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Veiller sur elle - Prix Goncourt 2023
Date de parution : 23/08/2023
Éditeurs :
Lizzie
PRIX CONSEILLÉ
23.99 €

Veiller sur elle - Prix Goncourt 2023

Date de parution : 23/08/2023
Au grand jeu du destin, Mimo a tiré les mauvaises cartes. Né pauvre, il est confié en apprentissage à un sculpteur de pierre sans envergure. Mais il a du génie... Au grand jeu du destin, Mimo a tiré les mauvaises cartes. Né pauvre, il est confié en apprentissage à un sculpteur de pierre sans envergure. Mais il a du génie entre les mains.

Toutes les fées ou presque se sont penchées sur Viola Orsini. Héritière d'une famille prestigieuse, elle a passé...
Au grand jeu du destin, Mimo a tiré les mauvaises cartes. Né pauvre, il est confié en apprentissage à un sculpteur de pierre sans envergure. Mais il a du génie entre les mains.

Toutes les fées ou presque se sont penchées sur Viola Orsini. Héritière d'une famille prestigieuse, elle a passé son enfance à l'ombre d'un palais génois. Mais elle a trop d'ambition pour se résigner à la place qu'on lui assigne.
Ces deux-là n'auraient jamais dû se rencontrer. Au premier regard, ils se reconnaissent et se jurent de ne jamais se quitter. Viola et Mimo ne peuvent ni vivre ensemble, ni rester longtemps loin de l'autre. Liés par une attraction indéfectible, ils traversent des années de fureur quand l'Italie bascule dans le fascisme. Mimo prend sa revanche sur le sort, mais à quoi bon la gloire s'il doit perdre Viola ?
Un livre audio plein de fougue et d'éclats, habité par la grâce et la beauté.
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EAN : 9791036630675
Façonnage normé : MP3
Lizzie
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EAN : 9791036630675
Façonnage normé : MP3

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Dominaturel 12/04/2024
    Livre d'une grande sensibilité et d'une grande sensualité. Il traite de sujets très actuels : la différence, l'émancipation..... C'est un très beau livre ! Il fait partie de ces livres que l'on pose sur nos genoux aux cours de la lecture pour laisser notre esprit accueillir la phrase lue.
  • Mimosa81 12/04/2024
    Mouais bof...je ne lis plus les Goncourt car j'ai la plupart du temps été déçue. C'est une collègue de travail qui me l'a prêté alors je l'ai lu. Encore une fois, je ne suis pas emballée...600 pages, beaucoup trop de longueurs, et une fin sans surprise. Cela dit, je n'enlève rien à la qualité d'écriture, c'est fluide, facile à lire et on est pris par l'histoire. L'histoire, c'est celle de Mimo. Un sculpteur qui au seuil de sa vie se remémore le fil de sa vie, sa relation singulière avec Viola et l'histoire de son chef d'oeuvre : une mystérieuse statue, troublant quiconque la voyait au point que le Vatican a décidé de la soustraire à la vue de tous. C'est donc l'histoire d'un homme parti de rien et qui a réussi avec l'aide de personnes par toujours très recommandables. C'est l'histoire d'un homme qui traverse une période de l'histoire pas très jolie puisque c'est l'arrivée au pouvoir de Mussolini. C'est l'histoire d'un homme qui s'est perdu dans l'alcool. C'est l'histoire d'un homme qui a du talent mais dont on sait servi pour assouvir des ambitions. Bref, c'est toute la complexité du pouvoir. Un bon roman qui permet de passer un bon moment de lecture.
  • balloonvenus 12/04/2024
    Soufflez tramontane, sirocco, libeccio, ponant et mistral. Allez porter loin, par-dessus Rome, Milan, Florence et Pietra d'Alba, la parole de Mimo Vitaliani, ses mots qui nous racontent sa vie de sculpteur renommé et audacieux. Très, trop. Et pourtant, Mimo n'a pas eu des débuts faciles. Né en 1904, fils d'un tailleur de pierre miséreux, son père a placé tellement d'espoir en lui qu'il l'a prénommé Michelangelo. Un nom lourd à porter, surtout quand on est un nain. Mais pas quand on a une sacrée personnalité, indispensable pour survivre avec ce handicap. Et un don inné... car Mimo est un génie de la sculpture. Son art culminent à sa dernière oeuvre, une Pieta qui va soulever bien des controverses (évidemment j'ai adoré cette dernière audace, ce chant du cygne), bien différente de celle de son homonyme. Si vous aimez les oeuvres dodécaphoniques de la poétesse croato-basque Svetlana Axoa, passez votre chemin. Car Jean-Baptiste Andrea a le don de nous embarquer dans la vie picaresque de Mimo dans une langue simple, fluide, qui permet au lecteur de plonger intensément dans les destins de ses personnages. Ce qui est particulièrement passionnant, cest que la vie de Mimo se calque sur l'histoire de l'Italie, tout particulièrement celle des années 1914-1960. Ses années d'apprentissage correspondent à celles de l'après-guerre. Les Années folles l'envoient dans des soirées de bacchanale, voire même dans un cirque. Mais à l'approche d'une sombre époque, il va aussi céder à l'appel du gain en augmentant le prix de ses oeuvres au fur et à mesure des commandes, qui affluent. Céder au fascisme ? A vedere. La seule personne à exercer une influence sur lui, c'est Viola. Enfant, puis ado, puis femme fantasque qui détone avec sa famille, les Orsini, nobles du coin. Elle sera le lien entre Mimo et la culture, l'audace, l'indépendance et les idées nouvelles. L'évolution de Viola est elle aussi parallèle à l'histoire italienne, avec notamment son engagement politique et son féminisme. Mimo ne vivra jamais selon sa taille, selon ce que l'on attend donc de lui. Ses oeuvres vont transcender leurs spectateurs, et vont choquer la morale des bons bourgeois et surtout l'Eglise. En lisant Veiller sur elle, j'ai vraiment eu l'impression d'écouter, assise devant une belle flambée, Mimo raconter sa vie agitée. J'aime quand l'écrivain a la modestie de s'effacer au profit de ses personnages, donnant ainsi au lecteur une prise directe avec le récit. C'était mon premier roman de Jean-Baptiste Andréa, ce ne sera pas le dernier.Soufflez tramontane, sirocco, libeccio, ponant et mistral. Allez porter loin, par-dessus Rome, Milan, Florence et Pietra d'Alba, la parole de Mimo Vitaliani, ses mots qui nous racontent sa vie de sculpteur renommé et audacieux. Très, trop. Et pourtant, Mimo n'a pas eu des débuts faciles. Né en 1904, fils d'un tailleur de pierre miséreux, son père a placé tellement d'espoir en lui qu'il l'a prénommé Michelangelo. Un nom lourd à porter, surtout quand on est un nain. Mais pas quand on a une sacrée personnalité, indispensable pour survivre avec ce handicap. Et un don inné... car Mimo est un génie de la sculpture. Son art culminent à sa dernière oeuvre, une Pieta qui va soulever bien des controverses (évidemment j'ai adoré cette dernière audace, ce chant du cygne), bien différente de celle de son homonyme. Si vous aimez les oeuvres dodécaphoniques de la poétesse croato-basque Svetlana Axoa, passez votre chemin. Car Jean-Baptiste Andrea a le don de nous embarquer dans la vie picaresque de Mimo dans une langue simple, fluide, qui permet au lecteur de plonger intensément dans les destins de ses personnages. Ce qui est particulièrement passionnant, cest que la vie de Mimo se calque sur l'histoire de l'Italie,...
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  • Devoreusedepages 12/04/2024
    L'art qu'il soit contemporain ou ancien est un monde sur lequel j'ai très peu de connaissances. Ici je découvre donc l'art italien par le biais de la sculpture et de "Mimo". J'ai totalement été embarqué par cette autobiographie fictive tellement bien que j'ai cherché si "Mimo" existait. On trouve des descriptions très complètes afin de vous guider ou nous faire parvenir le message de transcription de l'oeuvre dans la pierre. Pour le coup j'ai fait des découvertes tout cela sur un fond d'amitié, de paysages, mais aussi de secrets. J'ai été pleine d'empathie pour ce "Mimo" presque en lui disant " Tu n'es pas comme ça, tu vaux mieux que ça". Ne soyez pas comme moi en ayant peur de lire un Goncourt. Une très belle découverte pour moi.
  • thebookshereads 12/04/2024
    Dès le premières pages de ce roman, j’ai senti qu’il ne me laisserait pas indifférente, j’ai senti que moi aussi je succomberai au talent de Jean-Baptiste Andréa. Car de ce roman, j’ai tout aimé. Les personnages, tout d’abord, que ce soit cette petite brute adorable aux mains d’or qu’est Mimo ou Viola, jeune femme passionnée dont la soif de liberté et de réalisation personnelle mérite le plus grand des respects. C’est toute la sagesse et l’amour qui se dégage de ces deux personnages, cette relation si fusionnelle qui rend ce roman si lumineux et impactant. J’ai également beaucoup apprécié le contexte historique qui m’a permis d’en apprendre plus sur l’Italie au XXème siècle, sur la montée du fascisme et de Mussolini au pouvoir jusqu’au point de non retour, l’alliance avec Hitler et les répercussions que cela a eu sur les populations. Et puis « Veiller sur elle », c’est aussi un roman sur l’art qu’est la sculpture, sur la beauté du processus de création, magnifié par l’impertinence des œuvres de Mimo. Dès les premières pages de ce roman, j’ai su que « Veiller sur elle » serait un coup de cœur et je ne me suis pas trompée. Ce roman est une histoire magnifique qui mérite amplement son succès et son Prix Goncourt. Alors si vous faites partie des rares lecteurs n’ayant pas encore lu ce roman, cette chronique est un message vous invitant à régler ce souci de ce pas ! N’hésitez plus et partez à la découverte de l’histoire fabuleuse des jumeaux cosmiques Mimo et Viola.Dès le premières pages de ce roman, j’ai senti qu’il ne me laisserait pas indifférente, j’ai senti que moi aussi je succomberai au talent de Jean-Baptiste Andréa. Car de ce roman, j’ai tout aimé. Les personnages, tout d’abord, que ce soit cette petite brute adorable aux mains d’or qu’est Mimo ou Viola, jeune femme passionnée dont la soif de liberté et de réalisation personnelle mérite le plus grand des respects. C’est toute la sagesse et l’amour qui se dégage de ces deux personnages, cette relation si fusionnelle qui rend ce roman si lumineux et impactant. J’ai également beaucoup apprécié le contexte historique qui m’a permis d’en apprendre plus sur l’Italie au XXème siècle, sur la montée du fascisme et de Mussolini au pouvoir jusqu’au point de non retour, l’alliance avec Hitler et les répercussions que cela a eu sur les populations. Et puis « Veiller sur elle », c’est aussi un roman sur l’art qu’est la sculpture, sur la beauté du processus de création, magnifié par l’impertinence des œuvres de Mimo. Dès les premières pages de ce roman, j’ai su que « Veiller sur elle » serait un coup de cœur et je ne me suis pas trompée. Ce roman est une histoire...
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