L'art du meurtre

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• SunsetAvenue 07/04/2024

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  Quel thriller ! 300 pages de pur génie, 300 pages d'une enquête addictive dont on ne ressort pas indemne ! C'est avec l'art du meurtre que j'ai décidé de découvrir la plume de Chrystel Duchamp et autant vous dire que je ne le regrette pas un seul instant ! Dans cette enquête originale, l'équipe de la PJ de Paris, menée par le capitaine Patricia Levêque et secondée par Audrey Durand, doit faire la lumière sur le meurtre de Franck Tardy, un riche avocat collectionneur d'art, dont le corps est retrouvé mis en scène chez lui. Cet homme, habitué des clubs sado masochistes, était à court d'argent. L'enquête piétine jusqu'à ce qu'un autre corps de collectionneur, lui aussi, mis en scène, est retrouvé. Mêler art contemporain et thriller, en voilà une idée passionnante ! Moi qui suis sensible à l'art, je ne peux que saluer l'idée ingénieuse de l'autrice, qui réussit à mettre en scène une intrigue implacable. Dès les premières pages, on se retrouve hâpé dans le quotidien d'Audrey Durand et on suit avec délectation toutes les péripéties qui rythment l'enquête. Les chapitres sont courts, bien construits et terminent toujours pas une avancée surprenante pour l'enquête. J'avais peur que le format de 300 pages ne soit pas suffisant pour démêler l'intrigue, mais finalement, c'est juste ce qu'il faut. On fait face à plusieurs reprises à de sacrés retournements de situations, mais le plus impressionnant reste la révélation finale. J'avais quelques doutes, mais l'autrice les a vite distillé pendant toute l'intrigue, et la fin n'en a été que surprenante ! J'ai passé un excellent moment plongée dans ce thriller, qui m'a donné quelques sueurs froides et en refermant le livre, je me suis faite une promesse : je compte bien lire tous les livres de Chrystel Duchamp ! Un thriller implacable, que l'on peut qualifier, sans mauvais jeu de mots, de grand art ! Quel thriller ! 300 pages de pur génie, 300 pages d'une enquête addictive dont on ne ressort pas indemne ! C'est avec l'art du meurtre que j'ai décidé de découvrir la plume de Chrystel Duchamp et autant vous dire que je ne le regrette pas un seul instant ! Dans cette enquête originale, l'équipe de la PJ de Paris, menée par le capitaine Patricia Levêque et secondée par Audrey Durand, doit faire la lumière sur le meurtre de Franck Tardy, un riche avocat collectionneur d'art, dont le corps est retrouvé mis en scène chez lui. Cet homme, habitué des clubs sado masochistes, était à court d'argent. L'enquête piétine jusqu'à ce qu'un autre corps de collectionneur, lui aussi, mis en scène, est retrouvé. Mêler art contemporain et thriller, en voilà une idée passionnante ! Moi qui suis sensible à l'art, je ne peux que saluer l'idée ingénieuse de l'autrice, qui réussit à mettre en scène une intrigue implacable. Dès les premières pages, on se retrouve hâpé dans le quotidien d'Audrey Durand et on suit avec délectation toutes les péripéties qui rythment l'enquête. Les chapitres sont courts, bien construits et terminent toujours pas une avancée surprenante pour l'enquête. J'avais peur que le...

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• miss_sylvie_lit 27/03/2024

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  L’art du meurtre de Chrystel Duchamp est un polar où art et meurtres se mélangent. Même si ce polar reste assez classique dans son déroulement, j’ai beaucoup aimé le fait que cela se passe dans le monde de l’art. Cela rend ainsi cette intrigue particulière. Les mises en scène autour des meurtres et donc l’utilisation de l’art sont habilement décrites. J’ai découvert aussi des artistes que je ne connaissais pas car dans ce polar fiction (et heureusement) et réalité se côtoient. Les chapitres sont courts, l’écriture de Chrystel Duchamp est agréable à lire sans longueur. La fin est inattendue. L’art du meurtre est le 2e roman que je lis de Chrystel Duchamp et je ne suis pas déçue. Je vais continuer à lire les romans de cette auteure.
• pagesnoiresElo 27/03/2024

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  À travers cette histoire, sombre et addictive, l'autrice nous initie à l'art contemporain, pourtant je dois bien avouer que les musées ne sont pas ma tasse de thé. Pourtant, L'art du meurtre est une très belle découverte qui m'a donné envie de découvrir les autres œuvres de Chrystel Duchamp.
• charlotte44350 24/03/2024

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  Il était grand temps que je découvre cette autrice et c'est chose faite ! J'ai tout simplement adoré ce thriller ! Franck Tardy, avocat à la retraite, est retrouvé dans son luxueux appartement, torturé, mutilé puis assis à une table dressée pour un banquet. Un crime de toute beauté ! Dépêchée sur place, l'équipe de la PJ apprend que l'homme - un amateur d'art - fréquentait les clubs SM de la capitale. Et que, malgré sa fortune, il était à court de liquidités. Bientôt, le corps d'un autre collectionneur est découvert... Pour Audrey Durand, cette enquête dans le monde de l'art sera-t-elle l'occasion de faire taire ses démons, ou se transformera-t-elle en un voyage aux confins de la folie ? Un roman de seulement 300 pages qui va droit au but ! En effet, la plume de l'autrice, en plus d'être très addictive, est vraiment sans chichis. Lu en seulement deux jours, j'ai eu beaucoup de mal à le lâcher une fois commencé. Un thriller qui mélange le glauque, avec des meurtres plutôt barbares et la beauté de l'art en toile de fond. L'intrigue est construite de manière à tenir le lecteur captivé, grâce à un rythme soutenu des événements et révélations qui y sont faits. Pas une seconde d'ennui, l'autrice nous embarque dans une enquête peu banale. Les meurtres sont violents et exécutés pour certains d'entre-eux avec des techniques plus que recherchées. Audrey, cette flic au tempérament de feu, m'a beaucoup plu et a apporté encore plus de piment à l'histoire. J'ai adoré le choix de l'autrice de mêler l'enquête et la vie personnelle d'Audrey. Ça a permis de sortir de temps en temps du contexte de l'enquête sans pour autant vraiment le quitter. Le suspense a vraiment été présent jusqu'à la fin puisque le dénouement nous est révélé qu'à la toute dernière page ! Et qu'elle fin ! J'en suis restée sans voix ! Je lirais les autres romans de l'autrice avec grand plaisir.Il était grand temps que je découvre cette autrice et c'est chose faite ! J'ai tout simplement adoré ce thriller ! Franck Tardy, avocat à la retraite, est retrouvé dans son luxueux appartement, torturé, mutilé puis assis à une table dressée pour un banquet. Un crime de toute beauté ! Dépêchée sur place, l'équipe de la PJ apprend que l'homme - un amateur d'art - fréquentait les clubs SM de la capitale. Et que, malgré sa fortune, il était à court de liquidités. Bientôt, le corps d'un autre collectionneur est découvert... Pour Audrey Durand, cette enquête dans le monde de l'art sera-t-elle l'occasion de faire taire ses démons, ou se transformera-t-elle en un voyage aux confins de la folie ? Un roman de seulement 300 pages qui va droit au but ! En effet, la plume de l'autrice, en plus d'être très addictive, est vraiment sans chichis. Lu en seulement deux jours, j'ai eu beaucoup de mal à le lâcher une fois commencé. Un thriller qui mélange le glauque, avec des meurtres plutôt barbares et la beauté de l'art en toile de fond. L'intrigue est construite de manière à tenir le lecteur captivé, grâce à un rythme soutenu des événements et révélations qui y...

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• Livres_ratures 21/03/2024

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  Le premier chapitre entraine le lectorat au cœur même d’un meurtre, laissant présager le pire pour la suite du roman. Malheureusement, ces quelques pages seront les seules à exploiter une telle vision de l’intrigue. En effet, l’auteure bifurque directement sur son personnage central pour ne plus le lâcher. Ainsi, la vie d’Audrey prend l’ascendant sur l’enquête ; l’aspect personnel dominant le professionnel. Commence alors une suite de banalités relevées dans de nombreux thrillers : la flic dépressive qui trouve refuge dans l’alcool et la drogue suite à une rupture sentimentale et qui fait le serment de ne plus tomber amoureuse… Mais le coup de foudre frappe et l’amour est ressenti après le premier rendez-vous. La romance prend alors le pas sur le reste et amoindrit toute trace de tension, de suspense. En plus d’un personnage stéréotypé, la construction du récit reprend lui aussi les ficelles déjà exploitées par bon nombre de romans du genre. Dès lors, le lecteur s’attend aux soubresauts et autres révélations dont l’ultime d’entre elles malgré les fausses pistes étayées car celles-ci semblent peu vraisemblables. Pour mettre en scène son intrigue, l’auteure use d’une écriture cadencée comme pour donner le tempo, instaurer un rythme soutenu. Courtes phrases et brefs chapitres se suivent. La lecture se veut rapide. Là où pèche le style de l’écrivaine, c’est dans la facilité et la platitude des dialogues ainsi que dans la construction de ses protagonistes pour lesquels seule une rapide esquisse est offerte au liseur. Il est dommage de dénombrer autant de points négatifs pour un livre se basant sur une idée insolite et une ode (noire) à l’art. L’originalité de l’intrigue tient dans la mise en scène des meurtres ainsi que dans le rappel incessant de l’art jusqu’aux chapitres dont les titres renvoient à des œuvres. En découlent d’intéressants questionnements sur les limites de l’art : jusqu’où est prêt à aller un artiste pour faire connaître le sien ? Une performance d’un certain Orlando C. se lit avec dégoût. L’art du meurtre est un roman vite lu, mais vite oublié qui offre peu d’enthousiasme à son lectorat de par son absence de frisson et de coup de théâtre.Le premier chapitre entraine le lectorat au cœur même d’un meurtre, laissant présager le pire pour la suite du roman. Malheureusement, ces quelques pages seront les seules à exploiter une telle vision de l’intrigue. En effet, l’auteure bifurque directement sur son personnage central pour ne plus le lâcher. Ainsi, la vie d’Audrey prend l’ascendant sur l’enquête ; l’aspect personnel dominant le professionnel. Commence alors une suite de banalités relevées dans de nombreux thrillers : la flic dépressive qui trouve refuge dans l’alcool et la drogue suite à une rupture sentimentale et qui fait le serment de ne plus tomber amoureuse… Mais le coup de foudre frappe et l’amour est ressenti après le premier rendez-vous. La romance prend alors le pas sur le reste et amoindrit toute trace de tension, de suspense. En plus d’un personnage stéréotypé, la construction du récit reprend lui aussi les ficelles déjà exploitées par bon nombre de romans du genre. Dès lors, le lecteur s’attend aux soubresauts et autres révélations dont l’ultime d’entre elles malgré les fausses pistes étayées car celles-ci semblent peu vraisemblables. Pour mettre en scène son intrigue, l’auteure use d’une écriture cadencée comme pour donner le tempo, instaurer un rythme soutenu. Courtes phrases et brefs...

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