Lisez! icon: Search engine
Padre Pio et les prodiges du mysticisme
Date de parution : 01/03/2013
Éditeurs :
Presses du Châtelet

Padre Pio et les prodiges du mysticisme

Date de parution : 01/03/2013
Né en 1887 à Pietrelcina (Italie), plus connu sous le nom de Padre Pio, Francesco Forgione, moine capucin, fut canonisé par l'Église catholique romaine en 2002. Il est le dernier... Né en 1887 à Pietrelcina (Italie), plus connu sous le nom de Padre Pio, Francesco Forgione, moine capucin, fut canonisé par l'Église catholique romaine en 2002. Il est le dernier en date de la lignée des grands mystiques religieux. Deux types de phénomènes lui sont attribués et sont attestés par... Né en 1887 à Pietrelcina (Italie), plus connu sous le nom de Padre Pio, Francesco Forgione, moine capucin, fut canonisé par l'Église catholique romaine en 2002. Il est le dernier en date de la lignée des grands mystiques religieux. Deux types de phénomènes lui sont attribués et sont attestés par nombre de témoignages : les stigmates - qui se manifestèrent sur son corps pendant quelque cinquante ans, dès 1918 - et la bilocation. Tous deux lui valurent, d'ailleurs, une persécution tenace de la part du Saint Office. Pendant ces phénomènes, Padre Pio perdait régulièrement l'équivalent d'une tasse de sang, ce qui aurait dû le conduire rapidement à la mort par anémie, d'autant qu'il se nourrissait chichement. Retraçant la vie du saint, Gerald Messadié analyse les témoignages d'époque, souvent troublants, surtout quand ils révèlent que le Padre Pio a été vu en même temps à deux endroits éloignés.
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782845924857
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 157
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782845924857
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 157
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • BVIALLET 26/04/2022
    Né à Pietraluna, non loin de Naples, le 25 mai 1887, Francesco Forgione, appelé plus tard Padre Pio, est un enfant chétif et pieux. À 9 ans, il fut témoin d’un miracle qui le marqua. Un enfant difforme et ne tenant pas sur ses jambes, présenté lors de la fête de Pellegrino, se mit soudain à marcher devant lui. À 15ans, il entre au séminaire de Mortone et prononce ses vœux à 23 ans. Une semaine plus tard, il ressent de terribles douleurs aux cinq endroits de la crucifixion du Christ (aux mains, aux pieds et au côté). Bientôt apparaissent des rougeurs, puis des blessures sanguinolentes, les stigmates, qu’il gardera toute sa vie, mais qui disparaitront totalement et aussi mystérieusement qu’elles étaient apparues le veille de sa mort, le 23 septembre 1968. Cependant, pour l’Église catholique, cette histoire miraculeuse fut plus un cauchemar qu’une joie véritable. Padre Pio fut isolé des fidèles de 1919 à 1933, reclus, longtemps interdit de confession et de célébration de la messe en public. Cela ne l’empêcha pas de soulager bien des misères, d’opérer des guérisons inexplicables, d’annoncer des prédictions troublantes et de se trouver en deux lieux à la fois (bilocation). Padre Pio ne fut-il qu’un phénomène de cirque ou de foire ? Une victime de symptômes de type hystérique ou de possession diabolique ? Cet ouvrage est une étude assez poussée d’un phénomène qui divisa l’Eglise. Le petit peuple chrétien en fit immédiatement un saint. La hiérarchie papale et épiscopale l’ignora, le rejeta ou même le persécuta à l’exception principalement de Jean-Paul II qui vit sa secrétaire sauvée d’un cancer en phase terminale par l’entremise de Pio. Gérald Messadié, auteur assez spécialisé dans le paranormal, n’a pas voulu se lancer dans la polémique, ni tomber dans l’hagiographie classique. Il a cherché à approfondir les interprétations des phénomènes physiques du mysticisme doloriste du Padre Pio. Les diverses hypothèses de travail (hystérie, suggestion mentale, flambées thermiques, énergies venues d’ailleurs, variations du champ magnétique terrestre et autres) ne sont tout aussi peu convaincantes les unes que les autres. Il va même jusqu’à relier cette affaire avec celles des « poltergeist », des univers parallèles et de la physique quantique ce qui ne fait qu’embrouiller un peu plus l’esprit du lecteur. À trop vouloir rechercher la réalité objective, à trop chercher à tout expliquer rationnellement, on n’explique rien. Il est certain que rien moins que 5 médecins se penchèrent sur le cas du religieux capucin le plus célèbre d’Italie et qu’il en fallut 11 pour Anne-Catherine Emmerich, autre mystique stigmatisée. Livre intéressant même si le merveilleux, la foi et le mysticisme n’ont pas la part belle dans ce livre et même si les explications « rationalistes » ne sont guère plus convaincantes.Né à Pietraluna, non loin de Naples, le 25 mai 1887, Francesco Forgione, appelé plus tard Padre Pio, est un enfant chétif et pieux. À 9 ans, il fut témoin d’un miracle qui le marqua. Un enfant difforme et ne tenant pas sur ses jambes, présenté lors de la fête de Pellegrino, se mit soudain à marcher devant lui. À 15ans, il entre au séminaire de Mortone et prononce ses vœux à 23 ans. Une semaine plus tard, il ressent de terribles douleurs aux cinq endroits de la crucifixion du Christ (aux mains, aux pieds et au côté). Bientôt apparaissent des rougeurs, puis des blessures sanguinolentes, les stigmates, qu’il gardera toute sa vie, mais qui disparaitront totalement et aussi mystérieusement qu’elles étaient apparues le veille de sa mort, le 23 septembre 1968. Cependant, pour l’Église catholique, cette histoire miraculeuse fut plus un cauchemar qu’une joie véritable. Padre Pio fut isolé des fidèles de 1919 à 1933, reclus, longtemps interdit de confession et de célébration de la messe en public. Cela ne l’empêcha pas de soulager bien des misères, d’opérer des guérisons inexplicables, d’annoncer des prédictions troublantes et de se trouver en deux lieux à la fois (bilocation). Padre Pio ne...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés