Le Bureau des affaires occultes - Tome 3 : Les Nuits de la peur bleue

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Cecebouquine 02/04/2024

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  Nous retrouvons l’inspecteur Valentin Verne et sa douce Aglaé pour une nouvelle enquête. Cette fois-ci le couple de protagonistes se retrouve sur la trace d’un homme qui ampute des cadavres de certains de leurs organes. Et tout ceci sous fond de cholera… Qui peut vouloir prendre des organes sur des personnes atteintes de cholera ? Qui suit Aglaé sans qu’elle s’en aperçoive ? Valentin sera-t-il encore poursuivi par ses demons ? Par le fantôme du Vicaire ? Ce 3e opus est aussi bon que les 2 premiers tomes de la saga. L’auteur nous emmène de nouveau à travers son recit dans un pan de l’Histoire. Et cela en nous captivant par le rythme de sa plume et les details historiques. J’adore cette saga et la plume d’ @eric_fouassier ! Si vous ne le connaissez pas encore, alors foncez. Ces livres sont magnifiques !!!
• Grazie1006 23/03/2024

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  Choléra, épidémie, science. Nous sommes au troisième opus des histoires de Valentin Verne, en 1832, épidémie du choléra ou peur bleue qui est au centre de l'histoire qui peut étrangement faire le lien avec la peur de la covid 19 et de la paranoïa. Des cadavres mutilés sont découverts, un de leur organe leur a été enlevé. Valentin est entouré de sa compagne Aglaé, de l'entourloupe et Tafik. L'histoire entre Valentin et Aglaé se concrétise mais Aglaé va aussi devoir faire face à ces anciens démons. L'enquête scientifique est intéressante et nous en savons plus sur l'identité du Vicaire. Une écriture toujours fluide, des connaissances sur l'époque, la vie politique , historique. Plaisant.
• lamao 19/03/2024

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  Dans Ce troisième tome nous voyons le retour de Vidock! L ambiance politique de Paris sous le règne de Louis Philippe perturbe toute la société, les petites gens qui subissent dans le chao et la misère les changements de régime , comme les nouveaux puissants qui essaient de se placer. Au milieu de ce tourbillon rare sont ceux qui restent honnêtes , et l inspecteur doit faire preuve d instinct pour mener ses enquêtes.
• Sylvie71 10/03/2024

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  Ce 3ème tome va-t-il lever le mystère sur l’identité du Vicaire et dévoiler les origines de Valentin Verne ? On est à Paris au printemps 1832 en pleine épidémie de choléra ou de la peur bleue comme on l’appelle. Cette épidémie fait des centaines de morts et divise l’opinion publique. Mais parmi ces morts on découvre des cadavres qui ont été mutilés. En effet, dans cette série de meurtres les victimes sont poignardées et on leur a prélevé un organe. Vidocq, qui vient d’être renommé au poste de chef de la sûreté, confie l’enquête à Valentin. Une enquête complexe s’annonce. Avec un style d’écriture fluide, l’auteur nous entraîne au côté de Valentin et d’Aglaé sur l’enquête de cet étrange tueur en série. On se promène dans ce Paris du 19ème siècle. Entre fiction et réalité avec des personnages tels que Casimir Perrier ou George Sand, l’auteur arrive à mêler du suspense, des rebondissements. Les chapitres sont courts et rythmés .Cette période de notre histoire de France étant très trouble, elle se prête à créer des mystères. L’intrigue est bien construite, même si à mon goût je trouve le dénouement un peu facile. Les personnages ont évolué depuis le 1er tome. Le bureau des affaires occultes s’est étoffé depuis sa création avec des personnages assez éclectique. Valentin et Aglaé sont toujours attachants et émouvants. Ils ont des points communs et notamment celui d’avoir eu une enfance difficile. La psychologie des personnages a bien évolué. Un série policier historique que je vous conseille. Ce 3ème tome va-t-il lever le mystère sur l’identité du Vicaire et dévoiler les origines de Valentin Verne ? On est à Paris au printemps 1832 en pleine épidémie de choléra ou de la peur bleue comme on l’appelle. Cette épidémie fait des centaines de morts et divise l’opinion publique. Mais parmi ces morts on découvre des cadavres qui ont été mutilés. En effet, dans cette série de meurtres les victimes sont poignardées et on leur a prélevé un organe. Vidocq, qui vient d’être renommé au poste de chef de la sûreté, confie l’enquête à Valentin. Une enquête complexe s’annonce. Avec un style d’écriture fluide, l’auteur nous entraîne au côté de Valentin et d’Aglaé sur l’enquête de cet étrange tueur en série. On se promène dans ce Paris du 19ème siècle. Entre fiction et réalité avec des personnages tels que Casimir Perrier ou George Sand, l’auteur arrive à mêler du suspense, des rebondissements. Les chapitres sont courts et rythmés .Cette période de notre histoire de France étant très trouble, elle se prête à créer des mystères. L’intrigue est bien construite, même si à mon goût je trouve le dénouement un peu facile. Les personnages ont évolué depuis le 1er tome. Le bureau des...

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• BenedicteBiblio 26/02/2024

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  Paris, 1832. Une épidémie de choléra fait rage et terrorise la population. On ne sait pas grand chose de la »peur bleue », comme on l’appelle alors, si ce n’est qu’elle semble surtout décimer les quartiers les plus pauvres. En parallèle, une série de meurtres fait craindre le pire. Les victimes sont poignardées, puis amputées d’un organe. L’inspecteur Verne a donc du pain sur la planche : il s’agit d’arrêter un dangereux maniaque mais également de contenir le vent de panique qui commence à s’emparer de la capitale. Secondé par Aglaé et deux nouvelles recrues (Tafik, un ancien mamelouk des armées napoléoniennes, et l’Entourloupe), notre héros policier n’en a pas fini de traquer la vérité dans les bas-fonds parisiens. Les nuits de la peur bleue constitue le troisième volet du Bureau des affaires occultes. J’apprécie cette série de polars pour tout le soin apporté à la reconstitution historique. Une nouvelle fois, j’ai donc aimé me plonger dans ce Paris de la première moitié du XIXe siècle en compagnie de Valentin et d’Aglaé, mais aussi de Vidocq (le chef de la sûreté toujours aussi crapule). L’écriture d’Éric Fouassier est fluide tandis que s’enchaînent révélations et rebondissements. Après avoir poursuivi son bourreau dans le roman précédent, il est agréable de retrouver un Valentin Verne plus apaisé et prêt à faire équipe avec la pétillante Aglaé Marceau ! Les personnages récurrents évoluent dans leur cheminement, et c’est aussi ce qui me donnait jusqu’ici l’envie de poursuivre l’aventure. Côté intrigue policière, je trouve ici habile la manière dont l’auteur entremêle politique, épidémie de choléra et meurtres en cascade. La maladie reste peu connue et divise la communauté scientifique, ce qui ajoute encore une montée en tension face à un serial killer qui prend des risques et joue avec ce climat d’insécurité et d’angoisse qui règne dans les rues. Comme d’habitude, j’étais loin de m’imaginer qui tirait les ficelles et pourquoi ! Éric Fouassier ne nous fait pas languir davantage et nous donne de vraies réponses quant à l’identité du Vicaire et les raisons du rapt de Valentin. Je ne m’y attendais pas, et ce fut une bonne surprise. Je ne suis pas férue de science, et c’est peut-être le seul bémol qui fait que je reste en marge du coup de cœur concernant cette série. Les intrigues sont toujours en lien avec les sciences, la chimie, et je reste totalement hermétique à ces disciplines. Après avoir eu les réponses que j’attendais, c’est peut-être LE détail qui fait que je ne lirai pas forcément la suite (si tome 4 il y a).Paris, 1832. Une épidémie de choléra fait rage et terrorise la population. On ne sait pas grand chose de la »peur bleue », comme on l’appelle alors, si ce n’est qu’elle semble surtout décimer les quartiers les plus pauvres. En parallèle, une série de meurtres fait craindre le pire. Les victimes sont poignardées, puis amputées d’un organe. L’inspecteur Verne a donc du pain sur la planche : il s’agit d’arrêter un dangereux maniaque mais également de contenir le vent de panique qui commence à s’emparer de la capitale. Secondé par Aglaé et deux nouvelles recrues (Tafik, un ancien mamelouk des armées napoléoniennes, et l’Entourloupe), notre héros policier n’en a pas fini de traquer la vérité dans les bas-fonds parisiens. Les nuits de la peur bleue constitue le troisième volet du Bureau des affaires occultes. J’apprécie cette série de polars pour tout le soin apporté à la reconstitution historique. Une nouvelle fois, j’ai donc aimé me plonger dans ce Paris de la première moitié du XIXe siècle en compagnie de Valentin et d’Aglaé, mais aussi de Vidocq (le chef de la sûreté toujours aussi crapule). L’écriture d’Éric Fouassier est fluide tandis que s’enchaînent révélations et rebondissements. Après avoir poursuivi son bourreau dans le...

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