Lisez! icon: Search engine
Transparente 02
Satoko Fujimoto (traduit par), Nathalie Bougon (traduit par)
Collection : Transparente
Série : Transparente
Date de parution : 18/06/2020
Éditeurs :
Kurokawa

Transparente 02

Satoko Fujimoto (traduit par), Nathalie Bougon (traduit par)
Collection : Transparente
Série : Transparente
Date de parution : 18/06/2020
Elle peut faire disparaître son corps… pas sa culpabilité.
Se rendre transparente, c’est le curieux pourvoir dont dispose Aya Kinomiya. Un don qui lui a permis de se libérer, de façon radicale, de l’emprise d’un père violent. Depuis, tout... Se rendre transparente, c’est le curieux pourvoir dont dispose Aya Kinomiya. Un don qui lui a permis de se libérer, de façon radicale, de l’emprise d’un père violent. Depuis, tout a changé. A son entrée au lycée, Aya choisit de vivre seule, une décision acceptée par sa mère. Loin de... Se rendre transparente, c’est le curieux pourvoir dont dispose Aya Kinomiya. Un don qui lui a permis de se libérer, de façon radicale, de l’emprise d’un père violent. Depuis, tout a changé. A son entrée au lycée, Aya choisit de vivre seule, une décision acceptée par sa mère. Loin de son ancien foyer qui n’en était pas un, Aya rencontre Kana Minakami, une voisine de son âge et élève du même lycée, et Shiori Nakayama, une jeune fille plus âgée passionnée de musique.
Peu à peu, Aya s’ouvre aux autres comme à la vie… Mais son geste passé continue de la hanter, et son étrange faculté pourrait se retourner contre elle.
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782368526927
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 128 x 182 mm
EAN : 9782368526927
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 128 x 182 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • SunRead26 14/11/2023
    Extrait : Le premier tome de la série m’avait déjà bien marqué avec son ton dramatique, mais franc. C’est une série assez sérieuse qui parle déjà de deux thèmes bien difficiles, entre un père violent, et un stalker. Pour Aya, sa vie n’a pas été de tout repos, lorsqu’elle découvre qu’elle peut se rendre invisible, elle décide de se libérer de son père en l’éliminant. Mais au lieu de ressentir la liberté, elle ressent plutôt de la culpabilité, elle a l’impression qu’elle ne doit pas être heureuse, puisqu’elle est une meurtrière… Continuant de se faire du mal mentalement, Aya estime qu’elle devra se rendre à la police lorsqu’elle aura repris goût à la vie, et trouver un endroit où rentrer. En résumé, quand elle aura quelque chose à perdre, afin de prendre pleinement conscience de ses actes et de les assumer. Pour elle, se rendre maintenant alors qu’elle n’avait, à ses yeux, rien à perdre ne vaudrait pas le coup. D’une certaine manière, c’est une pensée assez mature de sa part, car il est vrai qu’une personne n’ayant rien à perdre, pourra moins « subir » tout le poids des conséquences de ses actes ou même se remettre en question. C’est aussi une pensée qui l’amène toujours au même point : elle doit souffrir pour expier. Alors que bon, elle n’y est pour rien si son père était violent, et sans vouloir pousser à la violence à mon tour, elle a eu raison de faire ça. Sans son action, sa mère aurait sans doute finie par perdre la vie, pourquoi devrait-on toujours attendre qu’il se passe quelque chose pour agir ? La tentative de meurtre existe, pourtant les violences conjugales sont toujours aussi difficiles à révéler, pourtant celles-ci aussi sont des tentatives de meurtres (même si elles ne sont pas « vraiment » voulues par l’agresseur). Aya commence à s’épanouir dans ce tome, elle se découvre une passion pour la musique, et finie par accepter la demande de Minakami, qui souhaite chanter une chanson qu’elle aura écrite. Minakami, c’est la personne à qui elle va pouvoir se confier Aya et qui va la pousser un peu afin d’avancer. Mais Aya est têtue, et elle a décidé de se rendre une fois la chanson terminée. Minakami n’a pas l’air du genre à juger les gens, surtout lorsqu’elle ignore tout de leur situation. Enjouée et pleine de vie, elle ne semble pas s’énerver souvent non plus, mais visiblement, elle a horreur des « profiteurs ». Là où Aya n’ose pas parler de ses problèmes avec Kana, elle n’aura aucun problème avec Minakami, et se sent dérouter par cette aisance. Comme la chanson semble être ce qui sonnera le glas de fin, j’imagine qu’elle sera terminée au cours du quatrième et dernier tome. Avec ou non, une potentielle suite après qu’Aya ce soit rendue, si elle finit bien par le faire évidemment, elle peut encore changer d’avis après tout. [...]Extrait : Le premier tome de la série m’avait déjà bien marqué avec son ton dramatique, mais franc. C’est une série assez sérieuse qui parle déjà de deux thèmes bien difficiles, entre un père violent, et un stalker. Pour Aya, sa vie n’a pas été de tout repos, lorsqu’elle découvre qu’elle peut se rendre invisible, elle décide de se libérer de son père en l’éliminant. Mais au lieu de ressentir la liberté, elle ressent plutôt de la culpabilité, elle a l’impression qu’elle ne doit pas être heureuse, puisqu’elle est une meurtrière… Continuant de se faire du mal mentalement, Aya estime qu’elle devra se rendre à la police lorsqu’elle aura repris goût à la vie, et trouver un endroit où rentrer. En résumé, quand elle aura quelque chose à perdre, afin de prendre pleinement conscience de ses actes et de les assumer. Pour elle, se rendre maintenant alors qu’elle n’avait, à ses yeux, rien à perdre ne vaudrait pas le coup. D’une certaine manière, c’est une pensée assez mature de sa part, car il est vrai qu’une personne n’ayant rien à perdre, pourra moins « subir » tout le poids des conséquences de ses actes ou même se remettre en question. C’est aussi...
    Lire la suite
    En lire moins
  • OverTheMoonWithBooks 29/09/2021
    La vie de lycéenne d'Aya se poursuit presque comme pour n'importe quelle autre ado, mais après avoir confié son secret à une fille de 1ère, elle semble prête à avancer différemment. Pour refléter l'évolution du personnage avec notamment l'ouverture dont elle fait preuve vis-à-vis des autres, ce tome contient plus de dialogues et de plans d'ensemble. Cette ouverture donne une ambiance moins pesante à l'ensemble du récit. Pourtant, l'adolescente comprend vite que son père n'était pas la seule personne violente ou tordue qui existe, elle le sent, elle s'en doute mais quel que soit son talent, elle ne peut empêcher l'inévitable. Et une fois de plus, ce tome se termine sur un gros rebondissement qui donne tout autant envie de se jeter sur la suite !
  • AnneClaire29 09/06/2021
    Dans ce second volume, nous découvrons la nouvelle vie d'Aya au lycée. Elle reste une jeune fille discrète qui ne se mêle pas aux autres. Pourtant, elle va se lier d'amitié avec Shiori a qui elle va d'embler lui confier son terrible secret et avec Kana qui habite juste à côté de chez elle. Aya navigue entre deux eaux : entre la joie de vivre sa propre vie et la noirceur qui l'habite depuis qu'elle a tué son père. Elle commence à apprécier cette nouvelle vie mais bientôt elle va devoir se dénoncer pour son geste mais cela devient de plus en plus difficile.
  • Maplumedepaon 20/04/2021
    Je retrouve Aya dans ce second tome de Transparente de Juin Ogino. Aya, celle qui a le don de se rendre invisible aux yeux des autres, continue d'osciller entre sa culpabilité et sa reconstruction. Elle vit désormais seule, et a réussi à se faire deux amies, Kana Shiori, des amies réconfortantes qui lui permettent d'avancer et de trouver tout doucement sa place. C'est d'ailleurs le plus gros reproche que je ferais à ce deuxième tome, la lenteur, tout au long de ma lecture je n'avais pas l'impression d'avancer, je me demandais même où l'histoire allait... Et puis la fin arrive à grand fracas, un tome qui se termine de façon imprévisible et qui du coup me donne bien envie de poursuivre cette saga. L'histoire tient en équilibre incertain sur un fil transparent tendu entre une zone très obscure et une lumière remplie de bienveillance, et l'on se demande de quel côté Aya va finir par tomber. Le graphisme est toujours très épuré, mais agréable et au service des émotions des personnages.
  • lectiole 15/11/2020
    Le second tome de "Transparente" de Jun Ogino m'a moins plu que le premier, que j'avais lu sous format numérique au début du confinement. Cette déception est surtout liée aux illustrations : dans le premier volume, les premières planches sur lesquelles Aya Kinomiya se rendait à la pêche avec son père étaient magnifiques. Le père se révélait vite un personnage brutal, marquant, propre à faire sursauter à chacune de ses apparitions. Or dans le second tome, les personnages féminins se ressemblent et ressemblent un peu à ceux du manga "Kakushi Goto" au niveau du graphisme, mais les dialogues sont rares : là où dans un seinen de Shuzo Oshimi, l'aspect artistique supplée le manque de mots, ici, les planches muettes insistent sur la "transparence", la vacuité du personnage principal qui cherche son double ou son idéal. La fin du second tome annonce un nouveau tournant pour l'intrigue, et comme il n'y a que quatre tomes, je veux savoir la suite, mais pour moi, ce second volume était assez décevant hormis la fin, parce que les illustrations ne m'ont jamais semblé à la hauteur du scénario.
Inscrivez-vous à la newsletter Kurokawa, la newsletter qui a du punch !
Toute l'actualité 100% manga de vos collections et séries préférées.