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Paddy Clarke Ha Ha Ha
Léon Mercadet (traduit par)
Collection : Pavillons Poche
Date de parution : 06/10/2016
Éditeurs :
Robert Laffont

Paddy Clarke Ha Ha Ha

Léon Mercadet (traduit par)
Collection : Pavillons Poche
Date de parution : 06/10/2016
« Un triomphe ! Cette oeuvre établit Roddy Doyle comme le meilleur romancier de sa génération. » Nick Hornby.

Paddy Clarke est un garnement de dix ans à l’imagination débordante qui n’adore rien tant que jouer des tours pendables à ceux qui l’entourent. Il relève d’innombrables défis dans les...

Paddy Clarke est un garnement de dix ans à l’imagination débordante qui n’adore rien tant que jouer des tours pendables à ceux qui l’entourent. Il relève d’innombrables défis dans les chantiers, les terrains vagues et les boutiques de Barrytown. En compagnie de ses complices de toujours, il fait les quatre...

Paddy Clarke est un garnement de dix ans à l’imagination débordante qui n’adore rien tant que jouer des tours pendables à ceux qui l’entourent. Il relève d’innombrables défis dans les chantiers, les terrains vagues et les boutiques de Barrytown. En compagnie de ses complices de toujours, il fait les quatre cents coups. Toutefois, ses jeux ne peuvent le protéger indéfiniment des disputes de ses parents…
Avec pour toile de fond le Dublin des années 1960, ce petit garçon grandit, mais surtout mûrit, au coeur d’une famille qui se déchire. Les aventures de Paddy Clarke, digne successeur de Huck Finn et Holden Caulfield, ont valu à Roddy Doyle le prestigieux Booker Prize.

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EAN : 9782221193112
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 122 x 182 mm
EAN : 9782221193112
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 122 x 182 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • R-MDominik 07/09/2022
    J’aime la littérature Irlandaise, du moins celle que je connais. J’aime cette écriture qui toujours vous surprend, j’ai lu dernièrement « Milkman » d’Anna Burns qui m’a littéralement sidéré. Restons sur Roddy Doyle. Tiens au fait, je l’ai déjà écrit, mais ne lisez jamais les quatrièmes de couverture, en dehors de n’avoir que peu d’intérêt, la plupart du temps, elles vous dévoilent une partie du livre, vous savez, la partie du livre situé après la deux centième page, comme ici. Je ne vais rien dévoiler si ce n’est ce qui est très attachant. L’histoire se situe en Irlande, à Dublin et plus précisément dans un quartier que je crois être imaginaire : « Barrytown ». C’est drôle d’ailleurs parce que j’ai lu, il y a quelques années « The commitments » dont l’action se situe elle aussi dans ce quartier imaginaire et introduit une trilogie dite « The Barrytown Trilogy » avec « The van » et « The Snapper ». Il faudrait parler d’une Tétralogie alors… Bref. Bon, là il s’agit donc de « Paddy Clarke, Ha ha ha » et cette fois le héros, Patrick (comme son père) dit « Paddy » n’a que dix ans. Je me suis parfois retrouvé dans ce personnage espiègle et très attachant et ses jeux un peu cruels comme le sont souvent les jeux des enfants. Paddy fait vraiment les 400 coups avec sa bande, Kevin, Liam, Aidan et son petit frère Francis dit Sinbad qui joue souvent les souffre-douleur – normal c’est le p’tit frère. Parfois bon élève parfois médiocre, il connaît un tas de choses sur beaucoup de sujets. Au fait, vous le saviez, vous, que le nom de la Rhodésie (eh oui, nous sommes dans les années 60, le Zimbabwe s’appelle encore la Rhodésie) vient d’un certain Cecil Rhodes ? Moi, non, Paddy oui (même s’il ne sait ce que cet homme a fait pour mériter cela…). Il adore George Best et Manchester United. Paddy aime sa maman - la meilleure mère du monde - et son papa, Catherine sa petite sœur ne compte pas, c’est une fille, quant à Deirdre, c’est un bébé. Bref, c’est un garnement de dix ans. L’insouciante qui s’efface peu à peu, passés les jeux, on rentre à la maison. Il ne comprend plus tout le petit Paddy, les jeux cruels pour rigoler c’est pour les enfants, non ? Les grandes personnes ne font pas rigoler. Une belle écriture et un très beau roman. J’aime la littérature Irlandaise, du moins celle que je connais. J’aime cette écriture qui toujours vous surprend, j’ai lu dernièrement « Milkman » d’Anna Burns qui m’a littéralement sidéré. Restons sur Roddy Doyle. Tiens au fait, je l’ai déjà écrit, mais ne lisez jamais les quatrièmes de couverture, en dehors de n’avoir que peu d’intérêt, la plupart du temps, elles vous dévoilent une partie du livre, vous savez, la partie du livre situé après la deux centième page, comme ici. Je ne vais rien dévoiler si ce n’est ce qui est très attachant. L’histoire se situe en Irlande, à Dublin et plus précisément dans un quartier que je crois être imaginaire : « Barrytown ». C’est drôle d’ailleurs parce que j’ai lu, il y a quelques années « The commitments » dont l’action se situe elle aussi dans ce quartier imaginaire et introduit une trilogie dite « The Barrytown Trilogy » avec « The van » et « The Snapper ». Il faudrait parler d’une Tétralogie alors… Bref. Bon, là il s’agit donc de « Paddy Clarke, Ha ha ha » et cette fois le héros, Patrick (comme son père) dit « Paddy » n’a que dix ans. Je me suis parfois retrouvé dans...
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  • StCyr 03/11/2021
    Le quotidien d'un gamin de la banlieue de Dublin et de sa bande de galopins, durant les sixties, dans la banlieue de Dublin, entre menus larcins, déprédations en tous genres, parties de football endiablées, sur fond de querelles parentales grandissantes et d'éducation scolaire à la dure.  Paddy Doyle adopte le point de vue du préado narrateur. Malheureusement, si ce parti pris ne s'accompagne pas d'une sensibilité particulière ou d'une bonne dose d'humour comme dans La Vie devant soi de Romain Gary alias Émile Ajar par exemple, le récit se réduit à une suite de banalités dites avec une grande pauvreté de moyen d'expression et l'effet tombe à plat. C'est un peu le cas pour Paddy Clarke ha ha ha, en convenant qu'au fil de la lecture on s'habitue, comme on s'habitue à tout d'ailleurs. Une lecture pas vraiment indispensable malgré l'attribution du prestigieux Booker Prize 1993. 
  • Crazynath 12/11/2020
    Poursuivant ma découverte de l’œuvre de Roddy Doyle, lire « Paddy Clarke ha ha ha » me semblait incontournable. Je me suis donc plongée dans les aventures (comment les qualifier autrement d’ailleurs) d’un gamin de Dublin. Nous sommes dans les années 60 et à cette période les enfants s’amusent non avec une Game-Boy ou autre Playstation mais avec un ballon de foot dans les terrains vagues… Paddy, diminutif de Patrick, a dix ans et est l’ainée d’une fratrie de quatre enfants. Si ses deux petites sœurs sont pour lui tout à fait inintéressantes du fait de leur très jeune âge, il daigne accorder un peu de son attention à son jeune frère, Sinbad (alias Francis). Ce dernier, catalogué comme « petit frère » est évidemment considéré comme « inferieur » par Paddy qui n’accepte comme égal que certains de ses camarades de classe…. Ce sont ses pérégrinations que nous allons suivre en parallèle de l’évolution de sa cellule familiale… J’ai un peu regretté que la quatrième de couverture révèle ce qui va survenir quasiment à la fin du livre, à savoir le départ du père… Même si l’on constate pendant la lecture une dégradation des rapports entre les parents du jeune Paddy, j’aurais préféré ne pas le savoir… Je ne peux cependant que saluer le talent de Roddy Doyle qui a su restituer avec beaucoup de talent et d’authenticité les réflexions d’un gamin de cet âge. On ne peut que sourire devant son langage et ses réflexions si rafraîchissants et ses nombreuses digressions, montrant bien qu’il s’agit d’un gamin vif à qui bien peu de choses échappent… Poursuivant ma découverte de l’œuvre de Roddy Doyle, lire « Paddy Clarke ha ha ha » me semblait incontournable. Je me suis donc plongée dans les aventures (comment les qualifier autrement d’ailleurs) d’un gamin de Dublin. Nous sommes dans les années 60 et à cette période les enfants s’amusent non avec une Game-Boy ou autre Playstation mais avec un ballon de foot dans les terrains vagues… Paddy, diminutif de Patrick, a dix ans et est l’ainée d’une fratrie de quatre enfants. Si ses deux petites sœurs sont pour lui tout à fait inintéressantes du fait de leur très jeune âge, il daigne accorder un peu de son attention à son jeune frère, Sinbad (alias Francis). Ce dernier, catalogué comme « petit frère » est évidemment considéré comme « inferieur » par Paddy qui n’accepte comme égal que certains de ses camarades de classe…. Ce sont ses pérégrinations que nous allons suivre en parallèle de l’évolution de sa cellule familiale… J’ai un peu regretté que la quatrième de couverture révèle ce qui va survenir quasiment à la fin du livre, à savoir le départ du père… Même si l’on constate pendant la lecture une dégradation des rapports entre les parents du jeune Paddy, j’aurais préféré...
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  • angellinebibi 24/04/2020
    Paddy Clarke est un garnement de dix ans à l'imagination débordante qui n'adore rien tant que jouer des tours pendables à ceux qui l'entourent. Il relève d'innombrables défis dans les chantiers, les terrains vagues et les boutiques de Barrytown. En compagnie de ses complices de toujours, il fait les quatre cents coups. Toutefois, ses jeux ne peuvent le protéger indéfiniment des disputes de ses parents... Les aventures de Paddy -un garçonnet de neuf/dix ans- qui nous raconte sa vie dans la banlieue d'une ville au bord de la mer en Irlande des années 60, avec ses copains -Kevin, Ian McRoy, Liam et Aidan-, son petit frère surnommé Sinbad et ses parents. Drôle, attachant avec ses joies et ses peines.
  • Melisende 03/04/2020
    Comme chaque année depuis quelques temps maintenant, j’essaye de consacrer la majorité de mes lectures du mois de mars à des auteur.ice.s irlandais.e.s ou à des titres qui se déroulent en Irlande (pour le challenge The Irish Readathon). Cette année n’a pas fait exception et j’ai commencé fort puisque je me suis attaquée à un grand nom – Roddy Doyle – et à Paddy Clarke Ha Ha Ha, un de ses livres les plus connus (il a reçu le Booker Prize en 1993). J’avais déjà pu tester le style de Roddy Doyle grâce à de ses écrits jeunesse, 3 femmes et un fantôme. J’avais apprécié la plongée dans le quotidien irlandais, mais sans grand attachement pour les personnages. Je dirais que c’est pratiquement la même chose ici. Et si l’autre titre mettait des héroïnes d’âge différent en scène, permettant ainsi de s’identifier plus ou moins à au moins une d’entre elles, Paddy Clarke raconte l’histoire de… Paddy Clarke. Un gamin de 10 ans qui fait les 400 coups. C’est un peu plus difficile de créer un véritable lien entre lui et la trentenaire que je suis. Alors même si j’ai parfois souri à ses bêtises ou me suis un peu offusquée de ses jeux cruels (envers les adultes, ses amis ou même envers son petit frère), je me suis aussi un peu ennuyée. Près de 400 pages de bêtises du quotidien, quand on n’a plus vraiment l’âge, c’est un peu répétitif. J’ai en revanche pris plaisir à découvrir la peinture sociale et quotidienne de l’époque : la middle class dans le Dublin des années 60. Si vous connaissez un peu l’histoire irlandaise, vous repérerez sans problème quelques détails typiques en toile de fond : le catholicisme, le conflit nord-irlandais… Je n’ai eu aucun mal à me laisser entraîner dans le quartier de Paddy, en pleine expansion. J’ai eu assez clairement devant les yeux les maisons mitoyennes (en briques), les jardinets, les grilles et les gamins turbulents au milieu des rues. Je reconnais également à Roddy Doyle un certain talent pour l’écriture dynamique – notamment les dialogues. C’est très oral, vif et on sent bien l’espièglerie du jeune Paddy entre les lignes. On peut malgré tout être un peu surpris par la construction du récit qui n’est pas découpé en chapitres mais qui est tout d’un bloc. On suit le fil des pensées du jeune héros, pensées qui s’enchaînent parfois sans réelle logique (hommage au Ulysse de James Joyce ?) ce qui produit un résultat parfois un peu dense et confus. L’émotion n’est pas non plus absente de ce roman, je dirais même qu’on peut y trouver une certaine tendresse ; finalement, on l’aime bien ce petit garnement intenable qui se défoule à l’extérieur alors que ses parents se déchirent à la maison et qu’il se sent totalement impuissant. Deuxième livre de Roddy Doyle découvert et deuxième lecture un peu mitigée. De l’humour, de la tendresse, de l’espièglerie, une peinture du quotidien vive et authentique… oui, mais encore une fois un jeune héros pour lequel je ne ressens pas une énorme empathie. Peut-être est-ce simplement une histoire de différence d’âge ? Peut-être.Comme chaque année depuis quelques temps maintenant, j’essaye de consacrer la majorité de mes lectures du mois de mars à des auteur.ice.s irlandais.e.s ou à des titres qui se déroulent en Irlande (pour le challenge The Irish Readathon). Cette année n’a pas fait exception et j’ai commencé fort puisque je me suis attaquée à un grand nom – Roddy Doyle – et à Paddy Clarke Ha Ha Ha, un de ses livres les plus connus (il a reçu le Booker Prize en 1993). J’avais déjà pu tester le style de Roddy Doyle grâce à de ses écrits jeunesse, 3 femmes et un fantôme. J’avais apprécié la plongée dans le quotidien irlandais, mais sans grand attachement pour les personnages. Je dirais que c’est pratiquement la même chose ici. Et si l’autre titre mettait des héroïnes d’âge différent en scène, permettant ainsi de s’identifier plus ou moins à au moins une d’entre elles, Paddy Clarke raconte l’histoire de… Paddy Clarke. Un gamin de 10 ans qui fait les 400 coups. C’est un peu plus difficile de créer un véritable lien entre lui et la trentenaire que je suis. Alors même si j’ai parfois souri à ses bêtises ou me suis un peu offusquée de ses jeux...
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