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Nestor Burma contre C.Q.F.D.
Date de parution : 19/07/2012
Éditeurs :
12-21

Nestor Burma contre C.Q.F.D.

Date de parution : 19/07/2012

Nestor Burma contre C.Q.F.D. est, chronologiquement, la deuxième aventure du bien connu détective de choc.

Elle se situe en 1942, dans un Paris camouflé, soumis aux alertes et aux restrictions....

Nestor Burma contre C.Q.F.D. est, chronologiquement, la deuxième aventure du bien connu détective de choc.

Elle se situe en 1942, dans un Paris camouflé, soumis aux alertes et aux restrictions.
A côté des personnages habituels de la « saga nestorienne », c’est-à-dire Burma lui-même, sa secrétaire Hélène, l’inspecteur Faroux (pas...

Nestor Burma contre C.Q.F.D. est, chronologiquement, la deuxième aventure du bien connu détective de choc.

Elle se situe en 1942, dans un Paris camouflé, soumis aux alertes et aux restrictions.
A côté des personnages habituels de la « saga nestorienne », c’est-à-dire Burma lui-même, sa secrétaire Hélène, l’inspecteur Faroux (pas encore commissaire) et le journaliste-éponge Marc Covet, évoluent un bon-bourgeois-à-surprises, un nain-à-complexes, un maître-chanteur-un-peu-trop-sûr-de-lui, un assassin-adroit… sans oublier les quelques cadavres indispensables à ce genre de récit… et la mystérieuse Lydia dont le charme met en échec le cynisme – peut-être de façade – de Nestor Burma.

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EAN : 9782265094857
Code sériel : 24
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265094857
Code sériel : 24
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • franckaa 19/11/2023
    Une histoire fort alambiquée qui m'a un peu perdu en chemin, des coïncidences et des facilités de déductions à doses non homéopathiques, tout cela a altéré mon plaisir de lecture. Et cependant, par dessus l'histoire et la logique déductive il y l'écriture de Malet, son style, ses mots (parcimonieusement désuets), ses envolées gouailleuses. Alors Léo Malet emporte quand même le morceau, et l'on suit Burma dans son explosivité, à défaut de toujours le suivre dans ses raisonnements.
  • Barnegat 29/05/2023
    Paris, mars 1942. Et en arrière-plan l'occupation qui ne perturbe pas le moins du monde l'enquête la deuxième enquête de Burma. Un Burma qui se permet beaucoup de choses, hâbleur, sûr de lui, prêt à avancer "en marge," s'offrir des petits ou grands écarts. qui se trompe et se fourvoie, et, a un béguin, qui s'amourache et songe à prendre sa retraite sous des cieux plus cléments. (Burma se corrigera au fil des aventures) Un Marc Covert déjà journaliste-éponge et à l'affût du moindre scoop. Un Maître-chanteur qui va rapidement refroidi. Faroux inspecteur et pas encore commissaire, un dilettantisme, l'ombre de lui même côté enquête. Hélène rabrouée par son boss. Et Paname. Et une un magot : Quatre lingots d'Or. Une fortune à l'époque. Une intrigue tortueuse et en deçà de 120 rue de la Gare.
  • dictus 19/02/2022
    LÉO POLAR BURMA NO.2 Deuxième ouvrage mettant en scène Nestor Burma. Ouvrage dédié au scénariste Louis Chavance qui avait conseillé à Léo Malet de se lancer dans l'écriture de romans policiers. 1942, sous l'occupation allemande. Paris vit au rythme de la Défense Passive. Quatre ans auparavant, un train d'or de la Banque de France, stationné au Havre, avait été attaqué par un gang, incomplètement démantelé : une partie du butin est restée introuvable. La découverte du corps d'un malfrat dans un immeuble bombardé à Paris relance l'affaire : l'individu avait en poche la carte de l'Agence Fiat Lux, officine du sémillant Nestor qui se trouve embarqué dans une drôle d'enquête, entre gangsters et roussins de la “Tour Pointue”. À l'instar d'André Héléna, Léo Malet à beaucoup tiré le diable par la queue. Comme « 120, rue de la Gare », ce roman fait ressurgir les épisodes tourmentés de son existence : sa captivité au stalag, ses accointances anarchistes, sa vie de bâton de chaise (internement à la “Petite Roquette” pour vagabondage), ses petits boulots (crieur de journaux, “nègre d'un maître-chanteur analphabète” relatera-t-il dans un entretien radiophonique...). Je garde de cette lecture un sentiment mitigé. Fausses identités, fausses pistes, digressions saugrenues, rendent l'intrigue particulièrement tortueuse. L'écriture est inégale, plaisante dans l'utilisation de mots anciens et d'expressions imagées, contrariante dans les réparties simplettes où s'égarent certains dialogues. LÉO POLAR BURMA NO.2 Deuxième ouvrage mettant en scène Nestor Burma. Ouvrage dédié au scénariste Louis Chavance qui avait conseillé à Léo Malet de se lancer dans l'écriture de romans policiers. 1942, sous l'occupation allemande. Paris vit au rythme de la Défense Passive. Quatre ans auparavant, un train d'or de la Banque de France, stationné au Havre, avait été attaqué par un gang, incomplètement démantelé : une partie du butin est restée introuvable. La découverte du corps d'un malfrat dans un immeuble bombardé à Paris relance l'affaire : l'individu avait en poche la carte de l'Agence Fiat Lux, officine du sémillant Nestor qui se trouve embarqué dans une drôle d'enquête, entre gangsters et roussins de la “Tour Pointue”. À l'instar d'André Héléna, Léo Malet à beaucoup tiré le diable par la queue. Comme « 120, rue de la Gare », ce roman fait ressurgir les épisodes tourmentés de son existence : sa captivité au stalag, ses accointances anarchistes, sa vie de bâton de chaise (internement à la “Petite Roquette” pour vagabondage), ses petits boulots (crieur de journaux, “nègre d'un maître-chanteur analphabète” relatera-t-il dans un entretien radiophonique...). Je garde de cette lecture un sentiment mitigé. Fausses identités, fausses pistes, digressions saugrenues, rendent...
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  • jcjc352 21/07/2021
    Un Burma qui commence plutôt désagréablement par son insistance assez « goujâte » à l’encontre d’ une jolie jeune femme Drague assez gênante dans le métro (un frotteur Nestor?) il s’invite chez elle, lui sauve la vie (quand même) et farfouille dans ses tiroirs pendant qu’elle lui fait le café mais la belle est retorse et lui file entre les pattes. Oui Nestor est un malappris mais ce n’est qu’ un premier contact Ainsi est lancé l’enquête de Burma qui va se voir confronté à C.Q.F.D. journal à potins calomniateurs Une histoire assez embrouillée que Nestor aura cette fois-ci le bon goût de nous expliquer à petite dose pendant tout le déroulement de l’enquête sans attendre le dénouement Mais encore faut-il que ses raisonnements parcimonieux soient judicieux et ce n’est pas toujours le cas! Un meurtre, des lingots d’or, un maître chanteur, quelques horions pour ne pas changer, le milieu, des femmes de partout, des idylles naissantes et véritables béguins pour tout le monde (Sauf pour Faroux égal à lui-même c’est à dire improductif coté enquête) Une Hélène plus active que jamais qui ira même jusqu’ à traiter son boss de brute ou de quelque chose d’avoisinant Un Marc Covet, « le journaliste-éponge » aux yeux chassieux du Crépuscule toujours à l’affût du scoop On ne s’ennuie pas entre les cavalcades dans les rues, sur les toits, filatures, les persécutions des bourres toujours à coté de leurs grandes chaussures réglementaires, les problèmes de pipe à « tête de taureau » de Nestor dont il faut aller chercher le tabac, le petit paquet de « gris », à dix lieues à la ronde, pipe d’ailleurs qui servira à faire avancer l’enquête non pas en favorisant la réflexion de Nestor (Nestor n’est pas Bourrel et Nestor cogite par coup de tête au propre comme au figuré) mais concrètement comme preuve ! Toujours un petit encart sur l’anarchisme de Burma, mot qui me semble bien mal employé Il faudrait plutôt parler arnarchité car le fait de faire ce que l’on veut et d’écraser les pieds des autres (et c’est le cas de Burma qui se permet bien des choses ) n’entre pas dans les doctrines libertaires Enfin bref ça donne un petit cachet mais bon seul un anar de littérature peut travailler de concert avec la police mais surtout exercer un tel métier La guerre en arrière fond participe très peu à l’intrigue Juste un prétexte pour cadrer un meurtre et permettre à Nestor d’aller chercher son tabac et de faire connaissance ainsi qu' à lui causer bien du chagrin Un Burma qui commence plutôt désagréablement par son insistance assez « goujâte » à l’encontre d’ une jolie jeune femme Drague assez gênante dans le métro (un frotteur Nestor?) il s’invite chez elle, lui sauve la vie (quand même) et farfouille dans ses tiroirs pendant qu’elle lui fait le café mais la belle est retorse et lui file entre les pattes. Oui Nestor est un malappris mais ce n’est qu’ un premier contact Ainsi est lancé l’enquête de Burma qui va se voir confronté à C.Q.F.D. journal à potins calomniateurs Une histoire assez embrouillée que Nestor aura cette fois-ci le bon goût de nous expliquer à petite dose pendant tout le déroulement de l’enquête sans attendre le dénouement Mais encore faut-il que ses raisonnements parcimonieux soient judicieux et ce n’est pas toujours le cas! Un meurtre, des lingots d’or, un maître chanteur, quelques horions pour ne pas changer, le milieu, des femmes de partout, des idylles naissantes et véritables béguins pour tout le monde (Sauf pour Faroux égal à lui-même c’est à dire improductif coté enquête) Une Hélène plus active que jamais qui ira même...
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