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Le Bal mécanique
Date de parution : 04/01/2018
Éditeurs :
Pocket

Le Bal mécanique

Date de parution : 04/01/2018
Carl Schors, vieux peintre renommé, vit coupé du monde dans sa thébaïde de Saint-Paul-de-Vence. Son fils Josh produit une émission de téléréalité à succès mêlant décoration d’intérieur et thérapie familiale.... Carl Schors, vieux peintre renommé, vit coupé du monde dans sa thébaïde de Saint-Paul-de-Vence. Son fils Josh produit une émission de téléréalité à succès mêlant décoration d’intérieur et thérapie familiale. Ironique, quand on sait que père et fils ne se parlent plus. Mais la découverte de la collection Gurlitt, plus... Carl Schors, vieux peintre renommé, vit coupé du monde dans sa thébaïde de Saint-Paul-de-Vence. Son fils Josh produit une émission de téléréalité à succès mêlant décoration d’intérieur et thérapie familiale. Ironique, quand on sait que père et fils ne se parlent plus. Mais la découverte de la collection Gurlitt, plus grande saisie de toiles spoliées par le IIIe Reich, va les contraindre tous deux à démêler les fils de leur histoire familiale. Une mécanique tragique dont Theodor Grenzberg, marchand de Paul Klee, et une certaine Magda, étudiante au Bauhaus, semblent détenir la clé.

« Plonger à travers Madga dans l’aventure audacieuse de la prestigieuse école que fut le Bauhaus tient du ravissement. » Catherine Mallaval – Libération

« Foisonnant et érudit. » Florence Bouchy – Le Monde des Livres

« La romancière excelle dans ce grand bal tragique et tourbillonnant. » Véronique Rossignol – Livres Hebdo
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EAN : 9782266272834
Code sériel : 16873
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266272834
Code sériel : 16873
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Une passionnante plongée au cœur du très révolutionnaire Bauhaus. » Fabienne Pascaud – Télérama
« Foisonnant et érudit. » Florence Bouchy – Le Monde des Livres
« Plonger à travers Madga dans l’aventure audacieuse de la prestigieuse école que fut le Bauhaus tient du ravissement. » Catherine Mallaval – Libération
« Elle m’impressionne avec cette grande saga. » Augustin Trapenard – Transfuge
« Un roman captivant. » Culturebox
« La romancière excelle dans ce grand bal tragique et tourbillonnant. » Véronique Rossignol – Livres-Hebdo

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Cassiopee42 04/03/2023
    Deux « livres » en un pour deux époques d’une même famille. Dans la première partie, le fils : Josh, s’exprime le plus souvent à la première personne. Il est responsable d’une émission « Oh My Josh » très connue et très « hollywoodienne ». Comme il le dit lui-même : « Je ne prétends pas apporter le bonheur aux familles candidates . Je cherche à faire naître l’espoir chez les autres. » mais le but annoncé est malgré tout de faire avancer des familles (le but caché sera, bien sûr, de faire de l’audience, mais je ne vous apprends rien….) en « nettoyant » leur maison et en les confrontant à certains choix (ils ne peuvent pas emporter grand-chose…. On le voit évoluer dans sa vie professionnelle et personnelle, chaque chapitre est introduit par le titre d’une toile ou d’un film. Habilement, l’art est au cœur de cet ouvrage, de plus en plus présent au fil des pages. Dans la seconde partie, on repart dans le passé et on découvre le père de Josh, appelé Carl, il vit à Saint Paul de Vence et il est peintre. Leurs rapports ne sont pas simples : l’un en France, l’autre aux USA, le fils n’ayant pas suivi la carrière envisagée par son géniteur. Et là, on rentre au cœur d’une intrigue parfaitement bien pensée, mêlant avec doigté personnages ayant existé et d’autres imaginaires. Secrets de filiation, trésors cachés par les nazis, etc… Ce livre est très bien construit, riche, très riche. L’auteur aborde l’art sous différents points de vue, faisant revivre certains artistes talentueux, créant des liens entre différentes générations…. L’écriture est belle, travaillée, le style fluide. J’ai aimé les parallèles entre les époques, les liens qui se nouent, se dénouent, le fait de découvrir le passé dans un « autre livre »….Ce recueil est une œuvre d’exception, tant par le contenu dédié à l’art que par la forme ainsi que le choix minutieux de chaque tableau ou film mis en exergue au début de chaque chapitre. Deux « livres » en un pour deux époques d’une même famille. Dans la première partie, le fils : Josh, s’exprime le plus souvent à la première personne. Il est responsable d’une émission « Oh My Josh » très connue et très « hollywoodienne ». Comme il le dit lui-même : « Je ne prétends pas apporter le bonheur aux familles candidates . Je cherche à faire naître l’espoir chez les autres. » mais le but annoncé est malgré tout de faire avancer des familles (le but caché sera, bien sûr, de faire de l’audience, mais je ne vous apprends rien….) en « nettoyant » leur maison et en les confrontant à certains choix (ils ne peuvent pas emporter grand-chose…. On le voit évoluer dans sa vie professionnelle et personnelle, chaque chapitre est introduit par le titre d’une toile ou d’un film. Habilement, l’art est au cœur de cet ouvrage, de plus en plus présent au fil des pages. Dans la seconde partie, on repart dans le passé et on découvre le père de Josh, appelé Carl, il vit à Saint Paul de Vence et il est peintre. Leurs rapports ne sont pas simples : l’un en France, l’autre aux USA, le...
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  • Maria42 28/04/2022
    J'ai eu un peu de mal à entrer dans le livre et m'imprégner des personnages. La partie une est un peu longue à se mettre en route mais quand la "mécanique" de l'histoire commence à se mettre en place, j'ai plongé à corps perdu dans le monde coloré, naturel et artistique des Klee, Kandinsky et autres sur un fond de saga familiale et de censure nazie... Magda nous fait découvrir le combat féministe de l'époque dans un monde artistique mais si machiste encore ! C'est un roman que je recommande vivement.
  • patriciabiron 13/03/2021
    📌 La première partie du livre nous raconte alternativement le quotidien de Carl et Josh ainsi que leur ressenti respectif quand aux causes et conséquences de l’interruption de leur relation. Jusqu’à la découverte de la Collection Gurlitt qui interpelle Carl par une des toiles inventoriée qui est le portrait de son père. Une recherche généalogique s’impose afin de prouver ses origines, recherche qui s’avèrera riche en rebondissements. 📌 La seconde partie remonte aux origines de la famille de Carl et notamment de sa mère. On y parle beaucoup de l’art pictural et de la naissance de Bauhaus, une école née en Allemagne au lendemain de la première Guerre mondiale. Une école atypique qui mettait en œuvre des idées révolutionnaires concernant les métiers artistiques , affirmant ainsi qu’il n’y a pas d’art professionnel ni de différence entre l’artiste et l’artisan : « Le but final de toute activité plastique est la construction ». 📌 La vie fictive de la famille de Carl (Schorsmann-Grenzberg) est peinte, dans cette partie du roman, sur une toile de fond bien réelle. De Munich à Berlin, de Berne à Moscou ou Paris, on fait connaissance avec tous les grands noms de la peinture, de la photo, de l’architecture ou du tissage qui ont marqué Bauhaus par leur enseignement ou leur apprentissage. 📌 Une seconde partie riche d’Histoire, tant artistique que politique, mais avec une accumulation de longueurs qui ont rendu ma lecture fastidieuse. 📌 La première partie du livre nous raconte alternativement le quotidien de Carl et Josh ainsi que leur ressenti respectif quand aux causes et conséquences de l’interruption de leur relation. Jusqu’à la découverte de la Collection Gurlitt qui interpelle Carl par une des toiles inventoriée qui est le portrait de son père. Une recherche généalogique s’impose afin de prouver ses origines, recherche qui s’avèrera riche en rebondissements. 📌 La seconde partie remonte aux origines de la famille de Carl et notamment de sa mère. On y parle beaucoup de l’art pictural et de la naissance de Bauhaus, une école née en Allemagne au lendemain de la première Guerre mondiale. Une école atypique qui mettait en œuvre des idées révolutionnaires concernant les métiers artistiques , affirmant ainsi qu’il n’y a pas d’art professionnel ni de différence entre l’artiste et l’artisan : « Le but final de toute activité plastique est la construction ». 📌 La vie fictive de la famille de Carl (Schorsmann-Grenzberg) est peinte, dans cette partie du roman, sur une toile de fond bien réelle. De Munich à Berlin, de Berne à Moscou ou Paris, on fait connaissance avec tous les grands noms de la peinture, de la photo,...
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  • Little_stranger 16/01/2021
    Il était une fois une petite fille qui réalisait d'étranges compositions via le dessin, le collage, une petite fille dont le parrain était Paul KLEE, une petite fille dont le papa tenait une galerie d'art à Berlin. le couple formé par ses parents était fusionnel : lui vénérait sa divine épouse, l'épouse vivait trop fort, trop vite et se mettait en danger. L'histoire de la petite fille se passe en Allemagne après la 1ère guerre mondiale alors qu'un petit type à moustache commence à se manifester. L'histoire raconte l'art dégénéré, le BAUHAUSS ... Elle parle de cette petite fille qui va grandir, de sa famille qui tire le diable par la queue, d'un petit garçon élevé par une famille adoptive en AMERIQUE et qui ne connaît pas sa mère, un animateur de télé qui mixe psychologie et décoration dans le monde d'aujourd'hui et qui va devenir papa. le seconde roman de Y. GRANNEC est superbe. J'ai découvert ou plutôt approfondi mes connaissances relatives au BAUHAUSS : je suis une grand fan de MIES VAN DER ROHE devant l'éternel et j'ai surtout aimé l'amour de l'art, qui réussit à vaincre le temps, la bêtise des hommes comme un fil d'Ariane dans le labyrinthe de l'éternité. Et merci à Blandine, pour son apport technique !Il était une fois une petite fille qui réalisait d'étranges compositions via le dessin, le collage, une petite fille dont le parrain était Paul KLEE, une petite fille dont le papa tenait une galerie d'art à Berlin. le couple formé par ses parents était fusionnel : lui vénérait sa divine épouse, l'épouse vivait trop fort, trop vite et se mettait en danger. L'histoire de la petite fille se passe en Allemagne après la 1ère guerre mondiale alors qu'un petit type à moustache commence à se manifester. L'histoire raconte l'art dégénéré, le BAUHAUSS ... Elle parle de cette petite fille qui va grandir, de sa famille qui tire le diable par la queue, d'un petit garçon élevé par une famille adoptive en AMERIQUE et qui ne connaît pas sa mère, un animateur de télé qui mixe psychologie et décoration dans le monde d'aujourd'hui et qui va devenir papa. le seconde roman de Y. GRANNEC est superbe. J'ai découvert ou plutôt approfondi mes connaissances relatives au BAUHAUSS : je suis une grand fan de MIES VAN DER ROHE devant l'éternel et j'ai surtout aimé l'amour de l'art, qui réussit à vaincre le temps, la bêtise des hommes comme un fil d'Ariane dans...
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  • isabelledesage 27/12/2020
    le titre du roman, le bal mécanique fait référence à un tableau de Paul Klee, l'artiste apparaît comme l'un des personnages centraux de ce roman de plus de 600 pages. Bâti comme un puzzle ou une constellation, ce récit en deux livres (I et II, présent et passé) s'ouvre à chaque chapitre avec le titre d'une oeuvre, le nom de l'artiste et sa date de création. Ainsi, l'auteur évoque par exemple « Fontaine » de Marcel Duchamp, plusieurs oeuvres de Klee, en passant par une vanité de Philippe de Champaigne, « La maison jaune » de Gabriele Münter, ou encore, « La piscine » de Hopper. Chaque oeuvre évoque un moment du roman, une phrase, l'évanescence ou la rémanence d'un souvenir, une fragrance, une musique. C'est suite au décès de son père, artiste peintre réputé et à la découverte de la collection Gurlitt en 2014 (collection de toiles spoliées par le IIIe Reich) que le personnage principal, Josh, va chercher à démêler son histoire familiale qu'il imagine, au fil de son enquête, extraordinaire. Mais la fin du roman montre, une fois de plus, combien les ancêtres peuvent être sublimés alors que la réalité est souvent bien plus ordinaire, décevante ou tout simplement humaine. A travers cette enquête familiale et artistique, entre peintures et photographies, correspondance et voyages, les personnages et les histoires s'entrecroisent. La première partie du roman se déroule aux Etats-Unis et en France, au 21ème siècle (un seul chapitre correspond au XXe siècle et à la guerre de Corée). Josh, ex-architecte, concepteur-animateur vedette d'une émission de télé-réalité et sa femme Vikkie, ex-psychologue, préparent les épisodes de leur émission. Ainsi, le lecteur assiste aux coulisses de l'émission, mais aussi au direct du plateau, aux soucis du monde de la télévision. Cette première partie est très jargonnante, truffée de références psychologiques et même biochimiques (testostérone, ocytocine et autres hormones) ou encore télévisuelle. le lecteur, à mon avis, peut ne pas vraiment trouver d'intérêt aux quatre premiers chapitres, à moins d'apprécier la télé-réalité. Fort heureusement, l'univers de la peinture apparaît au cinquième chapitre éveillant ainsi la curiosité du lecteur. La seconde partie du roman est chronologique et se déroule en Europe, à travers l'Allemagne, la Suisse et même l'Union soviétique, de 1901 à 1937. Elle nous fait découvrir l'histoire de Théodor et Luise Grenzberg, ancêtres de Josh. Théodor devient marchand de tableaux et ami de Paul Klee. Ce roman dont la trame historique est réelle met en scène des artistes tels que Gropius, Hannes Meyer, Gunta Stözl, Otto Dix mais surtout la vie au Bauhaus à Dessau où enseigne Klee. On assiste à la vie nocturne d'un Berlin d'avant-garde, juste après la Première guerre mondiale avec ses vies dissolues, la drogue et l'inflation, la vie artistique très riche et la montée de l'antisémitisme et du nazisme. Ce roman, riche de références artistiques est très foisonnant et peut sembler parfois confus. Comme dans son troisième roman, Les Simples, l'auteur veut peut-être trop documenter ses récits, au risque de perdre ses lecteurs. Il faudrait parfois, pour reprendre le jargon de la télé-réalité inhérent à ce récit « purger » les chapitres de son trop plein de bavardages et créer davantage de liens entre les multiples références qui, telles des pièces de puzzles, constituent le portrait de famille initial. le titre du roman, le bal mécanique fait référence à un tableau de Paul Klee, l'artiste apparaît comme l'un des personnages centraux de ce roman de plus de 600 pages. Bâti comme un puzzle ou une constellation, ce récit en deux livres (I et II, présent et passé) s'ouvre à chaque chapitre avec le titre d'une oeuvre, le nom de l'artiste et sa date de création. Ainsi, l'auteur évoque par exemple « Fontaine » de Marcel Duchamp, plusieurs oeuvres de Klee, en passant par une vanité de Philippe de Champaigne, « La maison jaune » de Gabriele Münter, ou encore, « La piscine » de Hopper. Chaque oeuvre évoque un moment du roman, une phrase, l'évanescence ou la rémanence d'un souvenir, une fragrance, une musique. C'est suite au décès de son père, artiste peintre réputé et à la découverte de la collection Gurlitt en 2014 (collection de toiles spoliées par le IIIe Reich) que le personnage principal, Josh, va chercher à démêler son histoire familiale qu'il imagine, au fil de son enquête, extraordinaire. Mais la fin du roman montre, une fois de plus, combien les ancêtres peuvent être sublimés alors que la réalité est souvent bien plus ordinaire, décevante ou tout simplement humaine. A travers cette...
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