des tartes dans la tronche à Justine. Mais j’ai fini quand même par soutirer à mon mec : « Nan, moi ce que j’aime chez Sade, c’est son style d’écriture. Parce que c’est vrai que les scénars, il tourne quand même un peu en boucle… » Un grand mystère de l’univers vient d’être éclairci. Ce que je n’ai pas aimé : Ah ben, encore une fois, beaucoup de vieux pervers, de caca dans la bouche, toussa, toussa. Bon, à ma première lecture, j’avais trouvé ça un peu fou et génial. Aujourd’hui, et après les 120, j’ai un peu une impression de dents du fond qui baignent. Bon c’est à lire quand même, parce que c’est vachement plus abordable que les 120, et que c’est « Le » bouquin de Sade. Mais moi, j’ai donné, merci…
  • DelordF 24/10/2019
    Dès l'adolescence on parle de Sade avec un sourire entendu. Mais en fait, il s'agit d'un auteur qui décrivait les scènes les plus osées mais sans la moindre vulgarité, juqu'à vous mettre le sang en ébullition. J'ai beaucoup aimé. Ecriture qu'on ne retrouve pas souvent aujourd'hui
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