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Ric-Rac
Date de parution : 05/02/2015
Éditeurs :
Robert Laffont

Ric-Rac

Date de parution : 05/02/2015

S’appeler Jeanyf et courir.
Courir après ses quatorze ans.
Courir après son avenir.
Courir après le fantôme d’Yvette, sa mère.
Courir après Pierryf, son père, un doux dingue qui ne se remet pas de...

S’appeler Jeanyf et courir.
Courir après ses quatorze ans.
Courir après son avenir.
Courir après le fantôme d’Yvette, sa mère.
Courir après Pierryf, son père, un doux dingue qui ne se remet pas de la mort de sa femme.
Courir après les tisanes de Jackyf, son oncle herboriste et rebouteux.
Courir après les visions de Soubirou,...

S’appeler Jeanyf et courir.
Courir après ses quatorze ans.
Courir après son avenir.
Courir après le fantôme d’Yvette, sa mère.
Courir après Pierryf, son père, un doux dingue qui ne se remet pas de la mort de sa femme.
Courir après les tisanes de Jackyf, son oncle herboriste et rebouteux.
Courir après les visions de Soubirou, son cousin illuminé.
Courir après les nouveaux voisins du gîte rural sadomaso.
Cours, Jeanyf !
Cours !

Dans Ric-Rac, on retrouve l’univers déjanté et tendre de l’auteur d’En moins bien.
« Si Ionesco et Desproges avaient eu un fils ensemble, ils l’auraient appelé Arnaud Le Guilcher ! » Gérard Collard

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EAN : 9782221158807
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221158807
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • bmdeux 19/07/2023
    "Ric-Rac", c'est un récit drôle, burlesque avec une grande sensibilité qui rend Jeanyf, adolescent dont la croissance s'est arrêtée après le décès de sa mère, très attachant. Le drôle et le burlesque, il y en a tout le long de l'histoire : un père faisant des représentations monumentales de son épouse décédée dans toute la maison, un oncle guérisseur-arnaqueur, un cousin extrêmement dérangé depuis une vision avec l'au-delà dans un bol de céréales... La liste est encore longue et je vous laisse bien volontiers le plaisir de découvrir l'ensemble des personnages hauts en couleurs de ce roman. Mais Arnaud Le Guilcher ne se contente pas de vouloir nous faire rire avec des situations invraisemblables. Il ponctue en effet son récit de moments très touchants où Jeanyf pense à sa mère partie trop tôt, à son père complètement déboussolé et très maladroit dans leur relation ou encore à son futur très incertain. Ce roman peint magnifiquement les nombreuses émotions, les bouleversements et les questionnements qui apparaissent à l'adolescence, période si importante dans le développement de l'individu. Ce qui est magique, c'est que tout ça tient en moins de 200 pages. Les mots d'Arnaud Le Guilcher sont suffisamment justes et percutants pour transmettre les bonnes émotions. C'est une belle surprise. Une lecture très agréable, entre poésie et rire, qui m'incite à découvrir d'autres ouvrages de cet auteur."Ric-Rac", c'est un récit drôle, burlesque avec une grande sensibilité qui rend Jeanyf, adolescent dont la croissance s'est arrêtée après le décès de sa mère, très attachant. Le drôle et le burlesque, il y en a tout le long de l'histoire : un père faisant des représentations monumentales de son épouse décédée dans toute la maison, un oncle guérisseur-arnaqueur, un cousin extrêmement dérangé depuis une vision avec l'au-delà dans un bol de céréales... La liste est encore longue et je vous laisse bien volontiers le plaisir de découvrir l'ensemble des personnages hauts en couleurs de ce roman. Mais Arnaud Le Guilcher ne se contente pas de vouloir nous faire rire avec des situations invraisemblables. Il ponctue en effet son récit de moments très touchants où Jeanyf pense à sa mère partie trop tôt, à son père complètement déboussolé et très maladroit dans leur relation ou encore à son futur très incertain. Ce roman peint magnifiquement les nombreuses émotions, les bouleversements et les questionnements qui apparaissent à l'adolescence, période si importante dans le développement de l'individu. Ce qui est magique, c'est que tout ça tient en moins de 200 pages. Les mots d'Arnaud Le Guilcher sont suffisamment justes et percutants pour transmettre les...
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  • Krout 28/12/2019
    « Evidemment, j'ai raison. La preuve c'est que je n'ai jamais eu tort. Cette pensée parfois m'effraye. » Hercule Poirot Aux antipodes de Ric-Rac, je cite de mémoire le célèbre détective Belgo-Anglais, de par ses origines et son double héritage culturel doté d'un humour d'une finesse inversément proportionnelle à son tour de taille. L'ouvrage d'Arnaud le Guilcher à la grande qualité d'être léger à emporter… Faites donc travailler vos petites cellules grises, mes amis. L'humour pour un Belge est une affaire de fin gourmet. Pour un Anglais, mystère. Il eût fallu demander à Poirot. Sa mort, hélas, laissera cette énigme à jamais non-élucidée. Je préférais déjà à l'âge du petit Jeanyf Buster Keaton à Laurel et Hardy. Les tartes à la crème, je n'aime rien que les manger. Il y a quelque chose de pathétique dans l'atterrissage d'une tarte à la crème. Heureusement court mais s'essoufflant malgré quelques tentatives de relances désordonnées, Ric-Rac m'aura laissé sur ma faim. Y a-t-il à rire de la mort d'une maman ? du désarroi d'un veuf éperdu et perdu ? ou de l'écrasement d'un enfant prisonnier d'une gériatrie à ciel ouvert ? Y a-t-il à rire de la ruralité se noyant dans l'alcoolisme galopant, les uns y voyant un divin fléau ? Oui ! L'on peut rire de tout. Vive l'exutoire ! Cependant Poirot vous le dirait mes amis, les gros gags pipi-caca sont moins de mise sous les monarchies que chez les sans-culottes. L'humour purgatif devient vite un enfer aux royaumes des estomacs délicats. Miracle de Noël, Pascal ! L'étoile de la crèche vient finalement de tomber du ciel comme un but décisif que l'on attendait plus. Sauvé par l'apparition de Cantona, digne de l'annonciation à Marie et surtout par la tendresse de l'auteur pour ses personnages, Ric-Rac, à l'arrache, obtient de justesse la moyenne. Je n'exclus pas une possible part autobiographique au bout d'un match correct donc mais qui n'a pas tenu toutes ses promesses. On me l'avait par trop survendu. « Evidemment, j'ai raison. La preuve c'est que je n'ai jamais eu tort. Cette pensée parfois m'effraye. » Hercule Poirot Aux antipodes de Ric-Rac, je cite de mémoire le célèbre détective Belgo-Anglais, de par ses origines et son double héritage culturel doté d'un humour d'une finesse inversément proportionnelle à son tour de taille. L'ouvrage d'Arnaud le Guilcher à la grande qualité d'être léger à emporter… Faites donc travailler vos petites cellules grises, mes amis. L'humour pour un Belge est une affaire de fin gourmet. Pour un Anglais, mystère. Il eût fallu demander à Poirot. Sa mort, hélas, laissera cette énigme à jamais non-élucidée. Je préférais déjà à l'âge du petit Jeanyf Buster Keaton à Laurel et Hardy. Les tartes à la crème, je n'aime rien que les manger. Il y a quelque chose de pathétique dans l'atterrissage d'une tarte à la crème. Heureusement court mais s'essoufflant malgré quelques tentatives de relances désordonnées, Ric-Rac m'aura laissé sur ma faim. Y a-t-il à rire de la mort d'une maman ? du désarroi d'un veuf éperdu et perdu ? ou de l'écrasement d'un enfant prisonnier d'une gériatrie à ciel ouvert ? Y a-t-il à rire de la ruralité se noyant dans l'alcoolisme galopant, les uns y...
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  • generalmarechal 06/05/2019
    Que voulez-vous, Arnaud Le Guilcher nous emmène dans son univers où la tristesse côtoie le plus franc éclat de rire... Ric-Rac n'y coupe pas !
  • Iboo 21/06/2018
    Mon deuxième Arnaud le Guilcher et soyez certains que ce ne sera pas le dernier. Même si je dois dire que celui-ci m'a un tout petit peu moins épatée que "Du tout au tout". Et, j'ai bien dit "un tout petit peu moins" car, cette fois encore, j'ai passé un savoureux moment, truffé d'éclats de rire, toute seule en tête-à-tête avec mon bouquin. Mention spéciale pour les personnages de Soubirou et sa Pocahontas. Tellement improbables, totalement à la masse et pourtant si attachants. Enfin... attachants mais de loin, parce qu'ils schlinguent un peu quand même, hein ! Alors, oui, je suis bien partie pour tous les lire, les Le Guilcher. Parce qu'ils me font du bien. Comme les apéros déjantés sous ma glycine avec les potes où l'on oublie les horreurs du monde, où l'on est tout simplement peinards, heureux d'être ensemble sans la moindre prétention de changer quoi que ce soit au cours des choses, où l'on part dans de doux délires, où l'on a le rire gras et l'humour graveleux, où notre plus grande intelligence est d'être conscients que la vie n'est pas sérieuse et qu'il est salutaire pour notre équilibre mental de s'offrir des plages de "lâcher prise". J'ai un nouveau copain de "lâcher prise", il s'appelle Arnaud le Guilcher, il est complètement barré et il me fait un bien fou !Mon deuxième Arnaud le Guilcher et soyez certains que ce ne sera pas le dernier. Même si je dois dire que celui-ci m'a un tout petit peu moins épatée que "Du tout au tout". Et, j'ai bien dit "un tout petit peu moins" car, cette fois encore, j'ai passé un savoureux moment, truffé d'éclats de rire, toute seule en tête-à-tête avec mon bouquin. Mention spéciale pour les personnages de Soubirou et sa Pocahontas. Tellement improbables, totalement à la masse et pourtant si attachants. Enfin... attachants mais de loin, parce qu'ils schlinguent un peu quand même, hein ! Alors, oui, je suis bien partie pour tous les lire, les Le Guilcher. Parce qu'ils me font du bien. Comme les apéros déjantés sous ma glycine avec les potes où l'on oublie les horreurs du monde, où l'on est tout simplement peinards, heureux d'être ensemble sans la moindre prétention de changer quoi que ce soit au cours des choses, où l'on part dans de doux délires, où l'on a le rire gras et l'humour graveleux, où notre plus grande intelligence est d'être conscients que la vie n'est pas sérieuse et qu'il est salutaire pour notre équilibre mental de s'offrir des plages de "lâcher prise". J'ai un...
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  • marina53 28/05/2018
    Parmi les 867 habitants que compte La Sourle (dont plus de 500 vieux), il y a un adolescent. Un seul ! Et pas des moindres ! Il s'appelle Jean-Yves. Mais tout le monde l'appelle Jeanyf. Fils d'Yvette, tragiquement décédée d'une longue maladie, et de Pierre-Yves, que tout le monde appelle Pierryf. Neveu de Jacques-Yves, que tout le monde... À 14 ans, le petit Jeanyf (du bas de ses 1m35) rêve de devenir footballeur professionnel. Mais, à La Sourle, loin des montagnes et des côtes, entre les vieux grabataires, un père marionnettiste dépressif qui taille au canif des portraits d'Yvette partout (vraiment partout), un oncle soit-disant herboriste, un cousin, surnommé Soubirou, tout droit sorti d'une déchèterie, il n'y a rien à faire. Heureusement, de nouveaux voisins, pour le moins originaux et excentriques, vont bientôt débarquer et avec eux, une drôle de nana qui va ébranler le petit Jeanyf... C'est mort à La Sourle, petit village perdu au milieu de nulle part... Heureusement que Jeanyf et consorts sont là pour pimenter un tant soit peu la morosité ambiante. Du haut de ses 14 ans, Jeanyf touche presque son rêve ultime de devenir footballeur. N'était sa petite taille qui semble freiner le staff. Qu'importe, Jeanyf court, à perdre haleine. Qu'il est attachant ce petit bonhomme encore perturbé par la mort de sa maman. Faut dire que son père, à exposer des portraits d'Yvette partout, ne fait rien pour l'aider. Ça se bouscule alors un peu dans la tête de Jeanyf. C'est dans une ambiance déjantée et rocambolesque que nous plonge Arnaud Le Guilcher. Avec sa galerie de personnages aussi farfelus les uns que les autres, ça swingue à tout va. L'auteur ne manque pas d'imagination et nous offre un roman aussi loufoque qu'émouvant où les situations ne manquent pas de piquant. Les dialogues, jubilatoires, et l'écriture, enlevée et pittoresque, embrassent à merveille ce récit ô combien jouissif.Parmi les 867 habitants que compte La Sourle (dont plus de 500 vieux), il y a un adolescent. Un seul ! Et pas des moindres ! Il s'appelle Jean-Yves. Mais tout le monde l'appelle Jeanyf. Fils d'Yvette, tragiquement décédée d'une longue maladie, et de Pierre-Yves, que tout le monde appelle Pierryf. Neveu de Jacques-Yves, que tout le monde... À 14 ans, le petit Jeanyf (du bas de ses 1m35) rêve de devenir footballeur professionnel. Mais, à La Sourle, loin des montagnes et des côtes, entre les vieux grabataires, un père marionnettiste dépressif qui taille au canif des portraits d'Yvette partout (vraiment partout), un oncle soit-disant herboriste, un cousin, surnommé Soubirou, tout droit sorti d'une déchèterie, il n'y a rien à faire. Heureusement, de nouveaux voisins, pour le moins originaux et excentriques, vont bientôt débarquer et avec eux, une drôle de nana qui va ébranler le petit Jeanyf... C'est mort à La Sourle, petit village perdu au milieu de nulle part... Heureusement que Jeanyf et consorts sont là pour pimenter un tant soit peu la morosité ambiante. Du haut de ses 14 ans, Jeanyf touche presque son rêve ultime de devenir footballeur. N'était sa petite taille qui semble freiner le staff. Qu'importe,...
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