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Nouveauté
Ton frère
Date de parution : 14/03/2024
Éditeurs :
Nil
Nouveauté

Ton frère

Date de parution : 14/03/2024
Une mère écrit à son fils. Serge a trois ans, la grâce espiègle
d’un petit qui découvre la vie, la marche et le rire, les bonbons
et le cache-cache, les comptines et...
Une mère écrit à son fils. Serge a trois ans, la grâce espiègle
d’un petit qui découvre la vie, la marche et le rire, les bonbons
et le cache-cache, les comptines et la danse. Mais il a un grand
frère « spécial », atteint d’un autisme sévère. Comment alors
grandir dans une fratrie singulière...
Une mère écrit à son fils. Serge a trois ans, la grâce espiègle
d’un petit qui découvre la vie, la marche et le rire, les bonbons
et le cache-cache, les comptines et la danse. Mais il a un grand
frère « spécial », atteint d’un autisme sévère. Comment alors
grandir dans une fratrie singulière ? Comment dire son amour,
en jonglant avec les catastrophes ? Le handicap déclenche tant
d’hostilités et de préjugés qu’il faut une force plus que spéciale
pour lutter contre le désarroi.
Par sa voix de mère, de femme et d’écrivaine, Minh Tran Huy
porte l’espoir. Une lettre bouleversante d’humanité.
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EAN : 9782378911768
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782378911768
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • nineentreleslignes 27/04/2024
    Ton frère de Minh Tran Huy Collection Les affranchis chez Robert Laffont Cette collection permet la lettre jamais écrite. Minh Tran Huy décide de l’écrire à Serge, son fils. Il est encore un tout petit garçon, il ne la lira pas tout de suite, néanmoins, elle existe. Un jour peut-être y trouvera-t-il une force, une explication, son histoire, et surtout beaucoup d’amour. Tout l’amour d’une mère pour ses fils, son fils, sa famille. Bien sûr, le récit est intime, le témoignage délicat, malgré tout, la dimension universelle est présente elle aussi. L’auteure traite de l’autisme et du bouleversement qu’il a engendré dans sa famille. Polo, le frère aîné est emmuré dans son monde et ses interactions avec les autres sont limitées, non maitrisées, incohérentes et parfois violentes. C’est le récit de tout l’amour qu’une mère porte à ses enfants, un amour qui ne va pas sans frustration, sans sacrifice et sans peur de l’avenir, surtout quand le handicap s’invite dans la famille. C’est aussi une histoire de deuil, celui de la normalité (pardon pour l’usage du terme qui, je le sais, ne veut pas dire grand-chose !), l’effondrement d’espoirs. D’autant plus que la famille avait cru à la « Méritocratie » une valeur élevée au rang de devise familiale, depuis que les parents de l’auteure avaient posé le pied en France. D’origine vietnamienne, la famille ne veut pas démériter, faire plus toujours, bien, mieux que bien, frôler la perfection, ne pas être redevable... Polo bouleverse la famille, leur rapport au monde, leur équilibre, leurs croyances. La lettre raconte aussi le couple qui se heurte, la meurtrissure, l’incompréhension des voisins et quelques joyeuses fulgurances aussi. Minh Tran Huy y mêle l’histoire des origines, le conte, la force, l’espoir, l’humanité. « Ton frère m’a enseigné l’indulgence, le chagrin et la douceur, toi, la gratitude. » Je remercie Babelio et les éditions Robert Laffont pour ce très joli récit reçu dans le cadre d’une masse critique. Ton frère de Minh Tran Huy Collection Les affranchis chez Robert Laffont Cette collection permet la lettre jamais écrite. Minh Tran Huy décide de l’écrire à Serge, son fils. Il est encore un tout petit garçon, il ne la lira pas tout de suite, néanmoins, elle existe. Un jour peut-être y trouvera-t-il une force, une explication, son histoire, et surtout beaucoup d’amour. Tout l’amour d’une mère pour ses fils, son fils, sa famille. Bien sûr, le récit est intime, le témoignage délicat, malgré tout, la dimension universelle est présente elle aussi. L’auteure traite de l’autisme et du bouleversement qu’il a engendré dans sa famille. Polo, le frère aîné est emmuré dans son monde et ses interactions avec les autres sont limitées, non maitrisées, incohérentes et parfois violentes. C’est le récit de tout l’amour qu’une mère porte à ses enfants, un amour qui ne va pas sans frustration, sans sacrifice et sans peur de l’avenir, surtout quand le handicap s’invite dans la famille. C’est aussi une histoire de deuil, celui de la normalité (pardon pour l’usage du terme qui, je le sais, ne veut pas dire grand-chose !), l’effondrement d’espoirs. D’autant plus que la famille avait cru à la « Méritocratie » une valeur élevée au...
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  • BiblioJoy 27/04/2024
    « Il y a une faille en tout chose, C’est par là qu’entre la lumière ». Leonard Cohen. Minh Tran Huy dévoile son histoire personnelle de façon sensible, intime et sans fard. L’autrice raconte tout l’amour pour l’aîné de ses enfants, Paul, autiste, ainsi que l’impuissance et le désarroi vécus face à la situation de lourd handicap touchant Paul, elle s’adresse dans ce récit à Serge, son cadet, confiant cette histoire bouleversante. Une volonté de mettre en lumière et sublimer les fêlures, de révéler au grand jour et en mots. Enseignement, état des lieux, confidences, qui démontrent combien long reste le chemin à parcourir pour accompagner les familles et considérer les personnes souffrant d’autisme, de façon adaptée et digne. L’autrice confie tout ce qu’être parent d’un enfant autiste induit, de responsabilité, d’indulgence, de difficultés dans notre société, de culpabilisation aussi – tristement, de vulnérabilité, de singularité. Un témoignage intime, criant d’émotion, de douceur et de douleur, de justesse et de tendresse, de force et de chagrin ; pétri d’humanité, d’amour et de gratitude, porteur d’espoir. (J’aime beaucoup la citation choisie en exergue de ce récit, elle fait partie des phrases notées dans mon carnet de citations, celles qui me touchent particulièrement). Merci, pour l’envoi de ce livre, aux éditions Robert Laffont – collection « Les Affranchis » - et à Babelio – une lecture profondément touchante. Une autrice dont j’avais apprécié la plume sensible et délicate lisant deux de ses romans : « Les inconsolés » et « La double vie d’Anna Song ». « Il y a une faille en tout chose, C’est par là qu’entre la lumière ». Leonard Cohen. Minh Tran Huy dévoile son histoire personnelle de façon sensible, intime et sans fard. L’autrice raconte tout l’amour pour l’aîné de ses enfants, Paul, autiste, ainsi que l’impuissance et le désarroi vécus face à la situation de lourd handicap touchant Paul, elle s’adresse dans ce récit à Serge, son cadet, confiant cette histoire bouleversante. Une volonté de mettre en lumière et sublimer les fêlures, de révéler au grand jour et en mots. Enseignement, état des lieux, confidences, qui démontrent combien long reste le chemin à parcourir pour accompagner les familles et considérer les personnes souffrant d’autisme, de façon adaptée et digne. L’autrice confie tout ce qu’être parent d’un enfant autiste induit, de responsabilité, d’indulgence, de difficultés dans notre société, de culpabilisation aussi – tristement, de vulnérabilité, de singularité. Un témoignage intime, criant d’émotion, de douceur et de douleur, de justesse et de tendresse, de force et de chagrin ; pétri d’humanité, d’amour et de gratitude, porteur d’espoir. (J’aime beaucoup la citation choisie en exergue de ce récit, elle fait partie des phrases notées dans mon carnet de citations, celles qui me touchent particulièrement). Merci, pour l’envoi de ce livre,...
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  • Sypossible 22/04/2024
    Comment accueillir un deuxième enfant après que la naissance d'un aîné différent, atteint d'autisme sévère, ne soit venu tout bouleverser de la vie de ses parents, leurs représentations, leurs croyances, leurs aspirations ? Quel sera l'impact sur sa vie, son enfance, son développement, de grandir au sein de cette « PME » que nécessite la prise en charge du grand frère ? Comment cet enfant doublement choyé pour tout ce qu'il est possible de partager avec lui qui n'a pu l'être avec son frère, s'insèrera-t-il dans ce foyer où les besoins de son aîné sont une priorité absolue, le centre imprévisible générateur d'un quotidien incertain ? C'est cette réflexion que mène Minh Tran Huy, avec une plume aussi délicate qu'acérée, dans ce texte écrit sous forme de lettre qui cherche à prendre la mesure des effets sur la vie des autres de cette vie enfermée dans l'incommunicabilité de l'autisme, la mesure de l'impact intime, sociétal, politique. Pour moi ce livre gagne à être lu après « Un enfant sans histoire », s'inscrivant dans une continuité qui permet d'apprécier l'ampleur du chemin parcouru par l'autrice, de suivre les étapes de la transformation qu'accomplit cette aventure humaine qu'est de devenir parents, et s'atteler à le rester, de Paul puis de Serge quand l'expression « pour le meilleur et pour le pire » est à son intensité extrême . Comment accueillir un deuxième enfant après que la naissance d'un aîné différent, atteint d'autisme sévère, ne soit venu tout bouleverser de la vie de ses parents, leurs représentations, leurs croyances, leurs aspirations ? Quel sera l'impact sur sa vie, son enfance, son développement, de grandir au sein de cette « PME » que nécessite la prise en charge du grand frère ? Comment cet enfant doublement choyé pour tout ce qu'il est possible de partager avec lui qui n'a pu l'être avec son frère, s'insèrera-t-il dans ce foyer où les besoins de son aîné sont une priorité absolue, le centre imprévisible générateur d'un quotidien incertain ? C'est cette réflexion que mène Minh Tran Huy, avec une plume aussi délicate qu'acérée, dans ce texte écrit sous forme de lettre qui cherche à prendre la mesure des effets sur la vie des autres de cette vie enfermée dans l'incommunicabilité de l'autisme, la mesure de l'impact intime, sociétal, politique. Pour moi ce livre gagne à être lu après « Un enfant sans histoire », s'inscrivant dans une continuité qui permet d'apprécier l'ampleur du chemin parcouru par l'autrice, de suivre les étapes de la transformation qu'accomplit cette aventure humaine qu'est de devenir parents, et s'atteler à le rester, de Paul puis de Serge...
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  • mediagg 19/04/2024
    Min Tran Huy écrit à son fils cadet Serge une lettre très émouvante. La maman par ailleurs écrivaine, à eu comme premier enfant Paul diagnostiqué autiste sévère à l’âge de 2 ans. Pour le moment trop petit, Serge ne peut en comprendre le sens.. Alors la maman raconte dans cette lettre, les obstacles sans cesse répétés pour vivre avec son frère qui ne progressera pas. Son amour pour Paul, elle veut le donner tout autant à Serge, C'est un livre très fort et poignant, beaucoup d'amour dans ce livre. Il faut lire aussi "Un enfant sans histoire" le livre consacré au petit Paul, on partage seulement le temps d’une lecture, l’enfer des parents d’autistes sévères. Merci aux éditions Nathan pour cet envoi.
  • Ashlie 17/04/2024
    En ouvrant cet ouvrage vous trouverez une lettre écrite par une maman à son fils. La collection "les affranchis" propose aux auteurs et autrices d'écrire une lettre qu'ils n'ont jamais écrite. Un défi aussi compliqué que complexe. En ouvrant cette collection, vous savez d'avance que vous aurez face à vous le vrai, l'intimité. Cette maman pour qui le quotidien est compliqué, explique à son fils Serge, à travers cette lettre qu'il a un frère qui requiert beaucoup d'attention. Son frère, Paul (Polo) est autiste. L'autrice arrive avec brio à avoir une plume subtile et délicate pour expliquer les beautés et difficultés de son quotidien de maman d'un enfant autiste. Car il ne peut rien faire seul et il faut toujours quelqu'un pour veiller sur lui. Elle présente Polo d'une manière tellement magnifique : "Spécial, différent, exceptionnel, extra-ordinaire.... Il y a bien des mots pour qualifier Polo dont on a poli les contours, les arêtes et les angles, afin d'éviter que quiconque s'y blesse." La couverture résume parfaitement le ressenti de cette maman : "Ton frère m'a enseigné l'indulgence, le chagrin et la douceur ; toi, la gratitude". "Je voudrais également que tu saches déjà, qu'il n'y ait rien à dévoiler, à révéler, à formuler, je voudrais ne pas avoir à chercher les mots devant toi qui attends, et c'est également pour cela que je t'écris, pour repousser les ombres, les déposer sur le papier comme s'il pouvait les enfermer, tandis qu'à toi je ne dis mot, puisque tu es trop petit, qu'il n'est pas temps encore, et qu'on vaut mieux me concentrer sur ton allégresse qui forme au-dessus de nous une cloche protectrice." L'autrice partage avec ses enfants et avec nous lecteurs, quelque chose de fort et de très touchant. Serge n'est pas un remplaçant, il permet à ses parents de vivre ce qu'il ne pourra jamais vivre avec Paul. "Nous pouvons tant pour toi, et si peu pour lui, mon Serge. Et sans doute est-ce plus dur à vivre: le sentiment de son impuissance face à son enfant qui souffre. Se dire qu'on n'y peut rien, qu'on n'y pourra jamais rien, quand il se débat sous vos yeux." Une maman qui partage également son histoire familiale, son passé et son enfance. J'ai trouvé cet ouvrage émouvant et d'une grande beauté. C'est un livre rempli d'amour et de tendresse. Mais pas seulement. C'est également cri d'indignation. A savoir, il faut en moyenne 4 à 5 ans pour diagnostiquer un enfant autiste en France, contre 18 mois en moyenne aux États-Unis. "C'est cinq ans de colère, de honte, de rage, d'incompréhension, de patience, de visites médicales. C'EST CINQ ANS VOLÉS À L'ENFANT ET SA PRISE EN CHARGE". Il y a d'autres chiffres... il y a plus de 9000 autistes français placés en Belgique faute de places et de personnels formés. - Je remercie chaleureusement Babelio ainsi que les éditions Robert Laffont pour cet envoi lors d'une Masse Critique Privilégiée. Petite parenthèse : Je ne sais pas si c'était voulu, mais l'email du résultat ne pouvait pas mieux tomber qu'en cette journée du 2 avril, journée mondiale de la sensibilisation à l'autisme. C'est également le jour où j'ai été diagnostiqué TSA sans déficience intellectuelle (anciennement appelé Asperger) ainsi que TDA. Et c'est un grand soulagement... car il m'a fallu 32 ans pour connaître l'explication de mon fonctionnement. Des aménagements sur mon lieu professionnel vont pouvoir être fait et je vais enfin mieux vivre. J'ai dû faire mon diagnostic ailleurs qu'en France car c'est encore malheureusement compliqué.En ouvrant cet ouvrage vous trouverez une lettre écrite par une maman à son fils. La collection "les affranchis" propose aux auteurs et autrices d'écrire une lettre qu'ils n'ont jamais écrite. Un défi aussi compliqué que complexe. En ouvrant cette collection, vous savez d'avance que vous aurez face à vous le vrai, l'intimité. Cette maman pour qui le quotidien est compliqué, explique à son fils Serge, à travers cette lettre qu'il a un frère qui requiert beaucoup d'attention. Son frère, Paul (Polo) est autiste. L'autrice arrive avec brio à avoir une plume subtile et délicate pour expliquer les beautés et difficultés de son quotidien de maman d'un enfant autiste. Car il ne peut rien faire seul et il faut toujours quelqu'un pour veiller sur lui. Elle présente Polo d'une manière tellement magnifique : "Spécial, différent, exceptionnel, extra-ordinaire.... Il y a bien des mots pour qualifier Polo dont on a poli les contours, les arêtes et les angles, afin d'éviter que quiconque s'y blesse." La couverture résume parfaitement le ressenti de cette maman : "Ton frère m'a enseigné l'indulgence, le chagrin et la douceur ; toi, la gratitude". "Je voudrais également que tu saches déjà, qu'il n'y ait rien à dévoiler, à révéler, à formuler, je voudrais ne pas avoir...
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